Le 20 mars
1967, une famille résidant dans la ville de Butler, en Pennsylvanie observa,
aux alentours de 22 heures 45, d’étranges lumières dans le ciel. Décidant de
mener l’enquête, ils rencontrèrent les effrayants habitants de ces vaisseaux
spatiaux extraterrestres …
M. Rible, et sa fille,
prénommée Jean, prirent, cette nuit-là, la voiture familiale pour faire le tour
du quartier dans l'espoir d'apercevoir des lumières inhabituelles. En effet, un
peu plus tôt dans la soirée, Ils virent de mystérieuses formes lumineuses « virevoltantes
à basse altitude. » La maison des Rible se situe dans une zone peu peuplée
et les logements sont ainsi éloignés les uns des autres.
Il y a également,
à un mile de chez eux, un aérodrome privé. La famille Rible est donc familière des
vols nocturnes. Mais les lumières vues par Mme Rible ne ressemblaient en rien à
des aéroplanes classiques. Ils étaient tellement étonnés par leurs manœuvres
inhabituelles qu’ils décidèrent de mener l’enquête.
Ainsi, ils sillonnèrent
les routes de la région de Butler. C’est
alors que M. Rible se gara sur le bas-côté, éteignit les phares de sa
Volkswagen afin de mieux observer ce qui se passait. Au bout de quelques
minutes, alors qu’il était sorti de son
véhicule, il repéra deux globes lumineux à un mile d’ici. Elles mesuraient,
selon ses dires, près de 200 pieds de hauteur. Ils avaient une vision claire
de ces lumières. Elles volaient parallèlement l’une par rapport à l’autre et
émettaient une lumière oscillant entre le jaune et le blanc.
Au départ, M.
Rible et sa fille pensèrent qu'ils observaient deux avions privés, possédant chacun
un seul phare d'atterrissage, et venant se poser sur la route même où la
voiture était garée. Seulement l’hypothèse qu’il puisse s’agir de simples
avions ne tenaient pas debout : ils ne faisaient pas de bruit, leurs lumières
étaient trop importantes, et se déplaçaient sur une route alors qu’il faisait
nuit noire.
Les Ribles
regardèrent avec une grande préoccupation grandissante les deux globes de
lumière. Elles approchaient à une vitesse de 70 ou 80 mph. M. Rible restait
paralysé par la frayeur à côté de sa Volkswagen. Jean cria alors à son père, « Oh
mon Dieu !, elles viennent droit sur nous. »
M. Rible alluma
les phares de sa voiture. Les lumières étranges continuèrent de s’approcher
avant de stopper net à cinquante mètres de là. C’est à ce moment-là qu’apparus cinq
humanoïdes.
En quelques
secondes, les Ribles étaient de retour dans leur voiture. Alors que son père
était occupé à faire démarrer la voiture, Jean regardait ces êtres venus d’ailleurs.
Selon elle, ils se tenaient à environ 10 pieds de la voiture. Ils ressemblaient
à des êtres humains, mais leurs visages étaient totalement dépourvus
d'expression, à la différence d'un visage humain. Leurs yeux s’apparentaient à
de simples fentes horizontales d’une
longueur d’un pouce environ. Ces êtres ne paraissaient pas posséder d’iris, ni
de pupilles. Leurs nez étaient étroits et pointus, un peu comme celui des
terriens, et leurs bouches n’étaient également que des fentes.
Quatre de ces
humanoïdes mesuraient environ 5,7 pieds de hauteur, tandis que le cinquième
était considérablement plus petit, environ 5 pieds. Tous portaient des
casquettes avec un sommet plat. En outres, ils paraissaient avoir des cheveux
blonds. Les quatre plus grands avaient les cheveux courts, ce qui fit suggérer à
nos témoins qu’il s’agissait d’extraterrestres de sexe masculin. Le plus petit
avait les cheveux tombant sur les épaules : c’était probablement une femme.
Tous les cinq étaient
habillés de la même manière : une chemise et un pantalon gris-vert. Leurs
t-shirts, qui étaient ouverts au niveau du cou, sortaient de leurs pantalons. Leurs
vêtements étaient amples et leur peau était rugueuse les faisant ressembler à
de grands brûlés.
« Ils nous a donné la chair de poule. »
Lorsque M.
Ribles parvint enfin à démarrer la voiture, les aliens se tenaient debout
devant le capot. Ainsi, le véhicule faillit les renverser. Rapidement, une
course poursuite s’engagea : les lumières suivaient de près, nos deux
témoins effrayés. Le conducteur entendit des voix dans sa tête qui lui
ordonnaient de ne pas bouger, et de s’arrêter. Ce qu’il ne fit évidemment pas. Quand
les lumières disparurent, les voix cessèrent définitivement.
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