jeudi 9 mai 2019

Un terrifiant Homme en Noir est venu frapper à sa porte


Lucy Palmer est une ancienne agent de sécurité et une sorcière Wiccan. Elle a raconté une histoire troublante et étrange qui était arrivée à Shelagh et à son partenaire.

Alors qu’elle était seule chez elle, un Homme en Noir (ou « Men in Black », en anglais) est venue frapper à porte … Ce qui s’est passé après dépasse l’entendement.

Elle raconte :

« Ils vivaient ensemble comme un couple depuis leur rencontre en 1983, lorsque des phénomènes paranormaux ont commencé à se produire presque immédiatement. Au moment où tout a commencé, Robert travaillait dans un supermarché et Shelagh était seule à la maison. C'était en août 1991 et Shelagh était dans la cuisine lorsqu'elle a entendu sonner à la porte d'entrée. Le bâtiment était une maison mitoyenne située sur une route très fréquentée d'Oxford Road à Reading [en Angleterre]. La maison avait un escalier de sept ou huit marches de pierre menant à la porte d'entrée. Cette maison possédait une autre série de marches menant à une pièce au sous-sol au niveau de la rue. Shelagh se dirigea vers la porte d'entrée qui contenait une grande vitre en verre dépoli. De ce fait, elle pouvait voir l'ombre de tous ceux qui se trouvaient à l'extérieur. Mais ce qui frappa Shelagh, c’est qu’elle ne pouvait pas voir la silhouette sombre de celles ou ceux qui attendaient à l’extérieur. Elle pensa donc que ces personnes s’étaient malencontreusement retrouvées devant la porte du sous-sol. »

« Elle a ouvert la porte et s’est retrouvé nez-à-nez avec un homme au large sourire, ce qui laisse à penser que lorsqu’il était debout à l'extérieur, son ombre était complètement absente et non visible à travers la vitre ! Il portait un costume noir impeccable, une chemise blanche et une cravate noire. Elle a décrit son costume comme ‘trop parfait pour être réel, avec des plis parfaits au niveaudes jambes’. Elle a rapporté que sa chemise était d’un blanc très éblouissant, presque hypnotique. Elle a particulièrement remarqué qu’il n’avait pas une seule goutte de sueur sur le visage et que le col de sa chemise était impeccable, alors que c’était une journée très chaude et sans nuages. Ses yeux étaient noirs et sa peau était de couleur olive. Il portait une mallette neuve dans sa main droite. Shelagh était une ancienne officier de police, ayant servi dans la branche spéciale de Rhodesian dans les années 1950 et 1960. Forte de son expérience, elle avait un bon sens de l’observation, raison pour laquelle elle a exploité toutes ces informations visuelles dès les premiers instants de cette confrontation. »

« Le plus étrange c’est que, bien que la route derrière lui soit une route principale passante menant directement au cœur de Reading, elle a progressivement pris conscience de l'absence de circulation et de piétons qui passaient par là. De plus, tout derrière lui semblait être flou. Lui était toujours aussi souriant et se focalisait de plus en plus sur elle et elle ne pouvait rien y faire. Shelagh dit que sa vision était étriquée, contre sa volonté, et elle ne pouvait se concentrer uniquement sur sa présence. Elle pouvait voir un petit badge en métal sur le revers de sa veste, à droite de son tailleur. Elle a réalisé qu’elle ne pouvait pas s’empêcher de regarder cet objet. Il exerçait comme une fascination hypnotique. Shelagh n'a jamais été en mesure de décrire ce badge car, même si elle se concentrait dessus, elle ne parvenait pas à le voir distinctement. Il lui a ensuite parlé. Il avait un accent, étranger, probablement européen, mais elle ne pouvait pas l’identifier : »

« Bonjour, est-ce que Robert est là ? »

« Non, il est au travail. »

« Oh, d'accord », a répondu l’homme en noir, « quand rentre-t-il à la maison ? »

« Probablement vers six heures ce soir. »

« L’Homme en Noir a continué à sourire. C’est alors que quelque chose de très étrange s’est produit. C’était comme s’il s’était téléporté. En effet, l’instant suivant, il se tenait deux marches plus bas, mais il n’avait pas bougé physiquement. Toujours souriant, il lui a alors dit : ‘Vous devez arrêter ce que vous faites.’ Puis le phénomène s’est reproduit une seconde fois et il s'est retrouvé debout sur le trottoir, toujours en étant parfaitement immobile, les mains et sa mallette bien en main à ses côtés. Il était toujours souriant et la regardait sans cesse. Puis l’homme s’est de nouveau ‘téléporté’ et il s’était retourné pour faire face à gauche de la rue (à la droite du témoin). Il a alors commen à s'éloigner - c'était le premier mouvement physique de cet homme dont elle a été consciente. »

« Au moment où il était hors de sa vue, elle est sortie sur le perron. Elle s'attendait à le voir marcher le long du trottoir ou monter dans une voiture - mais il avait disparu. À ce moment, elle a réalisé que les bruits habituels de la rue étaient revenus et que le flux de circulation continuel avait repris. Elle marchait dans la rue, regardant la seule rue latérale à proximité, mais ne le vit pas, ni lui dans aucun véhicule. Elle en a parlé à Robert quand il est rentré à la maison. Tout cela a été documenté comme une autre rencontre étrange. Il n'y a pas eu de suite et cet homme n'est jamais revenu physiquement. »

« Shelagh possède une longue histoire en lien avec ses remarquables dons de clairvoyance. Dans les années 60, elle avait été grande prêtresse dans un coven wiccan. Elle a donc eu une longue expérience avec le monde de l’occultisme. Dans les années 1970, elle a semblé vivre une abduction. Puis, quand elle a rencontré Robert au début des années 1980, ils ont reçu de nombreuses communications de guides spirituels faisant allusion à une ‘mission’. Ce message, reçu par Shelagh qui était médium, fut accompagné d’une série d’événements paranormaux, dont la rencontre avec ce fameuxHomme en Noir»

Ce sont des récits très étranges comme celui raconté par Lucy Palmer qui démontrent que les Men in Black ne sont pas des « agents secrets » du « gouvernement ». Ils sont des êtres bien plus étranges que cela …

Source
https://mysteriousuniverse.org/2019/04/a-man-in-black-wicca-and-a-strange-encounter/, 09 mai 2019

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