Au cours de l’année
1986, le vol 1628, de la compagnie aérienne « Japan Air Lines », aurait croisé le plus grand OVNI jamais enregistré. Les témoignages des pilotes ont
été confirmés par les images radars …
Le vol 1628
reliait les villes de Paris à Tokyo. Le jour des faits, alors que le Boeing 747
fit son entrée dans l’espace aérien de l’Etat de l’Alaska, deux OVNI émergèrent des nuages puis se rapprochèrent de l’avion
avec de l’escorter. Chacun de ces objets étaient de forme cylindrique et irradiaient
d’une couleur rouge vive. D’ailleurs, ils émettaient une chaleur si importante
que les trois membres de l’équipage pouvaient clairement la ressentir.
Au bout de
quelques minutes, les deux OVNI se positionnèrent l’un au-dessus de l’autre
juste en face de l’avion à environ 500 pieds. Le capitaine, estomaqué parce qu’il
voyait, raconte :
« La chose volait comme s’il n’y avait pas de
gravité. Ils accélérèrent, puis s’arrêtèrent, puis se mirent à aller à la même
vitesse que nous, dans notre direction, de sorte que pour nous, on avait
l’impression qu’il s’était figé dans l’air. L’instant d’après, il changea de
cap. … En d’autres termes, l’objet volant avait vaincu la gravité. »
Puis les
engins changèrent de formation en se mouvant lentement comme s’ils planaient. C’est
à ce moment précis qu’une sorte de vaisseau-mère,
qui faisait deux fois la taille d’un porte-avion, rejoignit les deux autres
OVNI. L’avion fit alors une manœuvre évasive en effectuant un virage à 360
degrés.
Les forces
aériennes d’Anchorage repérèrent, grâce à leurs radars, l’OVNI. Souhaitant l’intercepter,
elles dépêchèrent un avion transporteur Hercules C130 pour enquêter. Bien entendu,
sur place, rien ne fut trouvé.
Peu après
cette rencontre exceptionnelle, les fonctionnaires et autres sceptiques
affirmèrent que ces OVNI n’étaient que la lueur des étoiles reflétées dans des
cristaux de glace. Suite à cette affaire, le capitaine JAL, l’un des témoins,
fut muté. Les autorités souhaitaient-elles le faire taire ?
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