Le 14 juin
1968, près de la ville de Pinar del Rio (à Cuba), un militaire cubain ouvrit le
feu sur un objet volant non identifié qui se tenait juste devant lui. En pleine
Guerre Froide, l’homme était persuadé qu’il s’agissait des américains !
Cette nuit-là,
peu après minuit, plusieurs rafales de mitrailleuse furent entendues, à l’emplacement
où était de garde le militaire Isidro Puentes Ventura.
Quelques
heures plus tard, à l'aube, Puentes fut retrouvé inconscient par une patrouille
de l'armée et emmené à l'hôpital de Pinar Del Rio. Pendant six jours, l’homme
resta dans un état de choc et demeura incapable de parler.
Transféré au
service de neurologie de l'hôpital naval
de La Havane, Puentes fut diagnostiqué comme souffrant d'un violent traumatisme
émotionnel. Il demeura d’ailleurs en état de choc une semaine supplémentaire.
Pour
comprendre ce qui s’était réellement passé, des enquêteurs cubains et soviétiques
se rendirent sur place. Là, ils trouvèrent quarante-huit cartouches vides ainsi
que quatorze balles toutes aplaties par l’impact ainsi que de profondes marques
dans le sol indiquant que quelque chose de très lourd s’était posée à cet
endroit. Des tests ultérieurs révélèrent que le sol avaient été exposés à de
très fortes chaleurs.
Lorsque Puentes
repris connaissance, il indiqua avoir observé, à moins de 150 pieds de lui, un
imposant objet rond et brillant sur le sol. L’OVNI était surmonté d’un dôme d’où
plusieurs antennes sortaient.
Convaincu qu’il
s’agissait d’un hélicoptère américain, Puentes ouvrit le feu. Mais, soudain, l’objet
devint orange avant d’émettre un fort sifflement. C’est à ce moment-là que
Puentes perdit connaissance.
Les services
de renseignement soviétique interrogèrent pendant plus de 50 heures le témoin. Il
fut ensuite examiné par une équipe de psychiatres qui le soumirent à 15 séances
d’hypnose. A la suite de ces multiples examens, ils ne trouvèrent aucune contradiction
dans son histoire …
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