Vol Ryanair Londres–Barcelone, altitude 10 000 mètres. Un passager pas comme les autres prend place à bord : invisible aux yeux de la plupart, mais pas de Chloé Smith. Médium reconnue au Royaume-Uni, elle affirme avoir vu un fantôme lui adresser un salut militaire en plein vol.
« Il était assis à côté d’un homme, cinq rangées devant moi »,
raconte Chloé Smith, encore troublée par l’expérience. « Il s’est
retourné vers moi, comme s’il savait que je pouvais le voir. » Le
geste était clair : un salut silencieux, une reconnaissance d’âme à
âme.
Pour Smith, ce genre de rencontre est presque banal. Elle dit
être visitée par des esprits « presque tous les jours » dans les
lieux les plus ordinaires : aéroports, hôtels, piscines. « Ils
trouvent toujours un moyen de me faire savoir qu’ils sont là. Une
main sur mon épaule, un regard soutenu, un objet déplacé... On
n’est jamais vraiment en vacances quand on est médium. Et surtout,
on n’est jamais vraiment seul. »
Quant à l’identité de ce passager fantomatique, Chloé ne veut
pas trancher. « C’était peut-être un ancien pilote, attaché à cet
avion, ou bien un proche venu rassurer un membre anxieux de sa
famille. Les raisons qui les retiennent ici sont multiples, mais
leur présence est souvent empreinte de bienveillance. »
Face à un monde de plus en plus nerveux à l’idée de voler,
l’idée d’un fantôme à bord pourrait sembler peu rassurante. Mais
pour Chloé Smith, au contraire, c’est parfois le signe d’une
protection invisible. « Ils ne sont pas là pour faire peur.
Souvent, ils veillent. »
Alors, la prochaine fois que vous embarquez pour une destination
ensoleillée, jetez un œil autour de vous. Si un salut vous est
adressé par un passager que seul vous semblez remarquer,
souvenez-vous : il s’agit peut-être d’un simple bonjour… ou d’un
adieu.
Un étrange objet volant non identifié (OVNI) a
récemment été repéré au-dessus du mont Shasta, en Californie, via
Google Maps. Visible sur une image satellite, l’objet semble
suspendu dans le ciel, juste au-dessus du sommet enneigé. Sa forme
discoïdale et métallique intrigue les internautes, certains y
voyant la preuve d’une présence extraterrestre, d'autres évoquant
une anomalie d'image. Le mont Shasta, lieu mystique et chargé de
légendes, est depuis longtemps associé à des phénomènes
paranormaux. Cette nouvelle observation ne fait qu’alimenter les
spéculations autour de cette montagne énigmatique.
Dans les vallées brumeuses des Hautes-Pyrénées, entre sources thermales et sommets enneigés, une prophétie oubliée semble défier le temps et l’entendement. Rédigée en l’an 1700 selon certains récits, la "Prophétie de Cauterets" ressurgit au début du XXe siècle, publiée dans Le Figaro au moment du déclenchement de la Grande Guerre. Ce texte énigmatique, découvert dans les archives de la ville thermale de Cauterets, dépeint avec une précision troublante non seulement l’arrivée des technologies modernes, mais aussi les grandes lignes du conflit mondial de 1914-1918.
Une anticipation saisissante de la modernité
La prophétie commence par deux vers aussi courts que
visionnaires :
"Quand les voitures sillonneront les routes sans chevaux
;
Quand on se parlera d'un bout à l'autre du monde ;"
Difficile de ne pas y voir une allusion directe à l’avènement de
l’automobile et des moyens de communication tels que le téléphone,
la radio et, plus récemment encore, Internet. En 1700, l’idée même
de se déplacer sans chevaux ou de parler à distance paraissait
purement fantaisiste. Et pourtant, ces vers prennent tout leur sens
à la lumière des évolutions technologiques du XXe et du XXIe
siècles.
Une chronologie glaçante de l’année 1914
Mais c’est surtout par sa description presque journalistique des
événements de 1914 que le texte fascine :
"En l’an 1914 :
Mai parlera de guerre,
Juin la décidera,
Juillet la déclarera,
Août, on verra des pleurs dans les yeux des épouses et des
mères…"
Cette séquence, aussi poétique qu’effrayante, suit fidèlement le
déroulement de l’été 1914 : les tensions diplomatiques de mai,
l’attentat de Sarajevo en juin, la mobilisation générale en juillet
et le déferlement de violence en août. Chaque mois semble résumé en
une phrase prophétique, comme un funeste calendrier déjà écrit.
"Octobre verra du sang jusqu'aux genoux dans trois
villes de Prusse", ajoute-t-elle, évoquant peut-être les
terribles combats de l'Est, tandis que "Novembre, un homme
blanc décidera la paix" laisse place à interprétation —
serait-ce une préfiguration de la diplomatie internationale, ou du
rôle d’un chef d’État ?
La conclusion, optimiste, annonce une France victorieuse et en
paix en décembre. Si l’Armistice n’eut lieu qu’en novembre 1918, la
prophétie semble condenser le conflit dans l’année 1914, comme si
le destin en était scellé dès le départ.
Prophétie ou habile supercherie ?
L’origine exacte du texte demeure floue. Aucune trace concrète
ne permet d’en authentifier la rédaction en 1700, et certains
historiens suggèrent qu’il pourrait s’agir d’un canular littéraire
publié à posteriori, au début de la guerre, dans un climat propice
aux récits surnaturels et aux signes du destin. Le fait que
Le Figaro l’ait publié en 1914 tend à accréditer
son existence antérieure au conflit, mais le mystère reste entier
quant à son auteur.
Un écho fascinant
Aujourd’hui encore, la "Prophétie de Cauterets" intrigue et
inspire. Dans une époque où le monde semble parfois vaciller, elle
soulève des questions sur la possibilité d’une conscience hors du
temps, ou sur notre besoin collectif de trouver du sens dans le
chaos de l’Histoire. Qu’elle soit authentique ou construite de
toutes pièces, elle demeure un témoignage fascinant de l’imaginaire
collectif face à l’inconnu.
À Cauterets, nichée dans ses montagnes, la prophétie continue de
traverser les siècles, comme un murmure énigmatique venu d’un autre
temps.
Alors que la thèse dominante attribue les nombreux objets volants non identifiés (OVNIs) observés à la frontière américano-mexicaine à des drones utilisés par les cartels de la drogue, une voix discordante s’élève. Bob Thompson, vétéran de l’armée américaine et ancien agent des douanes et de la protection des frontières (CBP), affirme que la réalité pourrait être bien plus étrange… et plus inquiétante.
Invité d’un podcast spécialisé dans les phénomènes inexpliqués,
Thompson a dévoilé une vidéo inédite capturée début 2020 par un
avion de reconnaissance de la CBP près de la frontière de
l’Arizona. L’engin en question, surnommé The Cigar (« Le
Cigare ») en raison de sa forme cylindrique compacte, ne présentait
ni ailes, ni hélices, ni trace thermique détectable — un défi
sérieux pour l’hypothèse du drone.
« Ce n’est pas un drone de cartel », tranche Thompson. « Il
allait à une vitesse incroyable, sans faire le moindre bruit. »
Selon lui, l’appareil défiait les capacités technologiques connues,
civiles ou militaires. Il n’exclut cependant pas qu’il puisse
s’agir d’un missile expérimental, mais insiste : « Cela mérite une
enquête sérieuse. »
Plus troublant encore, Thompson affirme avoir interrogé plus
d’une centaine de collègues de la CBP ayant été témoins de
phénomènes similaires. « J’ai vu des orbes à l’horizon, des engins
en forme de cigare, des triangles… Ce ne sont pas des
hallucinations collectives », affirme-t-il.
Mais le point le plus déroutant de son témoignage concerne ce
que plusieurs agents qualifient de véritables « portails »
s’ouvrant dans le ciel. « Ce ne sont pas des ronds de fumée »,
précise Thompson. « Ce sont autre chose. On ne comprend pas ce que
c’est, mais c’est terrifiant. »
Les services frontaliers, souvent en première ligne des
questions sécuritaires, seraient-ils également en première ligne
d’un mystère plus vaste encore ? Faute de reconnaissance officielle
ou d’enquête fédérale, ces incidents restent cantonnés à des
rapports informels et des vidéos classées.
La communauté ufologique s’emballe, tandis que les autorités
restent silencieuses. Pour certains sceptiques, l’idée même
d’objets extraterrestres survolant le désert du Sonora frôle le
fantasme. Pour d’autres, c’est le silence officiel qui alimente le
plus les soupçons.
Et si certains plaisantent en se demandant quand les
extraterrestres passeront du cigare au vape pen, d’autres, comme
Thompson, ne rient pas. « Ce n’est pas une question de croyance.
C’est une question de faits. Et les faits, on les ignore trop
facilement. »
Dans une époque où les frontières deviennent des zones de haute
technologie, peut-être est-il temps d’ouvrir un autre type de
frontière : celle de notre compréhension.
En 1938, une équipe d'archéologues dirigée par un professeur
chinois découvre des squelettes de petite taille et des disques de
pierre gravés dans une langue inconnue dans les montagnes reculées
de Bayankara-Ula. Ces artefacts suscitent de nombreuses
spéculations et, quand ils finissent par être compris, les
autorités font tout pour étouffer l'affaire, car la vérité serait
trop perturbante pour être révélée…
Une découverte étrange dans les montagnes de
Bayankara-Ula
En 1938, l'archéologue chinois Chi Pu Tei
dirigeait une expédition dans une région montagneuse reculée à la
frontière entre la Chine et le Tibet, connue sous le nom de
Bayankara-Ula. Cette zone, peu explorée à
l’époque, recèle de grottes mystérieuses creusées à flanc de
falaise, semblables à des tombes anciennes. Ce que l’équipe y
découvre dépasse rapidement les frontières de la science officielle
: des squelettes mesurant à peine 1,20 mètre, au
crâne disproportionné, à l’allure fragile, mais surtout
différents de toute population humaine connue.
À leurs côtés, des objets en pierre en forme de
disques – plus tard nommés les disques de
Dropa – sont mis au jour. Ces disques, de la taille d’un
33 tours, possèdent un trou en leur centre et sont gravés
de minuscules caractères spiralés qui défient toute
identification linguistique classique.
Des artefacts incompréhensibles… puis
traduits
Durant des années, ces disques intriguent les chercheurs. Il
faut attendre les années 1960 pour qu’un autre scientifique
chinois, Tsum Um Nui, affirme avoir
déchiffré les inscriptions. Selon sa traduction,
les disques raconteraient l’histoire d’un peuple venu d’un
autre monde, écrasé sur Terre il y a des milliers
d’années. Ces étrangers, appelés les Dropa, se
seraient retrouvés isolés dans les montagnes, sans possibilité de
retour, et auraient tenté de coexister avec les tribus locales.
Ce récit, à la fois troublant et fascinant, contredit de
nombreuses certitudes historiques et archéologiques. Il insinue une
présence extraterrestre ancienne sur Terre et
l’existence d’un contact oublié avec une civilisation d’un autre
monde. Une telle hypothèse, si elle était avérée,
bousculerait les fondements mêmes de notre compréhension de
l’histoire humaine.
Silence officiel et disparition des
preuves
Peu de temps après la publication de la traduction de Tsum Um
Nui dans un journal scientifique de Pékin, les autorités
chinoises réagissent étrangement : l’article est
rapidement censuré, Tsum Um Nui est discrédité, et les disques sont
retirés des collections visibles au public.
Plusieurs témoins affirment qu’ils auraient été entreposés dans un
musée de Xi’an avant de disparaître
mystérieusement.
L’affaire des Dropa devient alors un sujet tabou. La Chine, en
pleine mutation politique, étouffe toute tentative d’étude
indépendante, craignant peut-être que cette histoire ne
serve de prétexte à des récits conspirationnistes ou à des
croyances jugées dangereuses.
Entre mythe et vérité : que faut-il croire
?
Aujourd’hui, l’histoire du “Roswell chinois”
divise les chercheurs. Pour certains, tout cela n’est qu’un
canular bien ficelé, nourri par l’imaginaire
ufologique du XXe siècle. Ils pointent du doigt l'absence de
preuves matérielles solides, la disparition soudaine des disques,
et le flou autour de l'existence même de Tsum Um Nui (qui
n'apparaît dans aucun registre officiel connu). D'autres,
cependant, rappellent que de nombreuses découvertes
archéologiques ont été volontairement mises sous silence à
travers l'histoire, lorsqu'elles remettaient en cause les dogmes
établis.
Des chercheurs indépendants continuent à traquer les traces de
cette affaire. Certains affirment avoir vu des photos des disques,
d'autres parlent de documents classifiés, et des légendes locales
tibétaines semblent évoquer une époque où des “êtres venus
des étoiles” auraient vécu dans les montagnes.
Conclusion : une vérité trop dérangeante
?
L’affaire de Bayankara-Ula soulève une question fondamentale :
jusqu’où les autorités sont-elles prêtes à aller pour
protéger une version officielle de l’histoire ? Que cette
histoire soit vraie, exagérée, ou pure invention, elle révèle une
chose : notre fascination pour l’inconnu, pour l’idée que nous ne
sommes peut-être pas seuls – ni aujourd’hui, ni hier.
Dans un monde où les découvertes scientifiques se heurtent
parfois aux intérêts politiques et culturels, l’énigme des Dropa
reste un rappel troublant : la vérité ne se trouve
pas toujours là où l’on nous dit de la chercher.
Dans un monde où la frontière entre science et spiritualité semble de plus en plus ténue, une déclaration récente vient secouer les sphères diplomatiques, religieuses et ufologiques. Daniel Sheehan, avocat de renom, militant politique et fervent défenseur de la divulgation des dossiers sur les objets volants non identifiés (OVNI), affirme que le pape actuel, Leo XIV, pourrait devenir le souverain pontife qui ouvrira enfin les archives secrètes du Vatican sur les extraterrestres.
Dans une interview accordée à un média indépendant spécialisé
dans les divulgations gouvernementales, Sheehan – qui fut également
conseiller du Vatican et de la Maison-Blanche dans les années 1970
– soutient que le pape Leo XIV souhaite réconcilier foi et science
dans une perspective résolument tournée vers l’avenir. Une démarche
qui, selon lui, placerait le Vatican à l’avant-garde d’un
bouleversement civilisationnel : la reconnaissance officielle d’une
intelligence non humaine dans l’univers.
Un héritage astronomique
L’annonce a de quoi surprendre, mais elle s’appuie sur une
continuité historique. Sheehan rappelle en effet que le
prédécesseur spirituel de l’actuel souverain pontife, le pape Leo
XIII (et non Leo XII, comme parfois rapporté), avait fondé en 1891
l’Observatoire du Vatican. Un geste visionnaire qui, dès l’époque,
avait nourri les spéculations sur les véritables intérêts
astronomiques du Saint-Siège.
« Il existe depuis longtemps au sein de l’Église un courant
intellectuel qui considère que la découverte d’une vie
extraterrestre ne contredirait pas la foi catholique », explique
Sheehan. « Le pape Leo XIV s’inscrit dans cette lignée. Il veut
créer un dialogue profond entre la théologie et la cosmologie
moderne. »
Un pont entre deux mondes
Selon l’avocat, qui avait personnellement été chargé par le
président américain Jimmy Carter dans les années 1970 de dialoguer
avec des responsables du Vatican au sujet des OVNI, cette ouverture
papale pourrait être historique. Rappelons que Jimmy Carter
lui-même avait rapporté avoir observé un OVNI dans les années 1960,
et s’était engagé lors de sa campagne présidentielle à faire toute
la lumière sur ces phénomènes.
« Je pense que le pape Leo XIV est prêt à aller là où aucun
autre pape n’a osé aller, » affirme Sheehan. « Il veut moderniser
l’Église en l’alignant sur les grandes vérités émergentes de notre
époque, dont l’existence probable d’une civilisation extraterrestre
avancée. »
Une coopération transatlantique en vue ?
Mais le projet du pape ne se limiterait pas aux murs du Vatican.
Sheehan suggère qu’une telle démarche pourrait aussi faire pression
sur le gouvernement américain pour qu’il déclassifie davantage de
ses propres dossiers sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés
(PAN). Selon lui, l’actuel président des États-Unis pourrait voir
dans une collaboration avec le Vatican une occasion politique sans
précédent : être celui qui dévoile officiellement l’existence d’un
contact extraterrestre à l’humanité.
« Si le pape s’exprime publiquement sur ce sujet, cela pourrait
créer un précédent moral et spirituel si puissant que les
gouvernements n’auront plus le choix », estime-t-il.
Une Église en mutation
Au sein du Vatican, aucune déclaration officielle n’a encore été
faite à ce sujet. Mais plusieurs analystes observent une ouverture
croissante des autorités religieuses aux sujets jusqu’ici jugés
tabous. Des jésuites influents de l’Observatoire du Vatican ont
déjà déclaré par le passé que l’idée d’une vie extraterrestre
n’était pas incompatible avec la doctrine chrétienne.
Alors que le monde entre dans une nouvelle ère de transparence
sur les phénomènes inexpliqués, la voix de Rome pourrait bien
s’avérer déterminante. Et si Sheehan voit juste, l’humanité
pourrait se trouver à l’aube d’un dialogue inespéré entre les
étoiles et les autels.
Légende - Photo Wabbuh, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=165186581
Un témoignage troublant vient s’ajouter à la longue liste des signalements d’objets volants non identifiés répertoriés par le National UFO Reporting Center (NUFORC). Le 22 mai 2025, à 14h20 heure locale, un ancien technicien aéronautique de la Royal Navy affirme avoir été le témoin d’un phénomène aussi bref que stupéfiant dans le ciel de Johnstown, au Pays de Galles.
Alors qu’il était assis dehors pour fumer une cigarette, l’homme
– dont l'identité n’a pas été divulguée – a observé pendant environ
cinq secondes trois lumières blanches, disposées en triangle, se
déplaçant à très haute altitude et à une vitesse estimée à
plusieurs milliers de kilomètres par heure.
« Ce n’était ni un satellite, ni un avion », affirme le
témoin dans sa déposition au NUFORC. Fort de ses sept années de
service en tant que technicien principal dans la marine
britannique, il insiste sur le fait que le comportement des objets
ne correspondait à aucun mouvement aérien conventionnel. « La
vitesse n’avait rien à voir avec ce que j’ai pu observer en
service. Et il n’y avait absolument aucun bruit »,
précise-t-il.
Détail intrigant : l’un des trois objets aurait dévié légèrement
de sa trajectoire, laissant penser qu’il ne s’agissait pas d’un
seul appareil triangulaire doté de trois lumières, mais bien de
trois engins distincts, évoluant en formation – ou presque.
L’observation, bien que brève, soulève de nombreuses questions.
L’altitude des objets, jugée trop élevée pour en estimer la
distance avec précision, pourrait se situer à « plusieurs milliers
de pieds », selon l’ex-militaire. Mais c’est le silence absolu et
l’accélération fulgurante qui semblent avoir le plus marqué ce
témoin expérimenté. « J’étais bouche bée. Je n’ai aucune idée
de ce que cela pouvait être. C’était tout simplement
incroyable », conclut-il dans son rapport.
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