vendredi 30 mai 2014

Il photographie un OVNI dans un village d’Eure-et-Loir


Récemment, un français affirme avoir involontairement photographié un objet volant non identifié alors qu’il se trouvait chez une amie dans le petit village de La Ferté-Vidame (720 habitants en 2011) situé dans le département de l’Eure-et-Loir …

Depuis plus de 30 ans déjà, Daniel Ubertini affirme régulièrement observer et parfois photographier des OVNI. D’ailleurs il se définit lui-même comme étant « le témoin involontaire de phénomènes aériens. »

Photoreporter à la retraite (il a notamment travaillé pour l’ORTF), il a pris, au cours de sa longue carrière, plusieurs milliers de photos. Sur quatre d’entre elles, il a constaté la présence d’une tâche sombre. En zoomant dessus, il a, à chaque fois, découvert la présence d’un objet discoïdal sur lequel se trouvait une sorte d’antenne.

En février 1977, l’homme était sur l’île de la Réunion. Passionné d’aviation, il avait décidé d’immortaliser le décollage d’un Boeing 747. Lorsqu’il développa l’un de ses clichés, il vit « une boule de lumière au-dessus de l’aile droite de l’avion ». « La boule a pris la forme d’un casque colonial surmonté d’une petite antenne. »

C’est la raison pour laquelle, il gagna le surnom « Ubertovni ». Il raconte :

« Beaucoup de gens m’ont pris pour un allumé. »

En 2009, alors qu’il était en voyage au Royaume de Tonga, il photographia l’arrière d’un petit avion posé sur le tarmac d’un aérodrome :

« Au développement du film, au-dessus de l’aile, j’aperçois une forme ressemblant à un DVD, avec un trou au milieu. »

Il précise :

« L’objet est à la fois flou et structuré. »

Enfin, en 2014, il a derechef capturé une soucoupe volante en photographiant la maison de l’une de ses amies, résidant à La Ferté-Vidame, en France.

Après ses multiples expériences, il décida de contacter le seul organisme français qui étudie officiellement et de manière scientifique le phénomène OVNI, le GEIPAN (Groupe d’Etudes et d’Informations sur les Phénomènes Aérospatiaux Non-identifiés). Seulement, ils n’ont jamais pris la peine d’étudier ses photos :

« Et c’est toujours la même rengaine. Ils me disent : “Vous étiez seul, personne d’autre n’a rien vu, ni entendu. On ne prend pas votre photo en considération.” Mais ils la prennent quand même et la classe dans un dossier. »

L’homme n’est pas un fou, ni un illuminé. Il est juste quelqu’un qui essaie, tant bien que mal, de comprendre les photos qu’il a prises :

« Il se passe des choses dont on n’est pas conscients. Je ne recherche jamais à faire ce genre de photo ».

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