jeudi 10 avril 2014

Une effrayante rencontre du 3ème type à Butler en 1967


Le 20 mars 1967, une famille résidant dans la ville de Butler, en Pennsylvanie observa, aux alentours de 22 heures 45, d’étranges lumières dans le ciel. Décidant de mener l’enquête, ils rencontrèrent les effrayants habitants de ces vaisseaux spatiaux extraterrestres …

M. Rible, et sa fille, prénommée Jean, prirent, cette nuit-là, la voiture familiale pour faire le tour du quartier dans l'espoir d'apercevoir des lumières inhabituelles. En effet, un peu plus tôt dans la soirée, Ils virent de mystérieuses formes lumineuses « virevoltantes à basse altitude. » La maison des Rible se situe dans une zone peu peuplée et les logements sont ainsi éloignés les uns des autres.

Il y a également, à un mile de chez eux, un aérodrome privé. La famille Rible est donc familière des vols nocturnes. Mais les lumières vues par Mme Rible ne ressemblaient en rien à des aéroplanes classiques. Ils étaient tellement étonnés par leurs manœuvres inhabituelles qu’ils décidèrent de mener l’enquête.

Ainsi, ils sillonnèrent  les routes de la région de Butler. C’est alors que M. Rible se gara sur le bas-côté, éteignit les phares de sa Volkswagen afin de mieux observer ce qui se passait. Au bout de quelques minutes, alors  qu’il était sorti de son véhicule, il repéra deux globes lumineux à un mile d’ici. Elles mesuraient, selon ses dires, près de ​​200 pieds de hauteur. Ils avaient une vision claire de ces lumières. Elles volaient parallèlement l’une par rapport à l’autre et émettaient une lumière oscillant entre le jaune et le blanc.

Au départ, M. Rible et sa fille pensèrent qu'ils observaient deux avions privés, possédant chacun un seul phare d'atterrissage, et venant se poser sur la route même où la voiture était garée. Seulement l’hypothèse qu’il puisse s’agir de simples avions ne tenaient pas debout : ils ne faisaient pas de bruit, leurs lumières étaient trop importantes, et se déplaçaient sur une route alors qu’il faisait nuit noire.

Les Ribles regardèrent avec une grande préoccupation grandissante les deux globes de lumière. Elles approchaient à une vitesse de 70 ou 80 mph. M. Rible restait paralysé par la frayeur à côté de sa Volkswagen. Jean cria alors à son père, « Oh mon Dieu !, elles viennent droit sur nous. »

M. Rible alluma les phares de sa voiture. Les lumières étranges continuèrent de s’approcher avant de stopper net à cinquante mètres de là. C’est à ce moment-là qu’apparus cinq humanoïdes.

En quelques secondes, les Ribles étaient de retour dans leur voiture. Alors que son père était occupé à faire démarrer la voiture, Jean regardait ces êtres venus d’ailleurs. Selon elle, ils se tenaient à environ 10 pieds de la voiture. Ils ressemblaient à des êtres humains, mais leurs visages étaient totalement dépourvus d'expression, à la différence d'un visage humain. Leurs yeux s’apparentaient à de simples  fentes horizontales d’une longueur d’un pouce environ. Ces êtres ne paraissaient pas posséder d’iris, ni de pupilles. Leurs nez étaient étroits et pointus, un peu comme celui des terriens, et leurs bouches n’étaient également que des fentes.

Quatre de ces humanoïdes mesuraient environ 5,7 pieds de hauteur, tandis que le cinquième était considérablement plus petit, environ ​​5 pieds. Tous portaient des casquettes avec un sommet plat. En outres, ils paraissaient avoir des cheveux blonds. Les quatre plus grands avaient les cheveux courts, ce qui fit suggérer à nos témoins qu’il s’agissait d’extraterrestres de sexe masculin. Le plus petit avait les cheveux tombant sur les épaules : c’était probablement une femme.

Tous les cinq étaient habillés de la même manière : une chemise et un pantalon gris-vert. Leurs t-shirts, qui étaient ouverts au niveau du cou, sortaient de leurs pantalons. Leurs vêtements étaient amples et leur peau était rugueuse les faisant ressembler à de grands brûlés.

« Ils nous a donné la chair de poule. »

Lorsque M. Ribles parvint enfin à démarrer la voiture, les aliens se tenaient debout devant le capot. Ainsi, le véhicule faillit les renverser. Rapidement, une course poursuite s’engagea : les lumières suivaient de près, nos deux témoins effrayés. Le conducteur entendit des voix dans sa tête qui lui ordonnaient de ne pas bouger, et de s’arrêter. Ce qu’il ne fit évidemment pas. Quand les lumières disparurent, les voix cessèrent définitivement.

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