Il y a
quelques jours, dans une annonce officielle publiée par le Vatican, le Pape François a expressément demandé à
la communauté scientifique de stopper immédiatement les expériences avec le Grand Collisionneur de Hadrons (ou LHC).
En effet, ses opérations menées en Suisse pourraient permettre la découverte
d’un univers parallèle …
Cette annonce
pour le moins étonnante survient quelques seulement après que les scientifiques
du CERN, situé à Genève, aient déclaré qu’ils souhaitaient pousser
« l’écraseur d’atomes »
jusqu’à ces derniers retranchements dans le but de détecter ou de provoquer des
trous noirs miniatures et peut-être d’ouvrir « une brèche dans la fabrique de l’espace-temps. »
Outre le Pape,
Stephen Hawking, l’un des plus
grands physiciens de notre époque, est extrêmement sceptique. Il affirme que la
fin de notre monde pourrait être déclenchée par le boson de Higgs, autrement
appelé la « particule de Dieu ».
Dans son
communiqué, le Pape a exhorté la communauté scientifique d’arrêter de tester « les limites de Dieu ».
Fait rare,
l’homme fort de l’Eglise Catholique s’est montré particulièrement désemparé
alors qu’il donnait l’un des plus longs discours de sa carrière devant des
milliers de fidèles amassés sur la Place Saint-Pierre à Rome :
« Mes frères chrétiens, nous vivons dans une
époque désespérée. La science est sur le point de tester les limites de Dieu et
de sa création. Dieu a imposé les limites entre le monde des vivants et le
monde des morts. Ces scientifiques sont-ils sur le point d’ouvrir les portes de
l’Enfer ? Sommes-nous au seuil des jours maléfiques dont la Bible fait allusion
? Est-ce que les hordes de démons qui rôdent dans les fosses de l’enfer sont
sur le point de déferler massivement dans notre monde ? Il faut méditer quant à
ces questions avant de permettre aux scientifiques de procéder à de telles
expériences. »
Au mois
d’octobre 2014, 400 physiciens parmi les meilleurs avaient signé une pétition
avertissant que le fameux boson pouvait devenir instable s’il était soumis à
des énergies supérieures à 100 milliards de giga-électron-volts.
L’humanité
est-elle sur le point d’ouvrir les portes de l’Enfer ? Les scientifiques
pourraient-ils précipiter la fin de notre monde ?
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