samedi 2 juillet 2011

L'enlèvement de Tom Brooke

Porte de Brandebourg à Berlin


Les cas d’enlèvement par les OVNI, appelé plus communément « abduction », sont souvent très spectaculaires surtout lorsque les principales victimes ne sont jamais retrouvées. L’article ci-dessous a été publié dans le journal La Presse en 1961.

« Le 14 août 1952, le boucher Tom Brooke, sa femme et son fils de 11 ans, prenaient congé d’amis à proximité d’un bar, à 60 km de Miami, en Floride ; ils montaient dans leur voiture et démarraient. Il était 23h40.

A 7 h 14 le lendemain matin, la police découvrait leur voiture abandonnée à 18 km du bar. Les phares étaient restés allumés, une portière était ouverte et sur la banquette arrière se trouvait le sac à main de Madame Brooke, qui contenait une grosse somme d’argent. Dans la prairie bordant la route, on trouva des traces des Brooke. Ils s’étaient avancés d’une dizaine de pas, puis semblaient s’être volatilisés car les traces s’arrêtaient brusquement. »

Les enquêteurs de cette enquête ont été plus que bouleversés : leurs traces et empreintes s’arrêtaient à une vingtaine de mètre de leur voiture dans une prairie du bord de la route. Dans celui-ci, ils trouvèrent trois trous sous forme d’un triangle équilatéral (rappelant étrangement les cas d’apparition en Belgique entre 1989 et 1991). Ils écartèrent naturellement la thèse d’un kidnapping ou celle d’un assassinat : en effet enlever ou tuer trois personnes (le couple et leur enfant) auraient probablement laissé des traces convaincantes.

La thèse d’enlèvement par des OVNI se trouve amplement renforcée lorsque l’on sait que le même soir, à 11 km de là, une serveuse de restaurant, Mabel Twin, disparaissait le même soir. Jamais elle ne fut retrouvée.

Quelle probabilité y-avait-il que 4 personnes puissent disparaître le même soir, sans jamais revenir, dans une zone géographique relativement proche ?

Personne à ce jour n’a pu donner d’explications convaincantes sur ces deux cas.

Source
Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans, Robert Charroux, 1963, Robert Laffont
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