Un
OVNI très étrange et qui « défiait les lois de la
physique » a réussi à déjouer les manœuvres de
plusieurs pilotes de F-18. Cette histoire sensationnelle a été
racontée par un ancien haut responsable de la sécurité nationale
américaine qui a notamment passé du temps à l'intérieur de la
Zone 51, une base militaire secrète.
Chris
Mellon raconte que cette rencontre inattendue a duré plusieurs
heures. L'OVNI a été observé et même filmé par plusieurs membres
du personnel de l'US Navy qui se trouvaient à bord du porte-avions
USS Nimitz
M.
Mellon a servi pendant près de 20 ans au sein du gouvernement
fédéral américain et a travaillé à différents postes concernant
la sécurité nationale sous les présidents Bill Clinton et George
W. Bush.
L'ancien
chef de la sécurité nationale, qui avait une autorisation de haut
niveau, siégeait à un comité chargé de surveiller tous les
programmes d'accès spéciaux du ministère de la Défense. Il a
passé une décennie au Comité sénatorial du renseignement
(« United States Senate Select Committee on Intelligence »,
en anglais).
Il
y a quelques temps, il a rejoint l'organisation 'To The Stars
Academy', dont l'objectif est faire toute la lumière sur le
phénomène OVNI. Elle a été créée par l'ancien du groupe de rock
Blink 182, Tom DeLonge.
M.
Mellon, qui a également travaillé sur des projets classifiés au
sein de la Zone 51 au Nevada, a détaillé cet incident étonnant qui
aurait eu lieu au large des côtes de la ville de San Diego en pleine
journée.
Il
a dit que l'USS Mimitz, un navire de guerre de cinq milliards de
dollars et qui a un équipage de plusieurs milliers de personnes,
opérait là-bas au moment des faits. Il était escorté par l'USS
Princeton, un croiseur équipé d'un système d'armes de classe
Aegis.
M.
Mellon explique :
« Imaginez
que ces navires effectuent un exercice d'entraînement de routine
lorsqu'un avion non identifié apparaît sur le radar en direction
directe du groupement tactique. »
« L'avion
n'avait pas de transpondeur et ne
répondait pas aux appels radio. L'USS
Princeton a contacté deux F-18 déjà en
altitude pour intercepter la cible. Alors que les deux
F-18 s'approchaient, les quatre aviateurs
ont pu voir que l'objet n'avait pas
d'ailes et n'émettait pas de gaz
d'échappement. »
« Il
était blanc, oblong, mesurait environ 40
pieds de long et peut-être 12 pieds d'épaisseur. »
Il
a dit qu'un pilote a poursuivi le vaisseau tandis que son coéquipier
restait à haute altitude dans les airs.
M.
Melon poursuit :
« Les
pilotes étaient étonnés de voir l'objet se
réorienter soudainement et s'approcher
du F-18. »
« Il
a fait une série de manœuvres incroyables et
discrètes qui semblaient défier les lois de la
physique. »
« L'objet
a pris position directement derrière le
F-18 qui approchait. »
« Le
pilote a pris son appareil photo et a pu capter l'imagerie
infrarouge de l'objet. »
« Ils
ont été surpassés par une technologie qu'ils
n'avaient jamais vue. »
Les
pilotes sont retournés au Nimitz, mais l'objet est resté dans la
région pendant plusieurs heures.
« À
un moment donné, l'objet s'est élevé
à 80 000 pieds, il a plané, puis est
tombé à des vitesses supersoniques s'arrêtant
à seulement 50 pieds au-dessus de l'océan, où il a
repris son vol stationnaire. »
« Davantage
de F-18 ont été envoyés mais avec des résultats
similaires. »
« Comme
précédemment, le contact s'était
produit en plein jour, et cet objet a évité
facilement les F-18. »
« Des
dizaines de militaires à bord des différents avions et navires
impliqués étaient au courant de ces interactions. »
« Il
est clair que ce n'était pas un avion américain
expérimental. Alors, qu'est-ce que
c'était ? »
« Comment
a-t-il pu accomplir de tels
exploits ? »
Il
a suggéré que le Congrès américain devait enquêter sur ces
événements inexpliqués.
« Le
président du Comité des forces armés et ses
collègues ainsi que d'autres comités de
surveillance du Congrès peuvent facilement demander un compte-rendu
pour confirmer la véracité de cette histoire et l'existence
d'autres événements de même nature. »
« Le
Congrès a le droit d'examiner les documents générés à la
suite de cet événement et de demander des informations au
personnel militaire concerné. »
« Si
les comités de surveillance n'ont pas déjà été informés de cet
événement et d'autres cas similaires, ils devraient
l'être. »
« Comment
peuvent-ils évaluer de manière adéquate les menaces contre nos
forces et nos besoins militaires ? »
Photo :
Getty / Chris Mellon
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