Environ 100
millions de chrétiens font objet de
persécutions dans le monde contemporain. Toutes les cinq minutes un adepte de
l’enseignement du Christ périt pour sa foi.
Leurs
persécutions n’ont pas lieu uniquement au Proche-Orient, comme on pourrait le supposer
d’entrée de jeu, mais aussi en Europe. Quelle est donc la raison des états
d’esprit aussi radicaux ? Des experts indiquent plusieurs motifs, dont les
essentiels sont l’immigration toujours plus importante en Europe, la fameuse
politique de tolérance et la soi-disant « renaissance
islamique ».
La tolérance
religieuse exaltée en Europe semble s’être retournée contre elle. Et là il n’y
rien de surprenant, dit le politologue russe Pavel Sviatenkov, expert en vie du Fonds de la perspective
historique :
« Du point de vue religieux la tolérance est
impossible. En règle générale, les religions abrahamiques considèrent que la
foi naturelle est une erreur. Tandis que la tolérance en tant qu’idéologie est
faible ne prévoyant que la tolérance envers de points de vue différents et non
une approche d’ensemble. Tous exploitent la tolérance, mais elle n’est qu’un
terrain où se développent d’autres religions et idéologies. »
Des
persécutions ouvertes des chrétiens par leurs propres pouvoirs officiels ont
déjà conduit à de nombreux scandales. Ainsi il y a deux ans à Bruxelles on a
interdit d’ériger un sapin de Noël au centre de la ville sous motif que cela
constituerait une offense aux musulmans résidant dans le pays. Et en
Grande-Bretagne le port sur soi de la croix est à présent interdit, là aussi
pour des considérations de tolérance. Notons que l’attitude envers les
chrétiens au Proche-Orient est tout à fait autre.
Malheureusement,
le nouveau type de « pseudo-musulmans
» ne fait que multiplier ses rangs. De cette façon, alors qu’en Europe on
cherche à résoudre le problème de multiculturalisme par une voie pacifique, en
Orient on a choisi une approche beaucoup plus dure.
Source
http://french.ruvr.ru/2014_11_18/La-discrimination-des-chretiens-7929/,
19 novembre 2014
0 commentaires: