samedi 22 mars 2014

Un OVNI se pose dans un petit village du Jura en 1974


Dans la nuit du 24 mai au 25 mai 1974, près du petit village de Graye et Charnay (situé dans le département du Jura, en France), un jeune adolescent de 15 ans, prénommé Roger, a été sorti de son sommeil par d’impressionnantes et surnaturelles lumières …

En cette banale nuit de printemps, un OVNI, émettant de puissantes lumières, se serait posé à proximité d’une ferme où résidait une famille de cultivateurs dans le hameau des Carrats. A son réveil, le seul témoin de cette scène a raconté ce qui s’était passé à ses parents :

« J'ai été réveillé par un drôle de truc la nuit dernière : des sortes de coups de projecteur, de couleurs variées. Je me suis levé et je suis allé à la fenêtre. J'ai vu alors que ces lueurs venaient de la carrière, à 200 mètres de chez nous. J'ai regardé pendant deux à trois minutes. Et puis tout s'est éteint dans un sifflement ... »

Au départ, son père n’apporta aucun crédit au récit de fils, croyant qu’il ne s’agissait que d’un rêve. Roger, persuadé que ce n’était pas le cas, sauta sur son vélo et se dirigea en direction de la carrière pour y trouver quelques preuves. Sur place, il n’y avait aucune trace de pas, mais, en revanche, il vit de mystérieuses traces circulaires.

Content de sa trouvaille, le jeune homme revint promptement à la ferme pour emmener son père sur place. Placé devant l’évidence, ce dernier décida d’alerter les gendarmes de Saint-Amour.

Il témoigne :

« Nous avons relevé une trace circulaire de 2,85 mètres de diamètre. Elle était formée de mystérieuses figures géométriques : tous les 55 centimètres, il y avait l'empreinte d'un rond, de la grosseur d'un fond de bouteille de 8 centimètres de diamètre, et au centre duquel on remarque un trou semblable à celui pratiqué par un bâton de ski.

Les ronds sont au nombre de 14, entre chacun d'eux, quatre empreintes carrées de 2 centimètres de côtés, et de 3 à 4 centimètres de profondeur. »

La gendarmerie a, tout naturellement, mené l’enquête. Malgré leurs investigations, ils n’ont pu trouver aucune explication quant à ces traces :

« Nous n'avons aucune raison de mettre en doute les déclarations de ce garçon, dont nous connaissons bien la famille. »

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