Observer
un OVNI n'est pas banal et certains témoins se retrouvent
littéralement en état de choc après avoir été en contact avec ce
genre de phénomène inexpliqué. C'est ce qui est arrivé à un chef
de gare argentin en 1978. Ce dernier a dû même être hospitalisé
…
Felipe
Orozco était, à cette époque, le chef de la gare de Remblon,
située dans la province de Mendoza à environ 1100 kilomètres à
l'ouest de la capitale du pays, Buenos Aires. Le mercredi 12 juillet
1978, aux alentours de 23 heures, il monta en haut de la tour de
signalisation afin de préparer l'arrivée imminente d'un train de
marchandises.
Quelques
instants plus tard, il vit une éblouissante lumière survenir depuis
le Sud. Au départ, l'homme était persuadé qu'il s'agissait là du
train. Mais, au fur et à mesure que l'étrange lumière devenait de
plus en plus intense, le témoin fut pris d'une crise de panique. En
effet, il se rendit compte que cette lumière était émise non pas
par un train mais par un objet volant non identifié qui survolait la
gare. Ainsi pendant quelques secondes, l'OVNI illumina complètement
les lieux.
Effrayé
par ce visiteur inconnu, l'homme s'enferma dans son bureau où se
trouvaient déjà plusieurs animaux domestiques venus y trouver
refuge. Entre temps, le convoi arriva à la gare et ne vit personne
pour l'accueillir.
Cette
affaire est particulière puisque M. Orozco ne fut pas le seul
témoin. Un automobiliste qui se rendait à Mendoza affirma, aux
mêmes heures, avoir été ébloui par un OVNI qui disparut en une
poignée de secondes.
Le
lendemain matin des faits, le pauvre chef de gare fut hospitalisé.
Cette
année-là, cette région argentine fut le théâtre de plusieurs
observations d'OVNI. Ainsi, au mois de février 1978, neuf personnes
ont conjointement observé un OVNI dans la vallée d'Uco. Au mois de
mars suivant, un nouvel engin non identifié fut signalé. En mai,
trois flottilles d'OVNI ont traversé le ciel devant les yeux ébahis
de plusieurs témoins dont plusieurs militaires au-dessus de Villa
Mercedes.
Cette
affaire d'OVNI demeure inexpliquée et les éléments rapportés par
les deux témoins ne permettent pas d'apporter une explication qui
puisse satisfaire les esprits les plus rationnels.
Photo
: Un train en Croatie (David Gubler / Wikimédia) - CC
BY-SA 3.0
Source
Article
paru dans le quotidien français Le Méridional, le 15 juillet 1978
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