Certains objets sont réputés pour porter en eux une malédiction gâchant la vie à leurs malheureux propriétaires. Ces légendes égrènent depuis de nombreuses années l’histoire de l’humanité. Régulièrement la presse locale nous rapporte ces récits tous aussi incroyables les uns que les autres. Le dernier en date fait l’état d’une peinture.
L’histoire de mystérieux tableau débute en 1985, alors qu’une série d’incendies surviennent dans toute l’Angleterre. C’est d’ailleurs cette année-là qu’eut lieu le fameux désastre du stade de Valley Parade qui brûla à la suite d’un mégot de cigarette mal éteint. Le bilan de cette rencontre de football, opposant Bradford City à Lincoln City, fut de 56 morts. A la suite de l’incendie d’un bâtiment dans le Yorkshire (nord de l’Angleterre), un pompier découvrit, parmi les débris, une peinture représentant un petit garçon en pleur. C’était le seul et unique objet demeuré intacte.
A la suite de la publication d’un article relatant ce fait, le journal britannique « The Sun », reçut des dizaines et des dizaines d’appels de témoins contant des histoires similaires. A chaque fois, une maison brûlait et lorsque que l’incendie était éteint, on trouvait un tableau de l’enfant en pleur. Il semblerait que toutes ses peintures étaient identiques et l’œuvre d’un seul et unique auteur.
Parmi les témoignages, voici celui d’une femme du nom de Dora Mann : « Six mois après avoir acheté le tableau, ma maison a été complètement ravagée par un incendie. Tous mes tableaux ont été détruits, sauf celui du petit garçon ».
Devant l’inquiétude de cette malédiction, « The Sun » proposa à tous les propriétaires d’un tableau similaire de venir les apporter au siège de la rédaction afin de les brûler joyeusement. Toutefois, même après cette action spectaculaire, d’autres incendies du même type furent rapportés 3 ans plus tard, en 1988.
Simple coïncidence diront les plus sceptiques. Cependant, on ne nier que la résurgence de cette légende lui apporte une certaine crédibilité effrayante.
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