mardi 18 mars 2014

Des policiers marocains observent plusieurs soucoupes volantes


Dans la nuit du 18 au 19 septembre 1976, deux policiers marocains, Karim et Mustafa, patrouillaient comme à leur habitude dans la région de Kenitra, au Nord du pays, quand ils ont observé, au loin, plusieurs OVNI discoïdaux qui se déplaçaient tranquillement dans le ciel.

Aucune image n’a été prise de ce phénomène. Mais le témoignage qu’a livré Mustafa est plus que convaincant. Je vous laisse le découvrir.

Témoignage :

« Nous étions deux, en service commandé (dans le cadre police/gendarmerie Royale de la route – brigade motocycliste), et nous étions rattachés à  la brigade de Kenitra. En fait, pour plus de précision, nous faisions partie de la Gendarmerie Royale et non pas de la Sureté Nationale (i.e. la Police). La police des routes est un service parmi les autres services qui relève de la compétence de la Gendarmerie. Nous avions pour mission, ce soir-là, de faire une surveillance da la route principale Nr 2 qui relie Rabat et Tanger. Nous nous sommes arrêtés pour un contrôle, à hauteur du point kilométrique 23  situé sur cette route principale. Le point 23 se trouve à hauteur de la plage de Mehdia, à une distante d’environ 3 kms à vol d’oiseau du lieu où nous  nous  situions.

La nuit était noire, le lieu de notre stationnement et les environs avoisinants étaient, déjà à l’époque, dotés de l’éclairage public, mais par contre les habitations étaient rares. Le ciel était dégagé et nous avions une vue parfaite dans notre environnement. Les étoiles étaient bien visibles sur la voûte céleste, et il n’y avait aucun ou pratiquement pas de nuage. Mon regard s’est alors porté en direction de la mer, de la bourgade de Mehdia et de sa plage. J’ai alors  vu plusieurs  disques de forme circulaire (je ne me souviens plus du nombre exact, mais il y en avait plusieurs, peut être une dizaine, un peu moins) de couleur dorée, comme la couleur du soleil, mais sans éclat et sans émettre de rayons. Une forme de disque bien défini. Ces objets étaient tous de la même grosseur et se suivaient les uns derrière les autres, en file indienne, à une distance qui me semblait identique entre ces différents objets. Ils se déplaçaient relativement lentement et laissaient entendre un sourd bruit similaire à celui d’un gros camion circulant dans une nuit calme et silencieuse. Malgré l’éloignement, on entendait très bien ce bruit qui devait être relativement fort, si on se trouvait à proximité de ces objets. Ces engins ne semblaient pas très éloignés de nous, la plage est à environ 3 kms, nous les distinguions très bien et nous estimions qu’ils pouvaient être à une altitude de quelques centaines de mètres au mieux par rapport au sol, vu notre point d’observation.  En fait les disques survolaient presque la cime des arbres d’une hauteur d’environ 8 mètres, et qui se trouvaient d’une cote.

Bien évidemment, selon nous, ils pouvaient être au-dessus de la plage, mais compte tenu de la distance, ils pouvaient aussi se situer au-dessus de la mer. Toutefois, il semblait relativement proche du bord de mer. Leur grosseur apparente, je l’estime de la même dimension que la pleine lune et peut-être un peu plus grand selon mes souvenirs. Mon collègue Karim et moi-même avons une excellente vue et nous avons tous les deux été en mesure de suivre l’évolution de ces engins durant quelques minutes, (je n’ai plus souvenir de la durée précise)  provenant du nord et se dirigeant vers le sud, direction où ils ont disparu. Plus précisément, les disques disparaissaient de temps à autre de notre champ de vision à cause des arbres, mais de temps en temps on pouvait les voir distinctement  entre les branches jusqu’à ce qu’ils disparaissent définitivement, toujours à la même vitesse. Nous avons eu le temps de bien les observer, sans comprendre pourtant de ce dont il pouvait s’agir, seulement des objets circulaires, jaune doré, qui ont traversé tranquillement notre champs de vision en émettant un bruit sourd, mais sans changer à aucun moment ni de vitesse, ni de direction. Ce bruit sourd était très fort, et provenait de ces engins et nous les avons entendu jusqu’au moment où ils ont disparu et même après qu’ils aient quitté notre champ de vision, le bruit s’estompant progressivement.

Nous avons tous les deux réfléchi à ce que pouvaient être ces objets, mais nous n’avons pas été en mesure de les comparer à des objets que nous connaissons. Nous savons, pour avoir entendu des informations à ce sujet, qu’il existe des objets qui sont observés dans notre espace aérien, (on parlait à cette époque de « soucoupes volantes » !) dont nous ne pouvons pas connaître l’origine.

Nous n’avons évoqué, de façon brève, ce phénomène qu’à certains de nos proches, sans approfondir. Aujourd’hui, je me pose toujours des questions à propos de cette observation. »

*Avenue Mohamed Diouri à Kenitra (image : Wikipédia)

Source

Article précédent
Article suivant
Sur le même sujet

0 commentaires: