Dans la nuit
du samedi 15 au dimanche 16 janvier 1966, un jeune homme résidant à Bolazec, un
petit village situé au Sud-Est de Morlaix (dans le département du Finistère), a
observé ce qu’il affirme être une soucoupe
volante …
Au moment des
faits, Eugène Coquil, un menuisier
âgé de 23 ans, roulait à bord de sa Renault Dauphine quand il a vu, de ses
propres yeux, un objet volant non identifié virevolter dans le ciel. Il
s’arrêta sur le bord de la route pour mieux l’observer. Mais, alors qu’il
s’approcha de l’anomalie, celle-ci se mit à le poursuivre avant de se poser
juste devant son véhicule. Il raconte :
« Il était 4 heures du matin et je roulais sur
la route Morlais-Calzac lorsque je vis les faisceaux lumineux de ce que je
pensais aussitôt être un tracteur, car à cet endroit seul un tracteur pouvait
circuler. Mais que pouvait-il faire là à cette heure? J'arrêtais ma voiture et
je partis à travers champ en direction des lumières. C'est alors que je vis la
"chose" arriver sur moi, dans le plus grand silence et passer en
rase-motte au-dessus d'un talus. Je pris peur et filais vers ma
"Dauphine", mais la "chose" me suivit et après avoir fait
du surplace au-dessus de ma voiture, elle alla se poser à quelques mètres de
là, sur un petit terre-plein. »
Bien que totalement
paniqué, l’homme prit le temps d’observer attentivement l’OVNI et il put, de ce
fait, en livrer une description intéressante :
« J'aurais pu aller voir, mais j'avais trop
peur. J'ai cependant pu détailler l'engin, qui m'a semblé aussi long qu'une
voiture, mais beaucoup plus large. Il était éclairé extérieurement par quatre
colonnes lumineuses ressemblant aux feux d'une ‘404’ avec une lumière identique
à celle des enseignes au néon. Je n'ai vu personne, mais je suis presque
certain qu'il y avait des hublots sur le côté. Quand j'ai réussi à démarrer,
l'engin est resté sur place. Je n'avais qu'une envie : m'en aller au plus vite. »
Le témoignage
de ce jeune homme est incroyable et pourtant aucune de ses connaissances ne
pensent qu’il a menti ou déliré. En effet, selon eux, Eugène Coquil est un
garçon équilibré, sérieux, très sobre, et n’ayant jamais cru aux histoires de
soucoupes volantes.
Hélas à
l’époque, les téléphones portables n’existaient pas encore, il n’existe donc
aucune preuve visuelle sur ce qui s’est passé cette nuit-là …
Source
Article paru
dans le journal La Montagne,
dans son édition du 19 janvier 1966
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