Josef Blumrich est né en dans les Alpes Tyroliennes en Autriche le 17 mars 1913 et est décédé le 10 février 2002. En 1934, il obtint un Bachelor Degree en génie Aéronautique et Mécanique dans la prestigieuse Ecole d’Ingénieur de Weimar, en Allemagne.
Bien qu’il n’avait aucune idéologie Nazi, il servit de 1944 à 1945 dans l’armée du 3ème Reich mais fut capturé en décembre. En 1951, il immigra aux Etats-Unis pour rejoindre le programme spatial de la NASA. Il fut ensuite nommé à la direction du service « projets de construction » de l’organisation américaine. Ce service a pour but de calculer dans les moindres détails les vaisseaux spatiaux de demain. C’est à cette époque qu’il acquit sa réputation. En effet, il participa activement à la construction du dernier étage de la fusée Saturne V. Il fut même décoré de la mythique « Exceptional Service Medal » en récompense de ses travaux sur Apollo et Saturne. A noter que cette distinction n’est attribuée que très rarement, ce qui prouve l’importance de ce savant pour la NASA.
Toutefois sa conception de l’existence fut totalement bouleversée lorsqu’il rencontra, le 28 mars 1972, le célèbre ufologue Erich Von Däniken à Huntsville dans l’Alabama aux Etats-Unis. Ce dernier l’interrogea longuement sur les visions qu’Ezechiel aurait eues de Dieu dans la Bible. D’abord sceptique, il étudia ce texte religieux et en conclura scientifiquement que la description du vaisseau par le prophète était tout à fait plausible et même réalisable.
De ses recherches il sortit un livre, Les Vaisseaux d’Ezechiel. Il est bien rare que des scientifiques s’intéressent et même corroborent les thèses et les dires des ufologues. Et il l’est encore plus quand l’on retrouve dans des écrits anciens des prétendues traces de technologies très avancées.
Jugez par vous-même le fameux passage qui provoqua tant de controverses :
« La trentième année, le cinquième jour du quatrième mois, comme j’étais parmi les captifs du fleuve du Kebar, les cieux s’ouvrirent … Je regardai, et voici, il vint du Septentrion un vent impétueux, une grosse nuée et une gerbe de feu qui répandait de tous côtés une lumière éclatante, au centre de laquelle brillait comme de l’airain poli, sortant du milieu du feu. Au centre encore, apparaissaient quatre animaux dont l’aspect avait une ressemblance humaine. Chacun d’eux avait quatre faces et chacun avait quatre ailes. Leurs pieds étaient droits et la plante de leurs pieds était comme celle du pied d’un veau, et ils étincelaient comme de l’airain poli … Je regardais ces animaux ; et voici, il y avait une roue sur la terre, près des animaux, devant leurs quatre faces. A leur aspect et à leur structure, ces roues semblaient être en chrysolithe, et toutes les quatre avaient la même forme ; leur aspect et leur structure étaient tels que chaque roue paraissait être au milieu d’une autre roue. En cheminant, elles allaient de leurs quatre côtés, et elles ne se tournaient point dans leur marche. Elles avaient une circonférence et une hauteur effrayantes, et à leur circonférence les quatre roues étaient remplies d’yeux tout autour. Quand les animaux marchaient, les roues cheminaient à côtés d’eux ; et quand les animaux s’élevaient de terre, les roues s’élevaient aussi … Quand ils marchaient, elles marchaient, ; quand ils s’arrêtaient, elles s’arrêtaient ; quand ils s’élevaient de terre, les roues s’élevaient avec eux, car l’esprit des animaux étaient dans les roues … Il me dit : fils de l’homme, tiens-toi sur tes pieds et je te parlerai … Et j’entendis derrière moi un grand tumulte … J’entendis le bruit des ailes des animaux, frappant l’une contre l’autre, le bruit des roues auprès d’eux, et le bruit d’un grand tumulte. »
Alors si vous êtes intéressé, procurez-vous l’ouvrage de Blumrich. Malheureusement, The Spaceships of Ezekiel, n’a pas été traduit en français.
Source
L’Or des Dieux, Erich Von Däniken, 1974
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