En 1947, un
homme, qui travaillait pour l’armée au sein de la base aérienne
Wright-Patterson (dans l’Etat de l’Ohio), fut invité avec l’un de ses
collègues à filmer une soucoupe volante
ainsi que deux cadavres d’extraterrestres
qui étaient cachés à cet endroit. Hélas toutes les images prises ce jour-là
furent confisquées par le gouvernement Américain …
Témoignage :
« En 1957, mon père m’a emmené voir un film
appelé ‘Les Soucoupes volantes attaquent’ [film réalisé par Fred F. Sears et
sorti en 1956, NDLR]. Sur le chemin du retour, il était inhabituellement calme.
Enfin, il a dit : ‘C’étaient trop gros.’ Il m'a alors dit que, 10 ans plus tôt,
il était stationné à Wright Field à Dayton, dans l'Ohio, où il faisait partie d’une
unité qui devait réaliser un film pour le compte de l’armée. Un jour, un
officier est venu le voir et il a demandé à lui et à un autre homme de prendre deux
caméras 16mm de cinéma et de le suivre. Le groupe est entré dans un hangar
fortement gardé. A l'intérieur, il y avait un engin circulaire gravement
endommagé et un tas de débris caché sous une bâche de toile. Mon père et son
ami étaient chargés de prendre des images sur tout. Ils l'ont fait. Ils ont
ensuite filmé une unité réfrigérée à l’arrière du hangar. A l'intérieur de
l'unité, il y avait ce que mon père a décrit comme une sorte de musée où se
trouvaient les corps de deux petites créatures à la peau grise, minces avec de
grands yeux, mais pas de paupières. L’une portait des marques de blessures
graves, tandis que l’autre n’avait pas de blessures visibles. Ils filmèrent ces
créatures. Lorsque le boîtier contenant les corps fut ouvert pour obtenir de
meilleures images, une odeur semblable à des poissons morts s’est dégagée.
Quand ils eurent fini de filmer, leurs caméras ont été confisquées au lieu
d'être reprises au laboratoire pour un traitement ultérieur. Mon père m’a dit
que lui et son ami avaient littéralement dû prêter serment de garder le secret.
Mon père n’a parlé qu’à moi et qu’une fois de ce secret et j’ai promis de ne
jamais en parler à personne. Depuis qu'il est récemment décédé, je sens que j’ai
maintenant la liberté de raconter son histoire. Mon père était très patriotique
et très religieux et non enclins à faire ou dire ce genre de choses. Par respect
pour sa vie privée et la mienne, je soumets ce rapport anonyme. »
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