Le
mercredi 4 juin 1952 à 18 heures 40, des ouvriers ont vu un « disque
blanc » au-dessus de la cathédrale de Chartres, en France.
L'OVNI a soudainement pris de l'altitude « en
tournant dans le sens contraire des aiguilles d’une montre ».
Selon
les époux Descazaux, cette soucoupe volante était de la taille
d'une assiette avec des contours « très nets ».
Ils affirment que ce n'était pas un avion. Ce même jour, madame
Faure a pu observer, aux alentours de 8 heures 20, une traînée
lumineuse qui « brillait comme de l’argent et dessinait une
sorte de “S” ». Cette chose se dirigeait vers le terrain
d'aviation et au-dessus de l'usine à gaz. Un fonctionnaire des PTT
confirma qu'elle ne pouvait provenir d'un avion à réaction. Cette
explication fut contestée par un habitant de Maintenon qui affirma
que ces traînées étaient semblables à celles laissées par des
chasseurs anglais pendant la guerre.
Vers
minuit, Mme. Breton-Coudière d'Ymonville distingua, dans le ciel, un
disque de couleur jaune pâle qui se déplaçait silencieusement et
qui laissait, derrière lui, de « petits flocons ».
Le
20 novembre de cette même année, Georges Adamski, un Américain,
pique-niquait dans le désert lorsqu'un astronef atterrit. Une
créature humanoïde « aux cheveux longs » en
sortit et se présenta comme un Vénusien. De cette rencontre, il
écrivit un livre intitulé « Les soucoupes volantes ont
atterri ».
Le
19 août 1965, Alexandre Ananoff, lauréat en 1950 du prix
international d’astronautique et romancier à succès, a « vu
de ses yeux vus » une soucoupe volante dans le ciel de
Dreux. A 20h05, il avait été alerté par son fils. Ce dernier avait
remarqué, depuis le jardin de leur propriété de Fermaincourt, une
étrange lueur. Ananoff prit ses jumelles et vit un OVNI bien plus
brillant que Vénus et qui donnait « l'impression d'une
opaline transparente ». Celui-ci volait très vite et sans
bruit. Vers 23h, l'objet fit un second passage. La base aérienne
d'Evreux affirma que ce n'était qu'un « ballon-sonde ou
peut-être une fusée ou un satellite ». Le savant rejeta cette
hypothèse :
« Un
ballon-sonde ne se déplace pas à très grande vitesse et une fusée
ou un satellite suivent une orbite régulière ».
La
presse nationale se déplaça sur place et interrogea Ananoff ainsi
que sa voisine et le maire de Montreuil (Eure) puisque eux-aussi
avait vu cette chose.
Le
26 novembre 1979, un jeune homme fut enlevé par une soucoupe volante
à Cergy-Pontoise. Il réapparut huit jours plus tard sans aucune
explication possible …
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