En Angleterre,
une affaire de meurtre stupéfait la justice britannique. En effet, selon les éléments
de l’enquête, il semblerait que la principale suspecte soit morte trois
semaines avant de commettre son prétendu méfait …
L’histoire s’est
déroulée en 1997. Cette année-là, une femme fut retrouvée sauvagement
assassinée. La victime, avant de trépasser, réussit à griffer violemment son agresseur. C’est pour cela, que des traces
d’ADN purent être retrouvées sous les ongles de la mortes. Le docteur Mike Silverman, médecin légiste de son
état, étudia l’affaire. Après avoir recueilli l’ADN du tueur présumé, les
enquêteurs interrogèrent la base de données ADN du pays. Un résultat surprenant
en sorti.
C’est ainsi
que l’on découvrit que la meurtrière identifiée avait elle-même été assassinée
trois semaines avant de commettre son prétendu méfait !
Malgré une
enquête approfondie, aucun lien ne put être trouvé entre les deux femmes. Il n’y
avait en effet aucune preuve qu’elles se soient déjà rencontrées avant ce
double drame.
La seule
explication que le docteur ait pu trouver est que des échantillons avaient été
malencontreusement mélangés. Mais l’homme de science vérifia minutieusement si
une telle erreur avait pu être commise par le laboratoire chargée de l’analyse.
Et ses conclusions furent sans appel, aucun échantillon n’avait été échangé.
La victime
avait peint ses ongles avec un motif en peau de léopard. De ce fait, il y a
toutes les chances que ces ongles étaient les bons et qu’ils n’avaient pas été
intervertis avec une autre affaire.
Sachant cela,
le mystère sur la vraie identité de la meurtrière demeure total sauf, bien
entendu, si l’on accepte l’idée qu’elle voyageait dans le temps …
Source
0 commentaires: