Jusqu'à
sept OVNI ont été vus sur un écran radar par 11 personnes
autant effrayées qu'étonnées. Parmi ces témoins, se trouvait un
lieutenant-colonel de la Royal Air Force.
Alan
Turner, officier de l'ordre de l'Empire britannique, a déclaré que
lui et 10 autres personnes avaient regardé avec étonnement « six
ou sept » anomalies inexplicables qui étaient apparues sur
l'écran radar qu'ils surveillaient.
M.
Turner était un superviseur militaire au sein de la base de la RAF
située à Sopley, dans le comté de Hampshire, lorsque ces
événements inexplicables se sont produits.
Il
a raconté :
«
Le responsable du contrôle civil a attiré mon attention sur une
anomalie sur le radar que nous n'avions encore jamais
rencontrée. »
« Émanant
d'un point situé à environ une vingtaine de miles
nautiques à l'est de l'extrémité est de la zone de danger de la
Plaine de Salisbury, une série de six ou sept anomalies
se déplaçaient en direction du sud-est. Chacune
était séparée de l'autre par
une distance d'environ six milles. »
Il
a raconté qu'à environ quarante milles du point duquel ils étaient
apparus sur le radar, ils ont tous disparu.
Il
a estimé que ces OVNI se trouvaient à 3 000 pieds d'altitude quand
ils sont apparus pour la première fois sur le radar. Ils ont
rapidement pris de la hauteur pour atteindre 60 000 pieds d'altitude
au moment de disparaître.
« Grimper
à une telle hauteur en seulement quarante milles était au-delà de
la capacité de tout avion de chasse à l'époque. »
M.
Turner a déclaré que ce phénomène avait été observé par quatre
contrôleurs civils et six militaires en service à l'époque dans
d'autres zones.
« J'ai
appelé l'aéroport d'Heathrow et j'ai découvert qu'ils
avaient également vu quelque chose de similaire. »
« Les
salles de commandement de RAF de Neatishead, près de Norwich, dans
le Norfolk avaient observé la même chose. »
« Les
trois unités impliquées ont utilisé différents radars les unes
des autres, de sorte que différentes fréquences étaient
utilisées. »
Déconcerté
M. Turner a mené son enquête auprès du Met Office (le service
national britannique de météorologie) pour tenter de comprendre ce
qui s'était passé.
« Les
prévisions météorologiques du sud de l'Angleterre étaient calmes
et ensoleillées. »
« J'ai
appelé le Met Office pour confirmer la force des vents supérieurs.
J'ai constaté qu'ils étaient relativement calmes et se trouvaient à
environ cinquante degrés de la piste au sud-est de ces anomalies. »
M.
Turner a insisté sur le fait que le Met Office a également confirmé
qu'il n'y avait pas de ballons météorologiques ou de sondes
aéroportées à l'époque.
« Je
ne suis pas en mesure d'expliquer ce que j'ai vu, comme beaucoup
d'autres personnes. »
« À
l'époque, les avions ne pouvaient pas monter à un tel rythme.
Pour être vu sur les écrans par trois radars terrestres différents,
plus le radar aérien dans le Canberra, c'est vraiment
un mystère. »
Les
détails de cette affaire, qui a eu lieu au cours de l'été 1971,
ont été révélés par l'enquêteur britannique Philip Mantle.
Photo :
Getty / Philip Mantle
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