L’un des plus
grands et influents scientifiques du XXème siècle a affirmé qu’une grande part
de la recherche contre le cancer n’est
qu’une vaste fumisterie. D’autres chercheurs lui ont, par la suite, emboîté le
pas …
Linus Pauling (né le 28
février 1901 à Portland dans l’Oregon et mort le 19 août 1994 à Big Sur, en
Californie) est un chimiste et physicien de renommée mondiale. Il a d’ailleurs
été l’un des pionniers de la chimie quantique et de la biologie moléculaire.
Pour ses importants travaux, il a reçu le Prix Nobel de Physique en
1954. Tout au long de sa vie, il a combattu pour la paix dans le monde. C’est
ce qui lui a valu de recevoir le Prix Nobel de la Paix en 1962.
L’homme était
très critique vis-à-vis des recherches pour le cancer :
« Tout le monde devrait savoir que la
recherche sur le cancer est en grande partie une fraude et que les grands
organismes de recherche sur le cancer ont délaissé leurs devoirs envers les
gens qui les soutiennent. »
Pour le
Docteur Marcia Angell, physicienne
et longtemps éditrice en chef au New England
Medical Journal (NEMJ, l’un des journaux médicaux les plus prestigieux
au monde), a elle-aussi fait part de la fraude, de la manipulation et la
supercherie scientifique auxquelles s’adonneraient les chercheurs dans le monde
entier.
« Il n’est désormais tout bonnement plus
possible de croire à une grande partie de la recherche clinique publiée, ou de
se fier au jugement des médecins de renom ou à des autorités médicales compétentes.
Je ne prends aucun plaisir à tirer cette conclusion, que j’ai lentement
considérée, même à contrecœur, durant ces deux dernières décennies en tant que
rédactrice en chef du New England Journal of Medicine. »
Le Docteur John Bailer a passé 20 ans à l’Institut
National du Cancer et rédacteur en chef de son propre journal, a déclaré que la
recherche sur le cancer n’était qu’une succession d’échecs :
« Mon évaluation générale est que le programme
national du cancer doit être jugé comme un échec cinglant. Toute notre
recherche sur le cancer au cours de ces 20 dernières années a été un échec
total. »
En 1981 le Dr. Irwin Bross, ex-directeur du Sloan-Kettering Cancer Research Institute
(le centre de recherche sur le cancer le plus important du monde), a dénoncé
que derrière les expériences faites sur les animaux cachait une importante
escroquerie financière :
« L’inutilité de la plupart des modèles de
recherches sur les animaux est très bien connue. Par exemple, la découverte des
agents chimio thérapeutiques pour le traitement du cancer chez l’homme est
largement annoncée en tant que succès flamboyant en raison de l’utilisation des
systèmes de modèles animaux. Cependant, là encore, ces affirmations exagérées
viennent et ont été agréées par les mêmes personnes qui obtiennent les fonds
fédéraux pour la recherche sur les animaux. Il n’y a que peu, si ce n’est
aucune, de preuve factuelle qui pourrait étayer ces allégations. La
quasi-totalité des agents chimio thérapeutiques qui sont intéressants dans le
traitement du cancer humain ont été trouvés dans un contexte clinique, plutôt
que dans les études animales. »
Ainsi les
laboratoires profiteraient allègrement des subventions publiques. Leurs activités
de recherche n’auraient pas pour principal objectif de guérir des maladies mais
de gagner un maximum d’argent en un minimum de temps.
Le Docteur Dean Burk, biochimiste
américain et chimiste à l’Institut National du Cancer, a aussi pointé du doigt
ces dérives inquiétantes :
« Quand vous avez le pouvoir vous ne voulez
pas dire la vérité. C’est une règle qui a fonctionné pendant des générations
dans ce monde. Et il y a plein de gens qui ne disent pas la vérité alors qu’ils
ont une puissante position administrative. »
L’homme, également
reconnu pour ses travaux, a rapidement accusé le fluor d’être en grande partie responsable du cancer :
« Le fluor provoque plus de morts humaines
liées à un cancer que n’importe quelle autre substance chimique. C’est en
partie la preuve scientifique et biologique la plus concluante que j’ai
découvert au cours de ces 50 années dans le domaine de la recherche sur le
cancer. »
Richard Horton,
rédacteur en chef de « The Lancet »,
la principale revue médicale britannique, accuse directement les écrits
scientifiques d’être souvent totalement faux :
« L’affaire contre la science est très simple:
une grande partie de la littérature scientifique, peut-être bien la moitié,
peut tout bonnement être fausse. La science a pris un virage vers les ténèbres.
»
De plus en
plus de scientifiques sont conscients que la science d’aujourd’hui préfère se
fourvoyer dans de fausses recherches dans le seul objectif de faire gagner le
plus d’argent possible à leurs employeurs. Doit-on encore faire confiance à la
science ? Espérons-le …
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