dimanche 26 juillet 2015

La mission Apollo 20 et la découverte d’un corps alien



Selon l’une des théories de la conspiration les plus populaires sur le web, la NASA, après avoir officiellement abandonnée la mission Apollo, a continué ses investigations sur la face cachée de la Lune avant de faire des découvertes si exceptionnelles qu’elles sont demeurées secrètes …

C’est en 1972, que le programme spatial Apollo fut abandonné pour des raisons budgétaires. Il s’agit là de la raison officielle puisque pour beaucoup il y a eu, en réalité, trois autres missions qui furent logiquement et respectivement nommées : Apollo 18, 19 et 20. C’est au cours de ces dernières que les astronautes auraient découvert des preuves qu’une civilisation extraterrestre habitait sur la Lune ! D’après les croyants de cette théorie, la mission Apollo 19 fut un échec à cause d’une collision, mais Apollo 20 parvint à récupérer de la technologie alien ainsi qu’une femme humanoïde en hibernation artificielle.

En 2007, William Rutledge, un homme qui affirme avoir été l’un des astronautes d’Apollo 20, a décrit dans plusieurs vidéos diffusées sur le web ce qui se trouvait réellement sur la Lune. Il certifie qu’il y avait des bâtiments abandonnés ainsi qu’un gigantesque vaisseau extraterrestre accidenté où l’humanoïde fut récupéré et ramené sur Terre.

Intéressé par l’affaire, Luca Scantamburlo, un chercheur italien, entra en contact avec Rutledge afin de savoir si celui était un affabulateur ou s’il disait la vérité. L’astronaute explique :

« La NASA ne m’a pas embauché, l’US Air Force l’a fait. J’avais travaillé sur l’étude de technologie étrangère, essentiellement Russe. J’ai étudié le projet N1, le projet AJAX, et le MIG Foxbat 25. J’avais des capacités en termes de navigation informatique à l’aide d’ordinateurs et j’étais un des volontaires pour le projet MOL-Gemini. »

« L’US Air Force m’a ensuite annoncé que j’avais été choisi pour la mission Apollo 20 car j’étais l’un des rares pilotes qui ne croyaient pas en Dieu (et cela a changé depuis 1990), mais c’était les critères de base en 1976. Ce n’était pas le statut des astronautes de la NASA. Ne pas croire en Dieu a fait toute la différence. C’est tout. »

Apollo aurait été lancé en 1976 et résulterait d’un partenariat entre les Etats-Unis et l’URSS !

« Je ne sais pas mais les soviétiques ont été informés de la présence d’un vaisseau sur la face cachée de la Lune. En juillet 1969, le module sans pilote Luna 15 s’est écrasé juste sur le nez du vaisseau [extraterrestres]. C’était une sonde similaire à Ranger ou au Lunar Orbiter. »

« Ils nous ont donné une carte, très détaillée de la région lunaire. Le centre de commandes se situait dans l’Oural, dans la ville de Sverdlovsk. Le chef du programme était le professeur Valentin Alekseyev, qui plus tard est devenu le président de l’Académie des Sciences de l’Oural. »

« Leonov [Alexei Leonov, cosmonaute soviétique] a principalement été choisi à cause de sa popularité au sein du personnel du parti communiste, et aussi car il était un membre d’Apollo-Soyouz. »

Apollo 20 avait ainsi pour but de se poser dans la région de Delporte-Izsak, près du cratère Tsiolkovsky sur la face cachée de la Lune afin d’étudier l’énorme OVNI repéré par Apollo 15. Sur place, les scientifiques découvrir un vaisseau alien de plus de 4 kilomètres de long !

« La ‘Ville Lunaire’ a été nommée ‘Station One’, mais on aurait cru que c’était un dépotoir spatial, bondé de bouts de métaux, dont de l’or, et une seule construction paraissait intacte. Nous l’appelions la ‘Cathédrale’. »

« Nous avons prélevé des morceaux de métaux qui comportaient des calligraphies et qui étaient de toutes parts exposés au soleil. La ville paraissait être aussi vieille que le soleil, mais c’était un endroit très petit. Dans la vidéo du rover, les appareils photos donnent l’impression que l’endroit était beaucoup plus grand. »

Quant au vaisseau spatial il était en piteux état :

« Nous sommes entrés dans le gros vaisseau spatial, et aussi dans un vaisseau triangulaire. Les conclusions principales de l’exploration ont été qu’il s’agissait un vaisseau-mère très ancien, qui a dû parcouru des milliards de kilomètres pour parvenir jusqu’à notre système solaire, il y a des milliards d’années. »

« Il y avait des signes de vie organique à l’intérieur, ainsi des traces de végétaux ont été retrouvées dans la section des moteurs principaux, des roches triangulaires spéciaux qui émettaient des ‘larmes’ ou plutôt un liquide jaune aux propriétés inconnues, et, bien sûr, des signes de créatures extra-solaires. »

« Nous avons trouvé les restes de petits corps (d’un mètre de long) qui ont vécu et qui sont morts dans le réseau de tubes de verre partout dans le vaisseau, mais la découverte majeure était celle de corps humanoïdes, dont l’un était intact. »

Les astronautes ont surnommée l’humanoïde « Mona Lisa » à cause de sa ressemblance avec la toile de Léonard de Vinci. Celle-ci n’était pas morte mais en hibernation.

« Mona Lisa ? Je ne me rappelle pas qui a donné le surnom à cette fille, ni Leonov ni moi. La femelle humanoïde mesurait 165 centimètres de haut. Elle était dotée d’appareils génitaux, de cheveux, de six doigts. Nous supposions qu’elle devait avoir 12 ans. »

« Des appareils de pilotage étaient fixés à ses doigts et ses yeux. Elle ne portait aucun vêtement. Nous avons dû sectionner les câbles reliés à son nez dénué de narines. Leonov se chargea de retirer l’appareil attaché à ses yeux. »

« Des caillots sanguins ou un liquide biologique ont surgi de sa bouche, son nez, ses yeux et de certains endroits de son corps. D’autres parties étaient étrangement en bonne état (les cheveux) et la peau était recouverte d’un petit film protecteur transparent. »

« Comme nous l’avions dit au centre de contrôle, elle n’était ni vivante ni morte. Nous n’avions pas suffisamment d’expériences médicales, mais Leonov et moi-même avons mis au point un test : nous avons positionné notre équipement biologique sur l’EBE, et la télémétrie reçue par les médecins du centre de contrôle a été positive. »

Les astronautes découvrirent un second corps :

« Nous avons découvert un deuxième corps, mutilé et nous avons ramené sa tête à bord. La couleur de sa peau était bleue-grise; d’un bleu pastel. La peau était recouverte d’étranges détails au niveau des yeux et sur le front, un bandana recouvrait sa tête. Il ne possédait aucune inscription. »

Rutledge ne sait pas ce qu’il est advenu de Mona Lisa. Mais il affirme qu’elle est toujours vivante et qu’elle se trouve bien sur Terre.

« Je ne suis qu’un lanceur d’alerte. Qu’est-ce que la NASA ou l’US Air Force peuvent faire désormais ? M’empêcher de m’exprimer ou porter plainte contre moi serait une reconnaissance de la véracité de mes allégations. Ils peuvent parler d’un canular ou d’une fiction. »

Aujourd’hui, William Rutledge a 78 ans et vit au Rwanda.

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