Le
17 octobre 1952, plusieurs habitants de la ville
d'Oloron-Sainte-Marie, dans le Sud-Ouest de la France, ont pu
observer plusieurs objets volants non identifiés qui se
mouvaient au-dessus de leur tête.
Le
jour des faits, aux alentours du midi, un enfant prénommé Jean
interpella son père après qu'il ait vu, à travers une fenêtre, un
incroyable et long objet cylindrique qui survolait lentement leur
maison. Ce cigare lumineux émettait une étrange fumée blanche. Les
témoins ont précisé qu'il était incliné à un angle de 45
degrés.
Yves
Prigent déclara qu'une « nuée » de soucoupes
volantes s'échappait de l'OVNI. Elles étaient constituées d'une
sphère centrale rouge et étaient entourées d'un anneau jaune. Il
précise :
«
Elles n'avançaient pas en ligne droite mais avec un très court
mouvement de zigzag. Quand elles s'écartaient, une traînée
blanchâtre se produisait entre elles, comme un arc électrique.
»
De
nombreux habitants, comme des chasseurs de Josbaig et M. Bordes, le
maire de Géronce, déposèrent leur témoignage à la gendarmerie.
Michel
Gylbert, un comptable à la retraite, a raconté que ces OVNI
dégageaient une matière inconnue qui venait se déposer sur le sol.
Celle-ci, de couleur blanche, se désagrégeait rapidement. En 2006,
cet homme âgé de 90 ans, avait raconté :
«
Je ne comprenais pas ce que je voyais. On aurait dit des nuages
transparents, très légers. J'ai pensé à du pollen ou à du sable
du Sahara portés par les vents. »
M.
Monmessin, un professeur d'éducation physique à l'époque, avait
ramassé des échantillons de cette matière au stade municipal dans
le but de les envoyer aux militaires. Hélas, après les avoir mis
dans son portefeuille pour les protéger, ces « fils »
avaient fondu instantanément.
Louis
Ballestra, dentiste, avait, en 1952, écarté la théorie des
extraterrestres bien qu'il avait vu, de ses propres yeux « des
fils plats, opaques et friables portés par les courants d'air. »
Pour lui il s'agissait d'un phénomène lié à une éclosion massive
d'araignée.
10
jours plus tard, un évènement similaire se produisit à Gaillac,
une ville du Tarn.
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