A
l'époque de l'URSS, il y avait, en Russie, des dizaines de « villes
secrètes ». Ces cités, où il était impossible d'entrer
sans posséder les habilitations nécessaires, abritaient souvent des
complexes militaires et / ou scientifiques ultra-confidentiels.
L'une
de ces villes a peut-être été redécouverte dans la toundra
sibérienne à l'aide de Google
Earth. En effet, quand on tente de l'observer par le biais
de ce logiciel, on tombe sur une vaste zone totalement floutée.
Aujourd'hui, personne ne sait vraiment pourquoi le gouvernement russe
a tenu à ce que personne ne puisse visualiser cette région.
La
ville la plus proche est Egvekinot, à l'extrême nord-est de la
Russie, donc non loin de l'Alaska à travers le détroit de Béring.
C'est
en 1986 que les Russes furent informés qu'il existait des dizaines
de villes fermées, dont certaines étaient habitées par plus d'un
million de personnes !
Les
villes avaient des nombres mystérieux attachés à leurs noms, comme
la fameuse Arzamas-16 où résidaient des ingénieurs spécialisés
dans le nucléaire.
C'est
pour cette raison que certains suggèrent que cette partie de la
Russie totalement cachée pourrait être l'une de ces « villes
secrètes ».
Le
site Internet « Siberian Light » spécule
qu'il pourrait s'agir soit d'une station radar, soit d'une base où
seraient stockés des missiles intercepteurs.
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