Cela fait des
dizaines d’années que quelques ufologues tentent de démontrer au monde entier
qu’une civilisation extraterrestre s’est
installée sur la Lune. Au mois d’octobre 2013, un homme, se disant très haut
placé, a révélé que d’immenses vaisseaux venant d’un autre monde seraient
stationnés sur la face cachée de la Lune.
Cet homme a
tenu à témoigner à l’équipe de Secureteam10. Pour des raisons évidentes de
sécurité, il a tenu à utiliser un nom d’emprunt, le « Dr. Eric Norton ». Aujourd’hui, ce dernier travaillerait pour
la NASA et aurait, par ses attributions, accès à des informations
hautement confidentielles et extrêmement sensibles …
Interview :
« Mon nom est le Dr. Eric Norton. J’ai
travaillé en tant que consultant extérieur pour la NSA et maintenant pour la
NASA depuis environ une douzaine d’années. Mon habilitation de sécurité
m’oblige à prendre des mesures appropriées afin de me protéger du mieux que je
puisse. L’une de ces mesures consiste à ne pas trop donner d’informations sur
moi-même. Ce que je peux vous dire me concernant, c’est que j’ai travaillé
comme consultant extérieur sur beaucoup de projets menés par notre
gouvernement, le gouvernement des Etats-Unis, et plus récemment avec les
travaux du Meteoroid Environment Office (MEO) lequel est impliqué dans
plusieurs travaux de recherche et dont les installations sont situées un peu
partout en Amérique du Nord.
Le plus jeune de ces projets actuels consiste à
acquérir une meilleure compréhension de l’environnement météoritique de façon à
ce que les modèles de cet environnement du MEO puissent être améliorés. En
fait, nous surveillons le ciel, traçons les météores et d’autres objets dans
l’espace. Et aujourd’hui, nous avons fait des observations très intéressantes
et c’est le moins que l’on puisse dire. Certaines d’entre-elles sont en fait
très terrifiantes. Si ces observations venaient à être révélées publiquement,
elles ne changeraient pas seulement la donne du jeu pour toujours, et nous ne
parlons pas juste de l’effondrement de toutes les religions et de tout ce que
nous savons de l’univers et de l’espace, mais de l’effondrement de la société
elle-même !
L’interview
téléphonique s’est poursuivie après une mystérieuse déconnexion.
Nous sommes en train de parler d’un sujet qui
aujourd’hui même est encore reçu avec un peu d’incrédulité parmi la majorité de
la communauté mondiale. Le 22 janvier 2012, j’ai été appelé à l’Observatoire
McDonald au Texas, lequel possède le deuxième plus grand télescope optique des
Etats-Unis. J’ai reçu l’appel téléphonique d’un associé de l’observatoire. On
m’a réservé cette nuit-là un vol pour le Texas où j’ai été accueilli par un
agent rattaché à la sécurité du territoire. Il ne m’a rien dit en dehors du
fait qu’il avait été envoyé pour veiller à ce que je parvienne à l’observatoire
et pour passer en revue les informations qui m’y attendaient. Donc, lorsque je
arrivé à l’Observatoire McDonald, j’ai été accueilli par un deuxième homme de
la sécurité du territoire, et à ce moment-là j’ai vraiment été abasourdi
d’apprendre que ce qui était en train de se passer était de mon ressort. Je
n’avais jamais été porté sur des questions de sécurité nationale. Donc j’étais
vraiment perdu, je ne savais pas ce que c’était et ce qui pouvait être aussi
urgent.
J’ai rapidement été conduit à la chambre principale
de l’observatoire où j’ai rencontré quatre gentlemans qui étaient impliqués
dans cette opération de l’observatoire. Ce qu’ils m’ont montré a été d’un tel
choc pour mon système de croyance même, que j’ai de m’asseoir un moment pour
m’en remettre. Ce que j’ai vu, et que je peux au mieux expliquer qu’avec mes
propres mots, est une rangée de structures noires massives tridimensionnelles
dans l’espace en formation en ligne droite, et qui avançaient en direction de
la planète Terre. Je sais cela car on m’a montré des images prises trois mois
auparavant et qui dépeignaient la trajectoire évidente effectuée par ces
choses, lesquelles se sont rapprochées de plus en plus près de plusieurs
millions de miles au cours de ce mois, ce qui nous aide à faire des calculs en
termes de vitesse à laquelle ces choses se déplacent.
Maintenant, j’étais là et je comprenais que mon
travail consistait à savoir exactement de quel type de composition ces objets
étaient faits, s’ils étaient artificiels, naturels ou anormaux par rapport à
tout ce que nous aurions déjà pu voir auparavant. Maintenant, en utilisant les
instruments scientifiques fournis par la NASA et qui nous sont aujourd’hui disponibles,
nous avons pu discerner le fait que ces objets n’étaient pas faits d’un
matériau naturel. Selon notre meilleure compréhension, mais néanmoins limitée,
ils sont fait d’une sorte de matériau constitué de carbone métallique renforcé,
une structure de plusieurs milliers de fois plus dure que celle que nous avons
aujourd’hui, que ce soit celle que l’on trouve à l’état naturel dans le dimant
ou celle des nanotubes de carbone. Ces objets semblent aussi émettre une sorte
de champ de force qui dévie les particules de l’espace, les empêchant de
toucher leur surface, pratiquement de la même façon que le champ magnétique
autour de la Terre sert de bouclier pour les vagues de matériaux solaires.
Ces objets étaient si proches qu’avec nos télescopes
nous pouvions voir les caractéristiques de la structure de ces choses, en
détails élevés. Ils avaient une forme, du moins de la meilleure façon que je
puisse la décrire, de vaisseaux en forme de « L » tridimensionnel. J’utilise le
mot « vaisseaux » sans certitude étant donné que nous ne savions pas si ces
choses étaient pilotées ou ni même si c’était des véhicules au sens strict.
Tout ce que nous savions, c’est qu’ils se déplaçaient vite.
En janvier 2013, ces objets ont été détectés à
quelques 200.000 miles au-delà de la planète Mars. Aussitôt qu’ils ont atteint
ce point, ils ont pratiquement disparu instantanément de nos lentilles
télescopiques. Ce que je peux dire c’est qu’ils ont complètement disparu, comme
s’ils avaient activé par le simple basculement d’un interrupteur une sorte de
bouclier d’invisibilité. C’est la meilleure façon que je puisse décrire ça.
Nous avons pu les voir avec de nombreuses formes de radars que nous avons et
avec d’autres supports visuels disponibles. Nous étions vraiment perplexes. Et
à ce moment-là, j’ai su que cette opération voulue par le gouvernement des
Etats-Unis ne l’était que parce qu’il était inquiet au sujet de ces choses, car
je fus placé, 24/7, sous la garde constante des agents des services secrets,
lesquels me surveillaient chaque jour depuis 2012. Je ne pouvais pas aller à la
maison, à l’épicerie ou me réveiller le matin sans devoir faire face à la
réalité que j’étais surveillé. Donc, des personnes très puissantes voulaient
garder un œil sur moi, sur le travail que nous faisions sur ces objets. On ne
m’a jamais rien dit à ce propos, mais c’était évident qu’avec ce que j’avais vu
autour de moi et le personnel impliqué.
Donc, au cours de pratiquement toute l’année 2013,
nous avons regardé le ciel et avions peine à croire ce qui s’était passé. Nous
ne savions pas ce qui était en train de se passer, ni même désormais où ces
choses se trouvaient. Selon mes calculs, ces choses devraient être maintenant
si proches de nous, que nous ne devrions pas avoir de peine à les voir dans le
ciel nocturne, elles devraient être visibles pour nous. Mais comme je l’ai dit,
nous ne savions pas si ces objets étaient toujours en approche ou s’ils avaient
une direction enregistrée, ni même s’ils avaient tout simplement tous quitté le
système solaire. Nous n’en savons pas suffisamment pour savoir ce qui se passe
et savoir réellement pourquoi ces choses sont ici.
Je suis resté chez moi en attendant les ordres pour
pouvoir poursuivre mon travail qui est nécessaire. Mais pendant environ 6 mois,
je n’ai pratiquement reçu aucun appel téléphonique concernant la situation. Ce
ne fut pas avant que ne se produise toute cette agitation autour de l’arrêt du
gouvernement, particulièrement en ce qui concerne la fermeture du projet de
surveillance de l’espace, pour que je vois ce qui était en train de se passer.
Bien sûr, ce que je craignais le plus m’a été confirmé suite à un contact avec
un ami proche qui travail en toute confidentialité sur ce projet à
l’Observatoire McDonald. Je lui ai demandé ce qui était en train de se passer
étant donné que tous les programmes de surveillance de l’espace avaient été
fermés, incluant ceux de la NASA, une fermeture qui était inquiétante. Mon
collègue semblait extrêmement nerveux lorsque je lui parlais. A un moment
donné, c’est comme s’il était en train de trembler en parlant. Et je lui ai
demandé ce qui était en train de se passer ici. Et il m’a répondu que ces
objets étaient réapparus et que leur position était située derrière la Lune.
L’interruption de tous les programmes de surveillance
de l’espace sert à mettre le couvercle sur ce qui se passe. J’aurais même
risqué sa propre vie si jamais je l’avais rappelé. Mais ce que je sais, c’est
que ces objets sont réapparus au début de ce mois (octobre 2013) et qu’ils se
sont positionnés en formation circulaire de type 1, ce qui leur permet de
s’arrimer derrière la face cachée de la Lune ou juste au-dessus de la face
cachée de la Lune. De cette façon, ils restent virtuellement invisibles pour
les observateurs du ciel. Ces choses sont là. Elles sont juste au-dessus de
notre champ de vision lorsque nous regardons la Lune. Nous ne savons pas ce
qu’elles sont, ni ce qu’elles font, ni même ce qu’elles s’apprêtent à faire.
Nous savons qu’il y a déjà eu des fluctuations dans le champ de gravité terrestre,
et le champ de gravité est ce qui attire la Lune vers la Terre. Ces choses sont
stationnaires… Il n’y a aucun mouvement (aucune fluctuation), aucun signal
radio, absolument rien. Nous sommes en attente de savoir ce qui va ensuite se
passer, si ces choses vont être révélées ou si elles vont soudainement se
révéler d’elles-mêmes. Cela nous mène aussi à la question de savoir ce que
c’est. Et aussi pourquoi ces choses ont-elles choisi la Lune afin d’y migrer ?
Prenez aussi en compte le récent missile balistique < Topol > lancé par
la Russie, lequel a été observé depuis l’espace par un astronaute italien, Luca
Parmitano. Il observa une étrange lueur au-dessus de la Terre, laquelle était
en fait la trainée du missile. La chose étrange à ce propos, c’est que le
missile < Topol > utilise du carburant solide comme composante. Donc ça
ne peut pas avoir été ce que l’astronaute a vu. Maintenant, je ne suis pas sûr
de ce qui a pu provoquer ce nuage, mais c’est clairement associé avec le
missile lui-même. Maintenant, couplez ça avec l’arrêt récent de la NASA, suivi
par l’arrêt de 98% de ses employés, et l’arrêt de la Station Spatiale
Internationale, et je pense que vous pouvez commencer à obtenir une plus grande
vue d’ensemble. Ils cachent définitivement quelque chose. Et je fais de mon
mieux aujourd’hui pour vous décrire ce que c’est. »
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