Winston
Churchill avait une obsession secrète pour les extraterrestres.
Il était convaincu qu'il pouvait y avoir de la vie sur Mars ou sur
Vénus.
Le
premier ministre britannique, qui était au pouvoir lors de la
Seconde Guerre mondiale, entretenait une fascination pour la vie sur
d'autres planètes et pensait qu'il pouvait y avoir des civilisations
aliens au sein même de notre Système Solaire.
Ce
sujet si controversé était ancré dans son esprit jusqu'à ce que
le Royaume-Uni n'entre en guerre contre l'Allemagne nazie en 1939.
L'intérêt
de Churchill a été révélé après la découverte d'un essai de 11
pages écrit par le Premier Ministre en personne et intitulé « Are
We Alone in the Universe? » (« Sommes-nous seuls
dans l'Univers ? », en Français).
Il
pensait que dans les 50 prochaines années, la science prouverait
qu'il y a de la vie évoluée autre part que sur notre planète.
Churchill
a conclu qu'en raison de leur distance du soleil, Mars et Vénus
étaient les deux seuls endroits dans le Système Solaire autre que
la Terre qui pouvait convenablement abriter la vie.
Son
essai n'a jamais été publié et il s'est retrouvé à l'US National
Churchill Museum à Fulton, dans le Missouri, dans les années 1980,
où il a été découvert.
Les
scientifiques continuent à sonder la vie sur Mars et Vénus, ainsi
qu'à d'autres endroits, comme Europa, l'une des lunes de Jupiter.
Churchill
a écrit :
«
Je ne suis pas tellement impressionné par les
succès que notre civilisation accomplit
ici, si bien que je suis prêt à penser que nous
sommes sur le seul endroit dans cet immense univers qui
contient des créatures vivantes et pensantes. »
Il
a été le premier Premier ministre à engager un conseiller
scientifique et, dans les années 20 et 30, il a écrit un certain
nombre d'essais scientifiques pour les journaux et les magazines sur
des sujets tels que l'évolution et les cellules.
L'intérêt
de Churchill pour les OVNIS était tel qu'il a ordonné l'envoi d'une
sonde secrète afin d'aller à la rencontre de mystérieux «
dirigeables » qui menaçaient la sécurité de la
Grande-Bretagne au temps où il était lord de l'amirauté.
Son
essai, récemment découvert, a été étudié par l'astrophysicien
Mario Livio, qui a loué la compréhension de Churchill pour la
science.
Le
Dr Livio ajoute :
«
À un moment où un certain nombre de politiciens d'aujourd'hui
évitent la science, je trouve qu'il est bien de
rappeler qu'un dirigeant s'était engagé
avec elle si intensément. »
Photo :
Getty ©
Source
0 commentaires: