Les églises hantées !

Les fantômes paraissent aimer les églises. En effet, sur la première photographie, vous pouvez voir un homme assis. Elle a été prise en 1956 dans l’Eglise d’Estry de la ville de Sandwich, située dans le Comté du Kent, en Angleterre. L’entité ressemble à un vicaire. L’auteur du cliché affirma, à l’époque, qu’il n’y avait personne à ce moment-là, mise à part son épouse et sa femme de ménage.

La seconde vient également de l’Angleterre, plus précisément de Northampton dans la région des Midlands de l’Est. Elle a été prise en 1964. Sur celle-ci, on peut voir probablement un fidèle agenouillé au pied de l’autel en train de prier. L’auteur est connu, il s’appelle Gordon Carroll.

La mort chez les Phéniciens

Temple de l'Obélisque dans la ville phénicienne de Byblos au Liban

La mort chez les phéniciens était entourée d’un rituel assez particulier.

« Les Cananéens comme les Phéniciens croyaient que le corps (basar) était habité non par une âme, mais par deux âmes, l’une végétative, le nephesh, et l’autre spirituelle, esprit ou souffle : rouah. »

Ainsi le défunt ne perdait, au moment de sa mort, que son âme spirituelle, et conservait de ce fait son nephesh. Celui-ci avait besoin de se nourrir, de manger et même de se promener. C’est la raison pour laquelle, les nécropoles phéniciennes étaient souvent situées dans des sites d’une splendeur exceptionnelle comme dans des falaises rocheuses en face de la mer. Ils existaient parfois des dispositifs amenant de l’eau jusqu’à la sépulture.

Les phéniciens, contrairement au égyptiens, attribuaient une grande importance à leur patrimoine matériel. C’est pourquoi, on ne retrouve presque jamais de bijoux ou d’objets de valeurs dans les tombes.

Source

Avec les Phéniciens, Jean Mazel, 1968 

Les OVNI rendent visite au volcan Puyehue !

Après environ 51 ans de sommeil, le fameux volcan chilien Puyehue est de nouveau entré en éruption en juin 2011. Les cendres ont entraîné des conséquences bouleversant la vie et l’économie de la région avec, notamment, la fermeture des écoles ou encore la paralysation des aéroports.

Toutefois cet évènement inattendu, a, une nouvelle fois, été marqué par l’apparition d’OVNI. En effet, des personnes qui se trouvaient à proximité du cracheur de feu prirent, à l’aide de leur caméscope, des images stupéfiantes. Des experts examinèrent les clichés avec attention et ils ne purent faire le rapprochement avec un éventuel phénomène naturel. Ce n’est guère la première fois que les visiteurs d’ailleurs font leur apparition durant des évènements aussi spectaculaires. Peut-être sont-ils simplement venus pour observer, dans un but scientifique, notre planète ?

Mais d’autres ufologues avancent d’autres raisons de leur venu. Ils prétendraient que ce serait les soucoupes volantes elles-mêmes, qui auraient provoqué la terrible éruption comme celle du volcan Popocatépetl au Mexique au début des années 2000.

Source

http://www.rafaela.com/

Angelina Jolie, entre en contact avec sa défunte mère

Selon des sources relativement fiables, The National Enquirer, Angelina Jolie rendrait visite régulièrement à un médium installé dans l’Etat de Nouvelle Orléans aux Etats-Unis. En effet, en janvier 2007, sa mère, Marcheline Bertrand, décéda après 7 ans d’un long et douloureux combat contre un cancer de l’ovaire. L’actrice a été bien désemparée par cette mort, et elle essaya, naturellement d’entrer en contact avec elle dans l’au-delà.

D’après ce journal, « Un des plus grands regrets d’Angie est qu'elle n'a jamais demandé à sa mère si elle pensait que Brad était ‘le bon’. »

Sandra Bullock hantée par des esprits ?

Sandra Bullock est actuellement à Londres pour le tournage d'un nouveau thriller de science-fiction intitulé "Gravity" avec, entre autre, George Clooney.

L'actrice oscarisée a décidé de se loger dans une ancienne église, réhabilitée en logement, de la capitale anglaise. Mais certaines sources apportent qu'elle demanda à ses producteurs de lancer une enquête sur cette habitation, car elle craint qu'elle est hantée.

D’après plusieurs sources, les activités paranormales seraient si présentes que la ravissante actrice passerait de nombreuses nuits blanches à cause de « présences fantomatiques » à l'intérieur de cette bâtisse du nord de Londres.  

Bonnie Vent, une médium et spirite basée dans la ville de San Diego en Californie, n'est pas surprise que Bullock soit victime d’expériences fantomatiques dans cette vieille et belle Angleterre.

« Londres a une longue et riche histoire de meurtres et de désordres », déclara Vent au AOL Weird News. « Les propriétés ont des centaines d'années avec de nombreuses expériences très émotives rattachées à elles, ainsi que des corps enterrés dans le sol et dans les murs dans certaines propriétés. »

Aussi, des célébrités du show business semblent avoir un talent pour attirer et émettre de bonnes ou mauvaises vibrations fantomatiques, déclara-t-il.

« Les célébrités sont plus ouverts d'esprit »,  « De plus, elles voyagent beaucoup et séjournent dans des lieux très différents, vous reconnaissez quand une pièce possède une énergie unique à elle. »

Vent, qui a travaillé en tant que « avocate des esprits » pour délivrer des messages de l'au-delà de stars comme Michael Jackson, George Carlin et Steve Irwin, croit que Sandra Bullock a tout à fait raison d’aller enquêter sur ses apparitions plutôt que de les ignorer comme le font beaucoup d’autres.

« Elle a besoin de vérifier l’histoire de la propriété », dans laquelle elle réside. Vent suggère également à la ravissante actrice de prendre les choses en mains propres en mettant en place un magnétophone dans sa chambre et de poser, aux éventuelles entités, des questions pendant cinq minutes.

Pour que l’expérience soit concluante (et donc pour que l’éventuel esprit lui réponde), « Elle devra laisser cinq secondes d'intervalle entre deux questions ». Puis, quand elle écoutera la bande, elle devra être particulièrement attentive aux sons qui ne devraient pas être là.

Toutefois, le chercheur  en paranormal  Bryan Bonner, de la Rocky Mountain Paranormal Research Society, affirme que ces étranges problèmes est en fait assez commun et dispose d'une solution très simple :

« La meilleure chose pour elle à faire serait d'aller dans un autre endroit et d’y rester », dit-il. « Une fois qu'une personne est convaincu qu'un lieu est « hanté », il est difficile pour elles de penser quelque chose de différent. »

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AOL Weird News, 15 juin 2011

Katy Perry, adepte du satanisme ?

La célèbre chanteuse américaine vit un véritable casse-tête avec ses propres parents. Ces derniers parcourent les églises à travers le pays en professant que leur fille, Katheryn Elizabeth Hudson, n’était qu’une satanique, à cause, notamment de son style de vie jugé peu conventionnel.

Katy Perry a déjà fait savoir à plusieurs reprises qu’elle et ses géniteurs entretenaient des rapports plutôt conflictuels. Ils sont, en effet, membre de la puissante église Evangélique, mouvement issu d’un protestantisme assez conservateur et fondamentaliste.  Pour autant et malgré tout, ils continueraient à gagner beaucoup d’argent grâce à celle à qui ils ont donné la vie.

Ses parents sont donc partis en « croisade » partout aux Etats-Unis, écumant les églises avec ce slogan « I Kissed God and I Liked It », faisant, bien entendu, référence à l’un de ses plus célèbres titres, « I Kissed a Girl » où elle prétend aimer embrasser les autres filles. Ses allusions n’ont certainement pas plu à ses procréateurs pasteurs.

On a appris que les parents de la chanteuse auraient accumulé plus de 100 000 $ (environ 70 000 Euros) grâce à leur fille. Comment interpréter ce mépris qu’ils éprouvent aujourd’hui ? Eux qui proclament qu’elle finira en Enfer jusqu’à l’éternité.

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Impre.com, 14 juin 2011, Mikel Martinez

Un innocent victime d'un rituel Satanique

Un crime continue de terroriser les habitants du quartier La Travesia, en Honduras, et de ses environs. Il a été commis hier matin dans cette ville, après que des membres présumés d’un gang eurent rué de coup, décapité et brûlé un homme pendant un possible rituel satanique.

Le défunt homme s’appelle Joshua Lainez Carlos Cano, 32 ans, un alcoolique qui, dans ses moments de lucidité, aidait son père à vendre des chaussures, ceintures et autres vêtements dans le quartier de San Miguel  Y La Sosa, et dans d'autres régions avoisinantes.

Ce crime macabre a été commis tôt hier matin sur un terrain de football. En effet, Lainez Cano avait été vu vivant à 9 h 00 le samedi, selon des proches.

Les restes de l'infortuné ont été trouvés dans la matinée dans des installations sportives, et sa mort provoqua un certain émoi parmi les habitants parce que l'homme a été décapité.

Rituels sataniques

Sa famille et ses amis se sont rassemblés à la morgue de la médecine légale en ignorant les causes qui avait tué Lainez Cano.

« Cet assassinat nous a confondu, il semble qu’ils l’ont attrapé au hasard et l’ont sacrifiés dans le cadre d'un rituel satanique, dans ce pays où les valeurs morales ont été perdus, et l'on croit encore que c’est le travail de membres de gangs, mais ce n’est pas du tout la cause », déclara un membre de la malheureuse famille.

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Noticia Al Dia, 6 juin 2011

Un OVNI ou un simple nuage dans le ciel de Tarma

Dans la ville méridionale de Tarma, des témoins affirmèrent avoir vu deux présumés objets volants non identifiés (OVNI) vers 11 heures, sur le Cerro San Juan Cruz. Tarma est une ville située au Pérou dans la région de Junin, à près de 3060 mètres d’altitude.

Selon le journaliste de Correo, Walter  Basaldúa Buendia, ces objets avaient clairement la forme de soucoupes volantes. D’autres personnes furent témoins à divers endroits de ce même phénomène.

« J'étais sur le point de prendre mon petit déjeuner quand j'ai remarqué deux éclats brillants dans le ciel, j’ai alors attrapé mon caméscope et, sur le toit de ma maison, j’ai capté ces images spectaculaires », déclara Basaldúa.

Toutefois, il ne pourrait s’agir que de simples nuages, vu que l’on ne sait pas si ils étaient en mouvement.

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Generaccion.com, 13 juin 2011

Un fantôme apparaît sur un spot publicitaire chinois !

L'apparition d'un prétendu enfant fantôme a provoqué l’étonnement de nombreux internautes au travers le monde. Les images sont tirées d'un spot TV, diffusé il y a près 15 ans en Chine. On peut y voir le fantôme d'une jeune fille prenant par les épaules l'un des enfants jouant au petit train. Les producteurs du cette publicité affirmèrent que ce mystérieux enfant n’était pas du tout présent au moment du tournage.

De plus, il est terrifiant de savoir que l'enfant, derrière lequel apparu le fantôme, est décédé plus tard de causes qui demeurent, à ce jour, inconnues.

Un hélicoptère remorque un OVNI !

L’image que vous avez l’honneur et le privilège d’admirer ci-dessus serait tirée d’une vidéo amateur en cette année 2011. D’après le ou les témoins de la scène, cet hélicoptère transporterait un OVNI fraichement échoué en mer. La scène se serait déroulée en Russie. Toutefois, le peu d’information sur ce cliché nous permet de douter de son authenticité.

Certains ont même assimilé la tâche noire située à droite de l’écran, dans les nuages, comme étant une autre soucoupe volante, peut-être étant venu secourir, trop tard hélas, son compagnon d’infortune.

Une jeune fille fantôme dans un bus de Porto Alegre

Cette photographie a été prise le 8 février 2008 par un capitaine de la police militaire de la ville de Porto Alegre, dans l’Etat du Rio Grande do Sul, dans le sud-est du Brésil. L’homme de loi souhaitait, ici, photographier la voiture située au premier plan.

Plus tard, il regarda son cliché et s’aperçut de la présence d’une jeune fille au travers la fenêtre de l’autobus.

Une vieille femme fantôme apparaît à Chicago

Voici un cliché pour le moins troublant. Pendant un bel après-midi ensoleillé, un homme décida de prendre en photo sa femme et son fils devant leur charmante demeure située à Chicago, dans l’Etat de l’Illinois. En la regardant attentivement, on peut apercevoir dans la fenêtre de gauche une vielle femme accompagnée d’un chien, probablement un bouledogue. A ce moment-là, sa famille affirma qu’il ne se trouvait personne chez elle.

Hélicoptère ou OVNI à Cerro de la Silla ?

Un jeune homme originaire de la ville de San Pedro parvint à capter une lumière mystérieuse, ressemblant à un OVNI survolant Cerro de la Silla, dans l’Etat Nuevo Leon au Mexique. La photo a été prise du haut du Parque Rufino, dans le quartier de Los Colorines. Miguel Reyes Garza déclara que ce cliché fut pris le 5 juin 2011 vers 23h00 à l’aide de son téléphone cellulaire de marque Blackberry.

Selon Miguel Reyes, le phénomène avait déjà été vu deux ou trois jours auparavant vers 22h00. Il s’agissait alors d’une lumière clignotante. Il pensait que ce pouvait être un phénomène naturel.

L’Enquêteur ufologue, Leopoldo Zambrano, analysa l'image et nous donna son point de vue :

« Je pense que ce pourrait s’agir d’un hélicoptère. Le contraste et l’effet néon révèle une structure en forme de « V » qui correspond aux caractéristiques typiques de la queue d'un hélicoptère. »

El Cerro de la Silla est et demeure un lieu célèbre pour ses rapports d'observations d'OVNI depuis les années 1970.

Source

Info7.mx, 15 juin 2011

Les OVNI prennent des vacances !

Dans quelques semaines débuteront les vacances estivales. Deux mois pendant lesquels des millions de terriens envahissent les dizaines de milliers de kilomètres de sables blancs et chauds pour y faire dorer leurs petits corps grisés par les pots d’échappement des grandes métropoles. Pour autant, les extraterrestres, eux, ne chôment pas. Ils aiment s’inviter, s’immiscer sur vos photographies.

La prochaine fois que vous partirez à Cannes ou à Copacabana et que vous mitraillerez ces merveilleux paysages, pensez à minutieusement scruter vos clichés. Peut-être y trouverez-vous quelques visiteurs.

Si vous le souhaitez, n’hésitez pas à nous les envoyer. Nous nous ferions un plaisir de les publier sur notre site Internet.

Voici donc une série de trois photos qui devrait, je pense, vous intéresser :

Les lumières de San Gregorio

La ville de San Gregorio de Polanco, en Uruguay, fut le témoin d’étranges lumières aériennes.

La présence possible d'un objet volant non identifié (OVNI), au nord du département de Durazno, dans la ville frontalière de San Gregorio de Polanco (Tacuarembó), a tenu en suspens toute la communauté de la péninsule de Dorada, le 31 mai dernier .

Le journaliste de la radio Ibirapitá, Freddy San Juan, informa l’un des journaux du pays, El Advisor, qu'une personne anonyme avait pris des photographies, pour le compte de médias locaux, d’une curieuse observation sur les rivages du Rio Negro. Pour étayer ses dires, il souligna la présence de plusieurs témoins privilégiés.

« Le 31 mai à 19:30, des voisins et des habitants de San Gregorio de Polanco aperçurent, au  sud du département de Durazno, des lumières apparemment de nature inconnue », déclara Freddy San Juan. A San Gregorio de Polanco, on pouvait les distinguer sur la zone connue sous le nom « El Barranco » au bout de rue du Général Artigas.

Selon des témoins, la lumière qui surgit de la nuit, se tourna sur la droite puis disparut soudainement. En outre, selon plusieurs médias locaux, il n'y avait aucun bruit de moteur cette nuit-là. Dans une vidéo prise ce soir-là, on peut apercevoir le même phénomène environ quatre fois.

A San Gregorio de Polanco, beaucoup étaient convaincus qu’ils s’agissaient d’un objet volant non identifié. « En regardant les photos et vidéo, nous en concluons que ce pourrait être un objet volant non identifié » déclara-t-il.

Quelques jours après les faits, plusieurs voisins sont venus sur la côte de la rivière Río Negro armés de caméras et d’appareil photos espérant revoir cet incroyable événement. Mais hélas il ne se passa rien.

Toutefois l’affaire semble avoir été « clarifiée » : en effet, selon des informations fournies par les militaires de la Force aérienne, des fusées éclairantes auraient été tirées dans la zone de La Carolina, située à proximité de San Gregorio. Ces lumières résulteraient d’un exercice de l'escadre aérienne N°1 « Attaque », avec ses avions IA-58 Pucara.

Source

El Avisador, 10 juin 2011

Le Cimetière hanté de Bachelor’s Grove

Une équipe américaine de recherche en paranormal, la Ghost Research Society, enquêta sur le mystérieux cimetière hanté de Bachelor’s Grove.

Au cours de leurs investigations du 10 août 1991, ils prirent une bien étrange photographie. Sur cette dernière, on apperçoit clairement une jeune femme assis sur un banc en pierre. Elle est vêtue de blanc et semble portée une longue robe d’un autre temps. Bien évidemment, c’est la photo qui l’a fait apparaître, car dans la plupart des cas, les revenants sont insivibles à l’œil nu. Cette personne n’a donc pas été vue par l’équipe d’enquêteurs présente ce jour-là.

Ce cimetière de l’Ilinois est réputé pour être l’un des plus hanté des Etats-Unis. Des centaines de rapport ont déjà été rédigé sur les diverses phénomènes qui s’y produisent chaque année. De nombreux visiteurs ont déjà été témoins d’apparitions fantomatiques ou de boules lumineuses rougeoyantes, de bruits de grincements, de gémissements, ou encore de grognements.

L’enquêteur Mari Huff prit ce cliché à l’aide d’une caméra infrarouge dans un endroit où le groupe avait perçu quelques anomalies. A ce moment-là, le cimetière était vide et personnes, autres qu’eux, n’étaient là.

Ce nouveau document apporte une preuve supplémentaire que les revenants et autres esprits se cotoient et effraient les visiteurs de ce lieu si mystérieux. 

Les prisons du Malawi hantées par des sorciers

LILONGWE (Malawi) - A 82 ans, Kanthukako Supaunyolo a été accusée par ses propres enfants d'avoir jeté un sort à son petit-fils. Cette mise en cause l'a menée directement en prison, comme les dizaines de sorciers présumés détenus au Malawi.

Les déboires de la vieille dame ont commencé une nuit quand le garçon s'est réveillé en saignant du nez, ce qui est considéré comme un présage funeste dans ce petit pays d'Afrique australe très superstitieux.

Immédiatement, ses parents ont cherché l'esprit maléfique responsable du saignement et ont mis en cause Kanthukako Supaunyolo et deux de ses amies, Liness Nkhukuyalira, 62 ans, et Nurse Nthala, 72 ans.

L'affaire a été portée en justice et les trois femmes ont écopé d'une amende de 33 dollars chacune. Vivant avec moins de 2 dollars par jour comme 62% de la population, elles n'ont pas pu payer et ont été écrouées.

Au Malawi, les gens détestent les vieux. Ils pensent que tous les vieux doivent être des sorciers!, explique Mme Nkhukuyalira, libérée avec ses amies après le paiement de l'amende par une association de défense des droits de l'Homme.

Nous avons subi cette injustice parce que nous sommes pauvres et vieilles, renchérit Mme Supaunyolo. La police est trop zélée et arrête des personnes innocentes qu'elle accuse de sorcellerie, ce qui ne peut être prouvé devant un tribunal!

Mais les forces de l'ordre assurent agir dans l'intérêt des personnes accusées de sorcellerie, afin de les protéger de la vindicte populaire.

Les accusations de sorcellerie ont atteint un point critique au Malawi, de nombreuses personnes faisant justice elles-mêmes, explique le porte-parole de la police Davie Chingwalu. 

Une vingtaine de personnes soupçonnées d'être des sorcières sont tuées chaque année dans le pays, le plus souvent battues à mort, précise-t-il.

La croyance dans la magie est profondément ancrée dans l'ancienne colonie britannique: on y accuse des sorciers de tout et n'importe quoi, des décès inexpliqués à la propagation du sida en passant par le niveau des pluies.

Selon une loi de 1911 datant de l'époque coloniale, il est illégal d'accuser quelqu'un de sorcellerie, ou de se prétendre sorcier. Mais dans la pratique, les tribunaux du pays condamnent régulièrement des individus accusés de sorcellerie pour troubles à l'ordre public, afin d'éviter des lynchages.

Actuellement, quelque 50 sorciers supposés croupissent en prison, selon l'Association pour un humanisme séculier (ASH), fondée l'année dernière dans le but de lutter contre ces abus.

Ces derniers temps, il y a eu une recrudescence des arrestations et des condamnations de gens accusés de sorcellerie, précise à l'AFP George Thindwa, le directeur général d'ASH. Nous voulons obtenir leur libération, car ils sont 100% innocents.

Son groupe veut notamment voir libérer le plus vite possible les sorcières les plus âgées. La semaine dernière, il a aidé une femme de 83 ans à sa remise en liberté après trois ans de prison. Elle avait été accusée d'avoir provoqué la mort d'un enfant par magie noire.

Deux autres femmes, de plus de 75 ans, restent détenues. Elles sont malades, âgées et ont besoin de soins médicaux de toute urgence, selon M. Thindwa.

Parallèlement, le gouvernement réfléchit aux moyens d'amender la loi de 1911, souvent contournée, afin de mieux protéger les droits des victimes, en particulier des femmes et des enfants, particulièrement visés par les accusations de sorcellerie.

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Romandie News, 07 juin 2011

Des français chassés de chez eux par des esprits

C'est une maison jumelle d'un étage, quasi neuve, dans un quartier paisible de Biganos, sur les bords du bassin d'Arcachon.

« Il n'y a pas de fantômes », assurent, en souriant, Charlotte et Jean-Marc Mariole, qui s'y sont installés il y a tout juste une semaine, après avoir passé moins d'un mois dans une maison de Port-Sainte-Marie, dans le Lot-et-Garonne, qu'ils trouvaient « trop vieille » à leur goût.

Pas aussi vieille, néanmoins, que leur précédent logement à Frodsham, dans le nord de l'Angleterre, qu'ils ont habité pendant un an et quitté en avril, fatigués, au propre comme au figuré, de cohabiter, comme ils l'affirment et continuent à le raconter, avec des fantômes qui ne leur laissaient « aucun répit ».

De mort violente

Charlotte, originaire de Mérignac, en banlieue bordelaise, en a profité pour retrouver un peu de ses racines. Le bord de mer manquait aussi à Jean-Marc, né à l'île Maurice. En arrivant à Biganos, le couple Mariole n'a rien caché de ses mésaventures anglaises à leur nouveau propriétaire, un artisan qui n'avait pas forcément lu le « Sun » ou le « Daily Mirror », où l'histoire de ces Français a fait la Une. « C'est hallucinant », éclate de rire Charlotte Mariole, en ouvrant sa porte, prête à raconter, de nouveau et dans les moindres détails, son année avec les esprits.

Tout juste marié, le couple a choisi de s'installer dans le nord de l'Angleterre « pour le travail », à Frodsham, une petite ville « moins chère que Londres », dans une vieille maison inhabitée depuis plusieurs années.

« Personne ne nous a rien dit, alors que tout le monde savait. C'était l'omerta dans ce petit village. On ne savait pas encore que les anciens propriétaires, des Irlandais aisés qui avaient construit la maison en 1859, étaient tous morts de mort violente dans la maison. On saura aussi plus tard que deux voisins se sont pendus en face de chez nous », raconte Charlotte, avec volubilité et force gestes.

Le couple s'installe au deuxième et troisième étage de la maison : « C'est le début de l'histoire rocambolesque. » Charlotte se souvient d'abord du boucher, au rez-de-chaussée, « qui commençait à siffler à 5 heures du matin » : « J'ai compris plus tard qu'il avait peur des fantômes et sifflait pour s'en prémunir. » Au bout d'un mois, les esprits « se manifestent » chez les Mariole : « La première fois, je jouais au piano. J'ai entendu quelqu'un respirer fort derrière moi et senti une forte odeur de tabac », précise Jean-Marc, avec calme.

Dans le studio de musique, déjà aménagé dans la nouvelle maison de Biganos, le musicien évoque les « touches du piano qui jouaient toutes seules », des « coups frappés forts contre les murs quand je jouais de la ''dance'', ou au contraire les ombres blanches qui dansaient sur une musique plus classique, plus triste ».

Charlotte enchaîne, avec le plus grand naturel, sans chercher à convaincre ses interlocuteurs sceptiques, sur « les portes des placards qui claquent, le rideau de douche qui s'ouvre et se ferme, les phares de la voiture qui s'allument, le moteur qui démarre tout seul, une ombre assise dans l'escalier, les coups sur les portes, le lit qui se soulève » : « Ça donnait la chair de poule. »

Des amis n'y croient pas. Pourtant, « un copain est venu un dimanche, il a entendu une porte claquer alors qu'elle ne bougeait pas. Il est reparti aussitôt », répliquent les époux.

Un livre et un film

Le couple a fait venir un médium, des chercheurs, « tous témoins de ces mêmes phénomènes » filmés en vidéo. « Un prêtre a récité des prières et laissé de l'eau bénite. Tous nous ont conseillé de partir très vite. » La presse s'en est mêlée. Jean-Marc et Charlotte, qui ont souvent dormi à l'hôtel « pour avoir la paix », ont finalement quitté l'Angleterre fin avril.

Croyaient-ils aux fantômes avant de s'installer à Frodsham ? Jean-Marc convient qu'il en avait déjà « vus » dans un studio d'enregistrement, près de la Tour de Londres : « Un musicien effrayé n'a pas pu y revenir avant deux semaines. » Charlotte confie qu'après le décès de sa mère, il y a deux ans, elle a senti « sa présence » et entendu « le téléphone sonner dans la maison vide de Mérignac ».

À Biganos, ni esprits, ni fantômes. Des voisins tranquilles. « On respire », glisse le couple qui projette d'écrire un livre, un film et même des chansons sur leur histoire. Ils ont déjà le titre : « Le boucher, le bijoutier et le pendu. » Une histoire pour insomniaques, à moins que ce ne soit un conte à dormir debout.

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SudOuest.fr, 6 juin 2011, Bernadette DUBOURG

L'apparition de Villa Mercedes

Depuis cette journée du mardi 13 octobre 2009, l’école de Villa Mercedes en Argentine n'est plus la même. En effet, son calme a été perturbé par l'apparition d'une mystérieuse jeune fille fantôme, qui a été photographiée par un enseignant dans l'auditorium d'une école derrière un groupe d'étudiants.

Cet épisode inhabituel s'est produit à l'Ecole Normale de Villa Mercedes, dans la ville de San Luis. Ce jour-là, se tenait une conférence sur la sécurité. 

L'un des enseignants décida de photographier l'événement et de télécharger ses clichés sur son ordinateur. Les images furent prises à l’aide d’un appareil photo numérique. Sur ces dernières, on peut voir le visage d’une petite fille assise à l'arrière de la salle et tout à fait à l’écart du reste de ses camarades, et qu'aucun des participants n’auraient vues lors de la réunion.

Confus, il montra à ses collègues enseignants plutôt médusés. Ils en ont tous conclu que cette étrangeté n'avait pas participé à la réunion, et n’était ni reconnue, ni considérée comme étudiante. Tous soutinrent que physiquement, cette jeune fille n'avait jamais fréquenté leur établissement et ne possédaient, de ce fait, aucun document la concernant.

D’après certaines rumeurs, la salle serait hantée depuis de nombreuses années déjà. Mais cela semble être la première fois qu’une photographie d’une relative bonne qualité est prise.

Pour tenter de résoudre le mystère, le professeur Gaston Aseff étudia la photographie avec ses employés spécialisés dans l'imagerie et de détection de faux. Ses conclusions furent accablantes : la photographie n’aurait nullement été modifiée, manipulée ou falsifiée.

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primeraplanamundial.com, Rafael Franco,  jeudi 22 octobre 2009

Croyances Aborigènes

Les populations de l'Australie se réfèrent à des religions traditionnelles structurées autour du chamanisme animiste, du totémisme, du fétichisme et du culte des ancêtres selon les tribus concernées, ces communautés partageaient la même croyance entre eux mais leur grande répartition géographique entraîna une diversité religieuse. Les croyances découlent de la simplicité du mode de vie spirituelle et immatérielle des Aborigènes. 

Les Aborigènes, qui peuplèrent ensuite l'Océanie, furent influencés par des civilisations du nord plus avancées dans leur mythologie ainsi que dans leur adaptation à l'environnement hostile australien. 

Selon leur religion, le monde est peuplé d'un nombre infini de dieux sollicités par des rites magiques complexes comprenant des chants, des danses, des jeux, des sacrifices et le chamanisme. Les Australiens sont donc polythéistes et accordent à toute la nature, la faune et la flore un caractère sacré. 

Le temps du rêve est l'univers mythique qui vit surgirent les ancêtres, ces derniers façonnèrent le monde tel que nous le connaissons. Les rites et les songes permettent aux habitants de voyager hors de leur corps pour aller à la rencontre des ancêtres du Temps du rêve. Ces rites permettent aux Aborigènes d'établir une relation spirituelle avec la nature et les astres, ils revêtent le caractère sacré des anciens du Temps du rêve. Chaque homme est lié aux sites sacrés de sa région car ses ancêtres sont présents dans ces lieux. L'être humain a donc le devoir et l'obligation de préserver les rituels afin de maintenir l'ordre et l'équilibre crée par ses ancêtres. Ce Temps du rêve est aussi nommé Alcheringa ou Mura-Mura. Les personnages mis en évidence dans le Temps du rêve se réfèrent à des entités liées à la pluie et ses perturbations représentées par l'éclair, le tonnerre, les nuages mais aussi aux animaux qui y sont associés comme les grenouilles. 

Quand un homme meurt, son âme peut se retrouver dans le site totémique, soit le Temps du rêve soit dans le Chirunga (pierre ou objet gravé et peint représentant les ancêtres). 

L'origine de l'homme diffère selon les tribus australiennes, les Wondjina au nord-ouest et les Mamandabari du nord affirment que les premiers hommes surgirent du sol de la terre tandis que les aborigènes du sud-est et du nord-ouest décrivent dans leur culture le héros du ciel qui façonna l'univers ainsi que l'homme. Les populations plus à l'intérieur des terres considèrent que les hommes sont issus d'ancêtres sortis eux-mêmes de la terre. 

Dans les croyances, le mythe de la création délègue à la lune et au soleil les rôles primordiaux, ils sont associés à des animaux. Généralement, l'aigle, la corneille et la chauve-souris sont assimilés au commencement. La chauve-souris ou la lune inventèrent le sexe de la femme et donc le principe créateur. Ce sexe a été découvert par castration, renforçant par cette occasion l'élément masculin. 

Un animal est commun aux légendes des différentes tribus : le serpent arc-en-ciel. Cet animal apporta la fertilité à la terre après avoir façonné les formes du paysage. Il peut également punir par des inondations et des épidémies les tribus qui enfreignent les tabous. 

Le serpent arc-en-ciel cède son rôle à la Grande Mère en tant qu'être premier dans les territoires du nord de l'Australie. Elle créa la terre, la faune, la flore et les hommes. Grande Mère de l'Australie occidentale était une vieille femme avalant puis régurgitant les hommes. Cette sorte de mythe de Grande mère se retrouve dans d'autres tribus. Les filles de l'aînée des des 2 Djanggawul appelées Wawalag se rendirent à un point d'eau où elles énervèrent le serpent arc-en-ciel Yurlunggur. Ce dernier les goba pour ensuite les revomir sous l'aspect de fourmis vertes, chaque régurgitation correspondait à la cérémonie d'un rituel. 

Dans le nord-est, ses deux sœurs Djanggawul du Temps des rêves atteignirent la Place du Soleil après avoir quittées le pays des morts. Elles fairent surgir l'eau, les plantes, les animaux du sol en plantant leur bâton sacré nommé rangea. Les deux sœurs apprirent ensuite aux hommes les cérémonies des rituels qu'elles contenaient dans leur sac. Les hommes 
leur volèrent les objets sacrés et mutilèrent leur sexe pour en faire des femmes.

Source

Diablus.com

L’étrange apparition de la maison d’Emilia Attias

L’histoire d’Emilia Attias a provoqué bon nombre de remous en Argentine. En effet, d’après la ravissante actrice, sa vieille demeure serait habitée par un revenant. Selon elle, des objets bougeraient mystérieusement et une photographie d’un enfant fantomatique tirant la langue aurait été prise.

« Je suis celui qui a pris la photo du fantôme de Attias. A partir de ce moment-là j'ai commencé à y croire », témoigna Dario Heredia, le propriétaire d’une entreprise de construction spécialisée dans la rénovation de maisons anciennes. Il a été chargé de finaliser la réparation de la maison des sœurs Attias à Palerme.

L'histoire débuta réellement à la mi-Novembre de l’année 2008. A cette époque, Dario se rendit à la maison de la mère de famille afin d’y rénover toutes les chambres. Dans son travail quotidien, il prit une multitude de photos de tous les coins. Il découvrit sur ses clichés  quelque chose d'inhabituel.

Et en effet, on pouvait voir un jeune garçon en lévitation à l’intérieur de la penderie près de la porte du placard. Quoi qu'il en soit, le cliché fut publié à la presse, lorsque Emilia Attias déclara lors du programme télévisé Pura Quimica : « C'est quelque chose qui s'est passé il y a longtemps, dans une maison où je vivais avec ma famille il y a cinq ans, » dit alors Attias. Elle ajouta que les voisins racontèrent à sa mère qu’un jeune nourrisson s’était noyé quelques années auparavant.

Heredia reconnaît que certains des cas peuvent être qualifiés de normaux dans des bâtiments anciens. En effet, les vieilles bâtisses ont, bien, souvent, des planchers qui grincent et autres bruits insolites. Il déclara : « A partir de là, je sens que j'ai une sorte de don. Ces dernières semaines, j'ai vu dans une autre maison une figure en forme d'une femme. »

Alarmée par l'apparition, la famille Attias envoya un guérisseur mais apparemment en vain, puisque, Heredia déclara : « Quelques jours plus tard je suis retourné à la maison et le garçon m’est de nouveau apparu, mais cette fois j'ai senti qu’il courrait. »

En dépit de cette histoire sombre, cette maison semblerait bien habitée par des êtres venus d’ailleurs. « Mon frère, qui habite proche de cet endroit, dit qu’Attias entend régulièrement des bruits étranges. »

 
Toutefois, au cours d'une conversation téléphonique avec des intrusions, a minimisé ce effrayant de la situation: «Ce n'était pas autre chose dans la maison. Je pense que c'est quelque chose qui se passe sur Dario. Déjà il passait des choses assez souvent. "

« Il y a des gens qui ressentent les choses de manière différente » ajouta l'actrice.

La photographie présentée est assez étonnante de réalisme. Peut-être est-elle truquée comme tant d’autres qui foisonnent sur la Toile. Pour autant, la jeune habitante est une femme riche, reconnue et aimée dans son pays. Alors, pour quelle raison se serait-elle amusée à de telle futilité ?

Source

Redacción 24CON, 10 mai 2011

L’Église de Satan victime d’idées fausses ?

Marilyn Manson et Anton Szandor LaVey

L’Eglise de Satan, rien que d’évoquer le nom de cette religion, et la peur en nous se fait ressentir. Ce mouvement, si controversé, a été fondé par un ancien dompteur originaire de Chicago, Anton Szandor LaVey, le 30 avril 1966 lors de la nuit du Walpurgis.

Selon une chercheuse de l’université de Concordia à Montréal, l’Eglise du diable serait victime de nombreux préjugés et d’idées fausses.

Satan signifie en hébreu « adversaire ». De ce fait, beaucoup de gens voient dans ces prétendues cérémonies des scènes sanglantes et des sacrifices, d’après l’auteure Cimminnee Holt dans son article « Death and Dying in the Satanic Worldview », publié dans le Journal of Religion & Culture.

Cela viendrait du fait que l’on confonde, bien souvent, les membres de cette église si particulière aux satanistes théistes, qui eux vouent réellement un culte disproportionné au Diable.

L’Eglise de Satan tient en fait son succès au développement progressif des nouveaux mouvements athéistes. Leur organisation se développe certes en dehors de la société traditionnelle mais ils respectent parfaitement les lois.

La crainte de répressions amène d’ailleurs la plupart des adeptes à cacher leur affiliation : « Chaque membre peut décider de dévoiler ou non son adhésion; le plus souvent, il choisit pour différentes raisons de se taire, précise Mme Holt. En parler ouvertement pourrait lui nuire. »

Pour prouver leur bonne foi et pour probablement gagner en légitimité aux yeux de la population, ils dénoncèrent un jeune homme au FBI qui voulait « tuer au nom de notre Seigneur profane Satan ».

Source

Le Journal de Montréal, 8 juin 2011