Depuis
les attentats de Paris du 13 novembre 2015, beaucoup de pays se sont
mis d'accord dans le but d'anéantir l’État Islamique en
intensifiant les frappes en Irak et en Syrie. Seulement, aujourd'hui,
beaucoup s'interrogent sur le rôle ambiguë que joue la Turquie.
Recep
Tayyip Erdoğan, le 12ème président de Turquie, dirige d'une
main de fer son pays depuis 2003 date à laquelle il a accédé au
poste de premier ministre. Selon certaines théories, cet homme
aiderait secrètement le groupe terroriste Daesh dans l'espoir
que ce dernier anéantisse, à sa place, les Kurdes amassés à la
frontière entre la Turquie et la Syrie.
Le
plus étonnant dans toute cette affaire, c'est que cette hypothèse
semble solidement fondée. Sur une photographie publiée sur
Internet, on peut voir Bilal, le fils d'Erdogan, tout sourire aux
côtés de deux des leaders de l’État Islamique.
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