vendredi 30 mai 2025

Un fantôme à bord : quand les esprits prennent aussi l’avion

Un fantôme à bord : quand les esprits prennent aussi l’avion

Vol Ryanair Londres–Barcelone, altitude 10 000 mètres. Un passager pas comme les autres prend place à bord : invisible aux yeux de la plupart, mais pas de Chloé Smith. Médium reconnue au Royaume-Uni, elle affirme avoir vu un fantôme lui adresser un salut militaire en plein vol.

« Il était assis à côté d’un homme, cinq rangées devant moi », raconte Chloé Smith, encore troublée par l’expérience. « Il s’est retourné vers moi, comme s’il savait que je pouvais le voir. » Le geste était clair : un salut silencieux, une reconnaissance d’âme à âme.

Pour Smith, ce genre de rencontre est presque banal. Elle dit être visitée par des esprits « presque tous les jours » dans les lieux les plus ordinaires : aéroports, hôtels, piscines. « Ils trouvent toujours un moyen de me faire savoir qu’ils sont là. Une main sur mon épaule, un regard soutenu, un objet déplacé... On n’est jamais vraiment en vacances quand on est médium. Et surtout, on n’est jamais vraiment seul. »

Quant à l’identité de ce passager fantomatique, Chloé ne veut pas trancher. « C’était peut-être un ancien pilote, attaché à cet avion, ou bien un proche venu rassurer un membre anxieux de sa famille. Les raisons qui les retiennent ici sont multiples, mais leur présence est souvent empreinte de bienveillance. »

Face à un monde de plus en plus nerveux à l’idée de voler, l’idée d’un fantôme à bord pourrait sembler peu rassurante. Mais pour Chloé Smith, au contraire, c’est parfois le signe d’une protection invisible. « Ils ne sont pas là pour faire peur. Souvent, ils veillent. »

Alors, la prochaine fois que vous embarquez pour une destination ensoleillée, jetez un œil autour de vous. Si un salut vous est adressé par un passager que seul vous semblez remarquer, souvenez-vous : il s’agit peut-être d’un simple bonjour… ou d’un adieu.

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Grok, CC0, https://x.com/
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TagsFantôme

jeudi 29 mai 2025

Un OVNI métallique photographié au-dessus du mont Shasta, en Californie

Un OVNI métallique photographié au-dessus du mont Shasta, en Californie

Un étrange objet volant non identifié (OVNI) a récemment été repéré au-dessus du mont Shasta, en Californie, via Google Maps. Visible sur une image satellite, l’objet semble suspendu dans le ciel, juste au-dessus du sommet enneigé. Sa forme discoïdale et métallique intrigue les internautes, certains y voyant la preuve d’une présence extraterrestre, d'autres évoquant une anomalie d'image. Le mont Shasta, lieu mystique et chargé de légendes, est depuis longtemps associé à des phénomènes paranormaux. Cette nouvelle observation ne fait qu’alimenter les spéculations autour de cette montagne énigmatique.

Lien (Google Maps)
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Un texte de 1700 aurait prédit l’ère moderne et la Première Guerre mondiale

Un texte de 1700 aurait prédit l’ère moderne et la Première Guerre mondiale

Dans les vallées brumeuses des Hautes-Pyrénées, entre sources thermales et sommets enneigés, une prophétie oubliée semble défier le temps et l’entendement. Rédigée en l’an 1700 selon certains récits, la "Prophétie de Cauterets" ressurgit au début du XXe siècle, publiée dans Le Figaro au moment du déclenchement de la Grande Guerre. Ce texte énigmatique, découvert dans les archives de la ville thermale de Cauterets, dépeint avec une précision troublante non seulement l’arrivée des technologies modernes, mais aussi les grandes lignes du conflit mondial de 1914-1918.

Une anticipation saisissante de la modernité

La prophétie commence par deux vers aussi courts que visionnaires :

"Quand les voitures sillonneront les routes sans chevaux ;
Quand on se parlera d'un bout à l'autre du monde ;"

Difficile de ne pas y voir une allusion directe à l’avènement de l’automobile et des moyens de communication tels que le téléphone, la radio et, plus récemment encore, Internet. En 1700, l’idée même de se déplacer sans chevaux ou de parler à distance paraissait purement fantaisiste. Et pourtant, ces vers prennent tout leur sens à la lumière des évolutions technologiques du XXe et du XXIe siècles.

Une chronologie glaçante de l’année 1914

Mais c’est surtout par sa description presque journalistique des événements de 1914 que le texte fascine :

"En l’an 1914 :
Mai parlera de guerre,
Juin la décidera,
Juillet la déclarera,
Août, on verra des pleurs dans les yeux des épouses et des mères…"

Cette séquence, aussi poétique qu’effrayante, suit fidèlement le déroulement de l’été 1914 : les tensions diplomatiques de mai, l’attentat de Sarajevo en juin, la mobilisation générale en juillet et le déferlement de violence en août. Chaque mois semble résumé en une phrase prophétique, comme un funeste calendrier déjà écrit.

"Octobre verra du sang jusqu'aux genoux dans trois villes de Prusse", ajoute-t-elle, évoquant peut-être les terribles combats de l'Est, tandis que "Novembre, un homme blanc décidera la paix" laisse place à interprétation — serait-ce une préfiguration de la diplomatie internationale, ou du rôle d’un chef d’État ?

La conclusion, optimiste, annonce une France victorieuse et en paix en décembre. Si l’Armistice n’eut lieu qu’en novembre 1918, la prophétie semble condenser le conflit dans l’année 1914, comme si le destin en était scellé dès le départ.

Prophétie ou habile supercherie ?

L’origine exacte du texte demeure floue. Aucune trace concrète ne permet d’en authentifier la rédaction en 1700, et certains historiens suggèrent qu’il pourrait s’agir d’un canular littéraire publié à posteriori, au début de la guerre, dans un climat propice aux récits surnaturels et aux signes du destin. Le fait que Le Figaro l’ait publié en 1914 tend à accréditer son existence antérieure au conflit, mais le mystère reste entier quant à son auteur.

Un écho fascinant

Aujourd’hui encore, la "Prophétie de Cauterets" intrigue et inspire. Dans une époque où le monde semble parfois vaciller, elle soulève des questions sur la possibilité d’une conscience hors du temps, ou sur notre besoin collectif de trouver du sens dans le chaos de l’Histoire. Qu’elle soit authentique ou construite de toutes pièces, elle demeure un témoignage fascinant de l’imaginaire collectif face à l’inconnu.

À Cauterets, nichée dans ses montagnes, la prophétie continue de traverser les siècles, comme un murmure énigmatique venu d’un autre temps.

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IhorKuryliak, Pixabay, https://pixabay.com/illustrations/daniel-prophet-the-book-of-daniel-8556717/
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mercredi 28 mai 2025

Le mystère des OVNI à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique

Le mystère des OVNI à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique

Alors que la thèse dominante attribue les nombreux objets volants non identifiés (OVNIs) observés à la frontière américano-mexicaine à des drones utilisés par les cartels de la drogue, une voix discordante s’élève. Bob Thompson, vétéran de l’armée américaine et ancien agent des douanes et de la protection des frontières (CBP), affirme que la réalité pourrait être bien plus étrange… et plus inquiétante.

Invité d’un podcast spécialisé dans les phénomènes inexpliqués, Thompson a dévoilé une vidéo inédite capturée début 2020 par un avion de reconnaissance de la CBP près de la frontière de l’Arizona. L’engin en question, surnommé The Cigar (« Le Cigare ») en raison de sa forme cylindrique compacte, ne présentait ni ailes, ni hélices, ni trace thermique détectable — un défi sérieux pour l’hypothèse du drone.

« Ce n’est pas un drone de cartel », tranche Thompson. « Il allait à une vitesse incroyable, sans faire le moindre bruit. » Selon lui, l’appareil défiait les capacités technologiques connues, civiles ou militaires. Il n’exclut cependant pas qu’il puisse s’agir d’un missile expérimental, mais insiste : « Cela mérite une enquête sérieuse. »

Plus troublant encore, Thompson affirme avoir interrogé plus d’une centaine de collègues de la CBP ayant été témoins de phénomènes similaires. « J’ai vu des orbes à l’horizon, des engins en forme de cigare, des triangles… Ce ne sont pas des hallucinations collectives », affirme-t-il.

Mais le point le plus déroutant de son témoignage concerne ce que plusieurs agents qualifient de véritables « portails » s’ouvrant dans le ciel. « Ce ne sont pas des ronds de fumée », précise Thompson. « Ce sont autre chose. On ne comprend pas ce que c’est, mais c’est terrifiant. »

Les services frontaliers, souvent en première ligne des questions sécuritaires, seraient-ils également en première ligne d’un mystère plus vaste encore ? Faute de reconnaissance officielle ou d’enquête fédérale, ces incidents restent cantonnés à des rapports informels et des vidéos classées.

La communauté ufologique s’emballe, tandis que les autorités restent silencieuses. Pour certains sceptiques, l’idée même d’objets extraterrestres survolant le désert du Sonora frôle le fantasme. Pour d’autres, c’est le silence officiel qui alimente le plus les soupçons.

Et si certains plaisantent en se demandant quand les extraterrestres passeront du cigare au vape pen, d’autres, comme Thompson, ne rient pas. « Ce n’est pas une question de croyance. C’est une question de faits. Et les faits, on les ignore trop facilement. »

Dans une époque où les frontières deviennent des zones de haute technologie, peut-être est-il temps d’ouvrir un autre type de frontière : celle de notre compréhension.

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dimanche 25 mai 2025

La vérité sur le Roswell Chinois : archéologie interdite et rumeurs


En 1938, une équipe d'archéologues dirigée par un professeur chinois découvre des squelettes de petite taille et des disques de pierre gravés dans une langue inconnue dans les montagnes reculées de Bayankara-Ula. Ces artefacts suscitent de nombreuses spéculations et, quand ils finissent par être compris, les autorités font tout pour étouffer l'affaire, car la vérité serait trop perturbante pour être révélée…

Une découverte étrange dans les montagnes de Bayankara-Ula

En 1938, l'archéologue chinois Chi Pu Tei dirigeait une expédition dans une région montagneuse reculée à la frontière entre la Chine et le Tibet, connue sous le nom de Bayankara-Ula. Cette zone, peu explorée à l’époque, recèle de grottes mystérieuses creusées à flanc de falaise, semblables à des tombes anciennes. Ce que l’équipe y découvre dépasse rapidement les frontières de la science officielle : des squelettes mesurant à peine 1,20 mètre, au crâne disproportionné, à l’allure fragile, mais surtout différents de toute population humaine connue.

À leurs côtés, des objets en pierre en forme de disques – plus tard nommés les disques de Dropa – sont mis au jour. Ces disques, de la taille d’un 33 tours, possèdent un trou en leur centre et sont gravés de minuscules caractères spiralés qui défient toute identification linguistique classique.

Des artefacts incompréhensibles… puis traduits

Durant des années, ces disques intriguent les chercheurs. Il faut attendre les années 1960 pour qu’un autre scientifique chinois, Tsum Um Nui, affirme avoir déchiffré les inscriptions. Selon sa traduction, les disques raconteraient l’histoire d’un peuple venu d’un autre monde, écrasé sur Terre il y a des milliers d’années. Ces étrangers, appelés les Dropa, se seraient retrouvés isolés dans les montagnes, sans possibilité de retour, et auraient tenté de coexister avec les tribus locales.

Ce récit, à la fois troublant et fascinant, contredit de nombreuses certitudes historiques et archéologiques. Il insinue une présence extraterrestre ancienne sur Terre et l’existence d’un contact oublié avec une civilisation d’un autre monde. Une telle hypothèse, si elle était avérée, bousculerait les fondements mêmes de notre compréhension de l’histoire humaine.

Silence officiel et disparition des preuves

Peu de temps après la publication de la traduction de Tsum Um Nui dans un journal scientifique de Pékin, les autorités chinoises réagissent étrangement : l’article est rapidement censuré, Tsum Um Nui est discrédité, et les disques sont retirés des collections visibles au public. Plusieurs témoins affirment qu’ils auraient été entreposés dans un musée de Xi’an avant de disparaître mystérieusement.

L’affaire des Dropa devient alors un sujet tabou. La Chine, en pleine mutation politique, étouffe toute tentative d’étude indépendante, craignant peut-être que cette histoire ne serve de prétexte à des récits conspirationnistes ou à des croyances jugées dangereuses.

Entre mythe et vérité : que faut-il croire ?

Aujourd’hui, l’histoire du “Roswell chinois” divise les chercheurs. Pour certains, tout cela n’est qu’un canular bien ficelé, nourri par l’imaginaire ufologique du XXe siècle. Ils pointent du doigt l'absence de preuves matérielles solides, la disparition soudaine des disques, et le flou autour de l'existence même de Tsum Um Nui (qui n'apparaît dans aucun registre officiel connu). D'autres, cependant, rappellent que de nombreuses découvertes archéologiques ont été volontairement mises sous silence à travers l'histoire, lorsqu'elles remettaient en cause les dogmes établis.

Des chercheurs indépendants continuent à traquer les traces de cette affaire. Certains affirment avoir vu des photos des disques, d'autres parlent de documents classifiés, et des légendes locales tibétaines semblent évoquer une époque où des “êtres venus des étoiles” auraient vécu dans les montagnes.

Conclusion : une vérité trop dérangeante ?

L’affaire de Bayankara-Ula soulève une question fondamentale : jusqu’où les autorités sont-elles prêtes à aller pour protéger une version officielle de l’histoire ? Que cette histoire soit vraie, exagérée, ou pure invention, elle révèle une chose : notre fascination pour l’inconnu, pour l’idée que nous ne sommes peut-être pas seuls – ni aujourd’hui, ni hier.

Dans un monde où les découvertes scientifiques se heurtent parfois aux intérêts politiques et culturels, l’énigme des Dropa reste un rappel troublant : la vérité ne se trouve pas toujours là où l’on nous dit de la chercher.


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TagsExtraterrestre

samedi 24 mai 2025

Un Avocat Affirme que le Pape Leo XIV Pourrait Ouvrir les Archives OVNI du Vatican

Un Avocat Affirme que le Pape Leo XIV Pourrait Ouvrir les Archives OVNI du Vatican

Dans un monde où la frontière entre science et spiritualité semble de plus en plus ténue, une déclaration récente vient secouer les sphères diplomatiques, religieuses et ufologiques. Daniel Sheehan, avocat de renom, militant politique et fervent défenseur de la divulgation des dossiers sur les objets volants non identifiés (OVNI), affirme que le pape actuel, Leo XIV, pourrait devenir le souverain pontife qui ouvrira enfin les archives secrètes du Vatican sur les extraterrestres.

Dans une interview accordée à un média indépendant spécialisé dans les divulgations gouvernementales, Sheehan – qui fut également conseiller du Vatican et de la Maison-Blanche dans les années 1970 – soutient que le pape Leo XIV souhaite réconcilier foi et science dans une perspective résolument tournée vers l’avenir. Une démarche qui, selon lui, placerait le Vatican à l’avant-garde d’un bouleversement civilisationnel : la reconnaissance officielle d’une intelligence non humaine dans l’univers.

Un héritage astronomique

L’annonce a de quoi surprendre, mais elle s’appuie sur une continuité historique. Sheehan rappelle en effet que le prédécesseur spirituel de l’actuel souverain pontife, le pape Leo XIII (et non Leo XII, comme parfois rapporté), avait fondé en 1891 l’Observatoire du Vatican. Un geste visionnaire qui, dès l’époque, avait nourri les spéculations sur les véritables intérêts astronomiques du Saint-Siège.

« Il existe depuis longtemps au sein de l’Église un courant intellectuel qui considère que la découverte d’une vie extraterrestre ne contredirait pas la foi catholique », explique Sheehan. « Le pape Leo XIV s’inscrit dans cette lignée. Il veut créer un dialogue profond entre la théologie et la cosmologie moderne. »

Un pont entre deux mondes

Selon l’avocat, qui avait personnellement été chargé par le président américain Jimmy Carter dans les années 1970 de dialoguer avec des responsables du Vatican au sujet des OVNI, cette ouverture papale pourrait être historique. Rappelons que Jimmy Carter lui-même avait rapporté avoir observé un OVNI dans les années 1960, et s’était engagé lors de sa campagne présidentielle à faire toute la lumière sur ces phénomènes.

« Je pense que le pape Leo XIV est prêt à aller là où aucun autre pape n’a osé aller, » affirme Sheehan. « Il veut moderniser l’Église en l’alignant sur les grandes vérités émergentes de notre époque, dont l’existence probable d’une civilisation extraterrestre avancée. »

Une coopération transatlantique en vue ?

Mais le projet du pape ne se limiterait pas aux murs du Vatican. Sheehan suggère qu’une telle démarche pourrait aussi faire pression sur le gouvernement américain pour qu’il déclassifie davantage de ses propres dossiers sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (PAN). Selon lui, l’actuel président des États-Unis pourrait voir dans une collaboration avec le Vatican une occasion politique sans précédent : être celui qui dévoile officiellement l’existence d’un contact extraterrestre à l’humanité.

« Si le pape s’exprime publiquement sur ce sujet, cela pourrait créer un précédent moral et spirituel si puissant que les gouvernements n’auront plus le choix », estime-t-il.

Une Église en mutation

Au sein du Vatican, aucune déclaration officielle n’a encore été faite à ce sujet. Mais plusieurs analystes observent une ouverture croissante des autorités religieuses aux sujets jusqu’ici jugés tabous. Des jésuites influents de l’Observatoire du Vatican ont déjà déclaré par le passé que l’idée d’une vie extraterrestre n’était pas incompatible avec la doctrine chrétienne.

Alors que le monde entre dans une nouvelle ère de transparence sur les phénomènes inexpliqués, la voix de Rome pourrait bien s’avérer déterminante. Et si Sheehan voit juste, l’humanité pourrait se trouver à l’aube d’un dialogue inespéré entre les étoiles et les autels.

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vendredi 23 mai 2025

Trois lumières blanches dans le ciel gallois : un ancien technicien de la Royal Navy raconte

Trois lumières blanches dans le ciel gallois : un ancien technicien de la Royal Navy raconte

Un témoignage troublant vient s’ajouter à la longue liste des signalements d’objets volants non identifiés répertoriés par le National UFO Reporting Center (NUFORC). Le 22 mai 2025, à 14h20 heure locale, un ancien technicien aéronautique de la Royal Navy affirme avoir été le témoin d’un phénomène aussi bref que stupéfiant dans le ciel de Johnstown, au Pays de Galles.

Alors qu’il était assis dehors pour fumer une cigarette, l’homme – dont l'identité n’a pas été divulguée – a observé pendant environ cinq secondes trois lumières blanches, disposées en triangle, se déplaçant à très haute altitude et à une vitesse estimée à plusieurs milliers de kilomètres par heure.

« Ce n’était ni un satellite, ni un avion », affirme le témoin dans sa déposition au NUFORC. Fort de ses sept années de service en tant que technicien principal dans la marine britannique, il insiste sur le fait que le comportement des objets ne correspondait à aucun mouvement aérien conventionnel. « La vitesse n’avait rien à voir avec ce que j’ai pu observer en service. Et il n’y avait absolument aucun bruit », précise-t-il.

Détail intrigant : l’un des trois objets aurait dévié légèrement de sa trajectoire, laissant penser qu’il ne s’agissait pas d’un seul appareil triangulaire doté de trois lumières, mais bien de trois engins distincts, évoluant en formation – ou presque.

L’observation, bien que brève, soulève de nombreuses questions. L’altitude des objets, jugée trop élevée pour en estimer la distance avec précision, pourrait se situer à « plusieurs milliers de pieds », selon l’ex-militaire. Mais c’est le silence absolu et l’accélération fulgurante qui semblent avoir le plus marqué ce témoin expérimenté. « J’étais bouche bée. Je n’ai aucune idée de ce que cela pouvait être. C’était tout simplement incroyable », conclut-il dans son rapport.

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File Upload Bot (Magnus Manske), CC BY-SA 2.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=30392895
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