dimanche 14 avril 2019

La CIA a tué Kurt Cobain après l’avoir rendu accro à l’héroïne


L'icône de grunge, Kurt Cobain, est devenu accro à l'héroïne et a été tué par les services de renseignements américains désireux de l'empêcher de répandre l'anarchie parmi les jeunes, selon certaines théories surprenantes.

Le leader incontestable de Nirvana a été retrouvé mort à l'âge de 27 ans après qu’il se soit supposément tiré une balle dans la tête en 1994.

Depuis lors, de nombreuses personnes ont remis en question la cause officielle de son décès. Certains ont ainsi suggéré que des éléments de l’enquête avaient été dissimulés par la police et la CIA.

L’auteur John Potash a révélé que la dépendance de Cobain à l’héroïne et sa mort pourraient être imputables aux services secrets américains.

Dans son livre Drugs as Weapons Against Us, Potash explique que Cobain faisait partie d'un groupe de grands musiciens, composés notamment de John Lennon, Jimi Hendrix et Tupac, ciblé par la CIA pour mettre fin à l'idéologie de gauche qui se répandait aux États-Unis à travers la musique et le divertissement.

Kurt Cobain et son groupe ont atteint une renommée mondiale après la sortie de leur deuxième album, Nevermind, en 1991.

L’ascension spectaculaire de Nirvana est notamment dû au fait que la chaîne de télévision MTV diffusait sans cesse les titres les plus emblématiques du groupe tels que Smells Like Teen Spirit, In Bloom ou encore Come As You Are.

Rapidement, Cobain est devenu une icône du rock.

Son succès l’a conduit à sortir un nouvel album intitulé In Utero en 1993.

Mais il est largement rapporté que Cobain était déçu et dégoûté par la gloire et la richesse au cours de cette période - et sa dépendance à l'héroïne était devenu incontrôlable.

Cobain, qui a épousé Courtney Love avec qui il a eu un enfant, se serait, par la suite, suicidé à son domicile le 5 avril 1994, situé au bord de Lake Washington Boulevard.

Son corps a été découvert par un électricien trois jours plus tard.

Cependant, le livre de Potash propose un scénario différent - et dépeint Cobain comme une figure qui n’avait aucune intention de sombrer dans la dépendance et de finalement se suicider.

Le livre révèle que Cobain avait décrit la prise de drogues comme une « perte de temps », qui « détruisent votre mémoire, votre estime de soi et tout ce qui va avec ».

A la suite de ses recherches, Potash a affirmé que Cobain était un anarchiste qui voulait intégrer des idées de gauche dans sa musique - et les dirigeants des États-Unis Amérique n’aimaient pas vraiment cette idée.

Dans le livre de Michael Azzerad, Come As You Are: The Story of Nirvana, qui a été publié juste avant la mort de Cobain, il est suggéré que Cobain voulait inclure des « débris révolutionnaires » et « toutes sortes de matériaux anarchiques » dans les paroles de Nevermind.

Le livre prétend également que Cobain voulait introduire « des plans sur la façon de fabriquer sa propre bombe » dans les paroles de Nevermind, mais il y a finalement renoncé en raison de la popularité relativement faible du groupe au moment de sa sortie.

Nirvana a été nommé comme l’un des groupes les plus influents des années 1990 par des publications réputées comme Rolling Stone ou Spin, ce qui s’ajoute à l’attrait généralisé du trio auprès de la jeunesse américaine.

Pourtant, Potash affirme que l'héroïne est devenue un gros problème sur la scène grunge de Seattle au début des années 90 et que son utilisation était encouragée par la CIA.

Selon ce livre, les tendances politiques de Cobain étaient canalisées dans son art.

La couverture de Nevermind représentait un bébé immergé dans l’eau devant lequel flottait un billet d’un dollar attaché à un hameçon.

L’album In Utero, interdit par les principaux magasins américains, aurait présenté en couverture des sculptures de fœtus et contiendrait des images du siège du parti républicain de Los Angeles détruit par les flammes à la suite des émeutes de 1992.

Dans la première biographie de Nirvana, Cobain avait révélé que le titre Lithium était une mise à jour du Manifeste du Parti Communiste écrit par Karl Marx, et particulièrement sur le fait que la religion est l’opium du peuple.

Potash écrit : « Tout le monde n’était pas au courant des passions politiques de gauche de Kurt Cobain. Michael Azzerad a publié une biographie du groupe, Come as You Are, six mois avant la mort de Cobain, révélant que le chanteur était pro-démocrate et un anarchiste radical. »

Selon cet ouvrage, la CIA aurait utilisé Cobain, populaire dans le monde entier, comme figure emblématique de « l'héroïne chic » pour empêcher et réprimer la propagation du gauchisme. Toutefois, l’agence de renseignement aurait décidé de prendre des mesures ultimes lorsque Kurt a commencé à devenir sobre.

Potash ajoute : « Les preuves suggèrent que, à l'insu de Cobain, les services de renseignements américains l'utilisaient pour promouvoir l'usage de l'héroïne, de la même manière que les services de renseignements américains et les médias avaient contribué à promouvoir les acides dans les années 1960. »

« Des preuves, soigneusement dissimulées, indiquent que les services de renseignement américains ont aidé à orchestrer le meurtre de Cobain en raison de ses tendances politiques anti-matérialistes et radicalistes de gauche, ainsi que de sa menace implicite de promouvoir la sobriété lorsqu'il a cessé de consommer de la drogue. »

« La consommation d’héroïne de Cobain, parmi d’autres, a contribué à populariser la drogue auprès de nombreux Américains. Des films mettant en vedette des personnes consommant de l'héroïne ont commencé à apparaître dans les années 1990, notamment Trainspotting, Permanent Midnight, Basketball Diaries et Pulp Fiction, lauréat d'un Oscar. »

« L’industrie de la mode a popularisé ‘l’héroïne chic’. Dans l’ensemble, le taux de consommation d’héroïne à long terme a augmenté de près de 10% par an entre 1990 et 1995. »

« Kurt Cobain, qui consommait de l'héroïne, a contribué à populariser cette tendance. Un Cobain sobre aurait peut-être inversé cette tendance, et aurait permis la diffusiondes idées de la gauche radicale encore plus largement. »

Le livre aborde également la controverse entourant la prétendue note de suicide de Cobain, soulignant un changement présumé du style de l'écriture manuscrite vers la fin de la lettre.

Potash écrit que des enquêteurs du département de police de Seattle lui avaient déclaré : « Pour beaucoup d'entre nous, cette note était primordiale. Quiconque l'a vu a pensé qu’elle était étrange. »

Source
https://www.dailystar.co.uk/news/latest-news/552058/Nirvana-Kurt-Cobain-CIA-conspiracy-killed-heroin-drugs-addiction-Tupac-Lennon-Hendrix, 12 avril 2019

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