Récemment, un
français affirme avoir involontairement photographié un objet volant non
identifié alors qu’il se trouvait chez une amie dans le petit village de La
Ferté-Vidame (720 habitants en 2011) situé dans le département de
l’Eure-et-Loir …
Depuis plus de
30 ans déjà, Daniel Ubertini affirme
régulièrement observer et parfois photographier des OVNI. D’ailleurs il se
définit lui-même comme étant « le
témoin involontaire de phénomènes aériens. »
Photoreporter
à la retraite (il a notamment travaillé pour l’ORTF), il a pris, au cours de sa
longue carrière, plusieurs milliers de photos. Sur quatre d’entre elles, il a
constaté la présence d’une tâche sombre. En zoomant dessus, il a, à chaque
fois, découvert la présence d’un objet discoïdal sur lequel se trouvait une
sorte d’antenne.
En février
1977, l’homme était sur l’île de la Réunion. Passionné d’aviation, il avait
décidé d’immortaliser le décollage d’un Boeing 747. Lorsqu’il développa l’un de
ses clichés, il vit « une
boule de lumière au-dessus de l’aile droite de l’avion ». « La boule a pris la forme d’un casque
colonial surmonté d’une petite antenne. »
C’est la
raison pour laquelle, il gagna le surnom « Ubertovni ». Il raconte :
« Beaucoup de gens m’ont pris pour un allumé. »
En 2009, alors
qu’il était en voyage au Royaume de Tonga, il photographia l’arrière d’un petit
avion posé sur le tarmac d’un aérodrome :
« Au développement du film, au-dessus de l’aile, j’aperçois une forme
ressemblant à un DVD, avec un trou au milieu. »
Il
précise :
« L’objet est à la fois flou et structuré. »
Enfin, en
2014, il a derechef capturé une soucoupe volante en photographiant la maison de
l’une de ses amies, résidant à La Ferté-Vidame, en France.
Après ses
multiples expériences, il décida de contacter le seul organisme français qui
étudie officiellement et de manière scientifique le phénomène OVNI, le GEIPAN
(Groupe d’Etudes et d’Informations sur les Phénomènes Aérospatiaux
Non-identifiés). Seulement, ils n’ont jamais pris la peine d’étudier ses
photos :
« Et c’est toujours la même rengaine. Ils me disent : “Vous étiez seul, personne d’autre n’a
rien vu, ni entendu. On ne prend pas votre photo en considération.” Mais ils la prennent quand même et la classe dans un dossier. »
L’homme n’est
pas un fou, ni un illuminé. Il est juste quelqu’un qui essaie, tant bien que
mal, de comprendre les photos qu’il a prises :
« Il se passe des choses dont on n’est pas
conscients. Je ne recherche jamais à faire ce genre de
photo ».
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