lundi 30 janvier 2012

La science tente de démystifier la vie après la mort !



L’existence d’une vie après la mort est l’une des grandes obsessions de l’humanité depuis la nuit des temps. Selon des chercheurs en thanatologie comme Bernard Jakoby, à sa mort un individu voit un immense tunnel avec une vive et blanche lumière au bout. Il se sent sortir de son corps. Ensuite, il voit sa vie entière défilée en quelques secondes devant ses yeux. Ces récits sont très régulièrement rapportés par des personnes ayant été plongées dans un profond coma ou ayant vécu une EMI (Expérience de Mort Imminente).

Cependant pour certains scientifiques ces visions de la mort n’aurait rien de paranormal et posséderait une explication totalement rationnelle et ne prouvant en rien l’existence de la vie après la mort. Des médecins pensent que ces visions qui surviennent durant les EMI sont provoquées par le renforcement soudain de l’activité électrique du cerveau en manque d’oxygène. Leurs conclusions sont survenues alors qu’ils étudiaient patiemment des électro-encéphalogrammes (EEG) de leurs patients. Ces étonnants résultats ont été publiés dans le « Journal of Palliative Medicine ».

Le chercheur Lakhmir Chawla du Centre Médical de l’Université George Washington a étudié ce phénomène sur pas moins de sept patients mourants. Il a également déclaré qu’il avait observé cela sur pas moins de 50 autres patients.

Le principal mythe d’une vie après notre existence vient-il de s’effondrer ? L’avenir nous le dira forcément …

Plus d’informations sur le sujet :
-          Nous ne mourrons Jamais, la vie après la mort : la vérité, Bernard Jakoby (traduit de l’allemand par Jean-Louis Clauzier), 2007, éditions France Loisirs, ISBN : 978-2-298-02459-3
-          La Vie après la vie. Enquête à propos d'un phénomène : la survie de la conscience après la mort du corps, Raymond Moody, 1975, éditions J'ai lu, collection L'Aventure mystérieuse, N° A379 (13 septembre 2006)

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Un OVNI lumineux dans le ciel de Provo

Un OVNI lumineux dans le ciel de Provo




A Provo, ville de l’Utah célèbre notamment pour abriter la fameuse Université Brigham Young (principale université des Mormons), fut le témoin d’une observation d’OVNI.

Un homme se promenait dans les rues de la ville alors que la nuit était tombée. Il leva les yeux et remarqua, au-dessus de lui, un étrange néon bleu avec des feux rouges clignotants dans le ciel. L’engin semble avoir une forme ovoïde et se déplace à une vitesse apparente relativement faible. Heureusement pour tous les amateurs de ce genre d’observation, notre homme a pu filmer cette incroyable scène.

Au-delà de l’explication paranormale, il en existerait une beaucoup plus terre-à-terre. Le président de l’Utah Valley Aeromodelers est persuadé qu’il ne s’agit que d’un avion RC (Radio-Commandée). Une autre théorie rapportée fait état d’un parapente.

Difficile de conclure rationnellement. En effet, on ne sait pas si l’objet émettait du bruit ou s’il était silencieux.

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dimanche 29 janvier 2012

Enlèvement par les extraterrestres : une célèbre actrice témoigne



L’actrice américaine, Fran Descher, célèbre pour avoir tenue le rôle principal dans la série « Une Nounou d’Enfer », a récemment déclaré dans la presse qu’elle avait été enlevée par les extraterrestres.

Il y a plusieurs années, alors qu’elle était adolescente et étudiante en premier cycle, elle était en train de conduire sa voiture, en compagnie de son père, sur une route des Etats-Unis. C’est alors qu’elle se fit enlevée par des êtres venus d’ailleurs. Après son retour sur Terre, elle constata qu’une cicatrice, de nature inconnue, était apparue sur son corps. Selon, la jeune femme, il se pourrait que les extraterrestres lui aient greffé une puce à cet endroit-là.

Quelques années plus tard, elle rencontra son futur ex-mari, Peter Marc Jacobson. Elle raconta cette rocambolesque histoire à son compagnon. Ensemble, ils constatèrent qu’ils possédaient exactement la même cicatrice au même endroit. Ainsi, elle déclara au Huffington Post :

 « Quelques années plus tard, nous nous sommes rencontrés, et nous avons réalisé que nous avions vécu la même expérience. Je pense qu'en quelque sorte nous avons été programmés pour nous rencontrer. »

Cependant, Peter Marc Jacobson, nie cette histoire de puce. Selon lui, cela vient d’une blessure de leur jeunesse et n’ayant rien de paranormal. Fran et son ex-mari se rencontrèrent alors qu’ils n’avaient que 15 ans. Ils divorcèrent en 1999. Elle fit ses déconcertantes déclarations en 2010, la même année où son ex-compagnon fit son coming-out.

Dans ce récit, nous retrouvons des éléments communs aux abductions rapportées aux quatre coins de la planète. La présence d’une cicatrice et d’une probable puce sont très répandus. La puce, selon les ufologues, serviraient aux extraterrestres de retrouver leurs anciennes victimes et ainsi continuer leurs expériences sur les êtres humains.

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jeudi 26 janvier 2012

L’incident de Lakenbeath-Bentwaters



Entre les années 40 et 70, des dizaines (voire des centaines) d’observations d’OVNI ont été directement rapportées par des militaires. Avec leurs technologies de pointe, ils ont été les témoins privilégiés des activités extraterrestres. Et bien souvent, les rapports qu’ils produisent sont d’une exceptionnelle précision et constituent des documents très utiles aux ufologues de tous pays. Même si les Etats-Unis ont occupé le devant de la scène médiatique, le Royaume-Uni n’est pas en reste.

Ainsi, dans la nuit du 13 au 14 août 1956, eut lieu le fameux incident de Lakenbeath. La nuit était claire et le ciel parfaitement dégagé. Le personnel, sur place, remarqua un nombre impressionnant d’étoiles filantes. Tout était tranquille quand soudain, à 22h55 précisément, le radar de la base de l’USAF (United States Air Force) de Bentwaters détecta un objet volant non-identifié se déplaçant dans le ciel d’Est en Ouest et traversant la base. Sa vitesse apparente était de 2000 à 4000 miles par heure (soit environ de 3200 à 6400 km/h). Le personnel déclara avoir vu, de son côté, une lumière brillante et très rapide au-dessus de leur tête. Au même moment, le pilote d’un avion militaire, de type C-47, vit, en dessous de lui, cet OVNI à une altitude d’environ 1200 m.

Le doute n’était plus permis, il se passait bien quelque chose d’étrange. Freddie Wimbledon, l’opérateur radar de Bentwaters, appela la base de Lakenbeath située à environ 40 miles (environ 65 km) au Nord-Ouest pour corroborer l’observation. Et le personnel de cette base, placée également sous pavillon américaine à cause de la guerre froide, observa plusieurs objets mystérieux. Deux d’entre eux firent un brusque changement de cap, paraissaient fusionner puis repartirent comme si de rien n’était. A la vue de leurs comportements, il était plus qu’évident que ces lumières n’avaient strictement rien d’humaines, ni de naturelles.

Le sergent Forrest Perkins, superviseur au contrôle du trafic aérien de Lakenbeath, fit envoyer deux avions de marque De Havilland Venom, afin d’en apprendre davantage sur ses visiteurs inconnus. Quelques minutes après, le premier Venom parvint à la hauteur de l’OVNI. Ce dernier, dans un mouvement surréaliste vint se placer derrière le pilote décontenancé. Pendant dix interminables minutes l’OVNI poursuivait l’avion, malgré les multiples manœuvres d’évitement qu’il entreprit. Il commençait à avoir très peur que son étrange poursuivant ne l’attaque. Arrivant à cours de carburant, il fut obligé de rentrer. Le second pilote ne participa pas à ce jeu : il fut forcé de retourner à la base à la suite d’un problème moteur. A 3h30 du matin, l’énigmatique engin disparut des radars en direction du Nord.

Le personnel au sol regarda les visiteurs indésirables avec une attention toute particulière. Parfois, ils étaient totalement immobiles et accéléraient jusqu’à atteindre une vitesse comprise entre 600 à 950 km/h en ligne droite sur 13 à 30 km, puis s’arrêtaient de nouveau pendant 3 à 6 minutes. Un télex envoyé par la base de Lakenbeath conclut sur cette situation : « Le fait que des accélérations rapides et des arrêts brusques de l'objet aient été détectés par radar et de visu à partir du sol donne au rapport une crédibilité certaine. On ne croit pas que ces observations puissent avoir une quelconque origine météorologique ou astronomique. »

Les explications avancées ont été plutôt nombreuses. La première parle d’une pluie d’étoiles filantes, les Perséides, qui se déroule chaque année du 20 juillet jusqu’aux alentours du 25 août. Toutefois, personne n’a jamais vu d’étoiles filantes stopper sa course, repartir et changer de direction. Plus récemment, une équipe d’enquêteurs anglaise serait parvenue à entrer en contact avec les pilotes des avions et d’autres observateurs de cet incident. D’après eux, les témoignages avaient été largement erronés et surtout très exagérés : ainsi, il n’y avait jamais eu de lumières au comportement étrange, ni de course poursuite à travers le ciel.

Est-ce cependant suffisant pour que l’ufologie cesse de s’y intéresser ? Probablement pas. En effet, beaucoup d’ufologues ont relevé que lorsque des militaires rapportaient avoir vus des OVNI, leur hiérarchie les contraignait, sous la menace, à se taire ou à modifier radicalement leurs récits sous peine de conséquences gravissimes pour leur carrière et leur vie.




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Preuve irréfutable d’une vie extraterrestre sur Vénus



Souvent l’astronomie recherche des vies extraterrestres dans des exo-planètes souvent très éloignées de notre système solaire. Et pourtant, certaines personnes sont persuadées que des vestiges et bâtiments de nature inconnus se dresseraient sur Vénus et / ou sur Mars, témoignant ainsi d’une possible présence alien sur ces planètes voisines de la Terre.

La célèbre agence de presse russe, RIA Novosti, nous rapporte des photographies prises de Vénus par une sonde soviétique en 1982. Sur celles-ci, on peut y voir de bien mystérieuses formes ressemblant parfois à des disques, ou encore à des « scorpions » jonchant le sol aride de la planète.

Mais peut-être n’est-ce là que des artefacts ou des paréidolies ? Selon Leonid Ksanfomaliti, de l’Institut de Recherche Spatiale de l’Académie Russe des Sciences, ce ne serait pas le cas. Il aurait remarqué, en analysant soigneusement les clichés, que ces étranges formes se déplacent et parfois même disparaissent.

La morphologie trop parfaite de ces objets, le fait qu’ils bougent sans cause apparente font penser à ce chercheur qu’il serait nécessaire, aujourd’hui, de reconsidérer l’inexistence de la vie sur Vénus. En effet, on considère que la vie sur cette planète est totalement impossible, du fait des conditions totalement inhospitalières : air irrespirable (l’atmosphère étant composée de près de 96.5% de dioxyde de carbone et le reste d’Azote), température très élevée (plus de 400°C), … . D’après les scientifiques, la vie est totalement impossible.

Après les visages sur Mars qui avaient défrayés la chronique, ces nouvelles photographies de Vénus pourraient bien constituer une piste de recherche pour les ufologues et les astronomes.

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