mercredi 3 juin 2015

Les pharaons auraient eu des contacts avec des aliens



L’Egypte Antique passionne autant les scientifiques que les passionnés de phénomènes paranormaux. Récemment, une étude publiée affirme que les Pharaons égyptiens auraient subi des manipulations génétiques délibérées dans le but d’en faire une civilisation technologiquement supérieure …

Stuart Fleischmann est professeur adjoint en génomique comparative à l’institut Suisse du Caire. Lui et son équipe ont décidé de rendre publique une longue étude qui aura duré 7 ans. Ils ont cartographié et analysé les génomes de 9 pharaons d’Egypte. Et ce qu’ils découvrirent pourrait remettre en cause les fondements de notre histoire.

Les échantillons d’ADN ont été soumis à un processus appelé PCR (ou réaction en chaîne par polymérase). Cette technique permet aux scientifiques d’obtenir une image claire de l’empreinte génétique d’une personne.

Les huit premiers échantillons présentèrent des résultats plutôt banals. Le neuvième, quant à lui, est fort étrange. Il appartenait au célèbre et énigmatique Akhenaton, le 10ème pharaon de la XVIIIème dynastie, qui révolutionna son pays par ses nombreuses réformes et par sa vision monothéiste de la religion.

C’est un petit fragment de tissu cérébral desséché qui a permis de trouver la présence d’un gène appelé « CXPAC-5 ». Ce dernier est responsable de la croissance du cortex. Or, ce gène serait une preuve, selon certains, que les bâtisseurs des pyramides étaient liés, d’une manière ou d’une autre, à des extraterrestres.

La présence en surabondance de ce génome suggère que ce célèbre pharaon avec un crâne d’une taille bien plus importante que la moyenne, nécessaire pour loger son immense cortex.

Une question intrique les chercheurs : d’où vient cette mutation qui a permis au cerveau d’Akhenaton d’atteindre une telle taille ? Aujourd’hui, cela demeure un mystère.

Certains pensent que cette manipulation génétique aurait été faite sciemment dans l’Antiquité et que cette opération aurait été l’œuvre d’une civilisation extraterrestre.

Le professeur Fleischmann explique :

« La télomérase (une enzyme en génétique) est seulement utilisée dans deux processus: un vieillissement extrême ou une mutation extrême. Les données archéologiques et génétiques suggèrent que Amenhotep IV/Akhenaton a vécu jusqu’à sa 45ème année. Cela suffit pour épuiser toute la télomérase chromosomique, laissant derrière elle une explication gênante, mais plausible. »

Une analyse réalisée au microscope électronique a mis en évidence des signes de cicatrices nucléotidiques, ce qui indique que l’hélice de son ADN a été exposée à de forts mutagènes.

Fleischmann précise :

« C’est une découverte très palpitante, pour abréger. Mon équipe et moi-même avons soumis les documents de l’étude à des paires et avons reproduit les tests suffisamment de fois et sommes certains qu’ils sont justes. »

« Je n’ai pas idée de l’importance de nos découvertes et ce qu’elles impliquent, mais je crois certainement qu’elles vont dans une direction que la communauté scientifique aurait immédiatement rejetée il y a plusieurs décennies de cela. »

La science, en dévoilant de tels résultats, pourrait confirmer les fameuses théories des anciens astronautes. Celles-ci étaient en vogue dans les années 1960-1970 et prétendaient que l’humanité, en des temps très anciens, fut visitée par des aliens. Ils auraient aidé la Terre à se développer en apportant la science, l’agriculture et autres. Ces extraterrestres auraient, par la suite, été divinisés, ce qui fonda la totalité de nos religions.

Maintenant, certains se demandent si les descendants du Pharaon sont encore vivants aujourd’hui et si leurs capacités intellectuelles seraient aussi impressionnantes que celles d’Akhenaton …

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