mardi 29 avril 2014

La meurtrière qui venait du futur …


En Angleterre, une affaire de meurtre stupéfait la justice britannique. En effet, selon les éléments de l’enquête, il semblerait que la principale suspecte soit morte trois semaines avant de commettre son prétendu méfait …

L’histoire s’est déroulée en 1997. Cette année-là, une femme fut retrouvée sauvagement assassinée. La victime, avant de trépasser, réussit à griffer violemment  son agresseur. C’est pour cela, que des traces d’ADN purent être retrouvées sous les ongles de la mortes. Le docteur Mike Silverman, médecin légiste de son état, étudia l’affaire. Après avoir recueilli l’ADN du tueur présumé, les enquêteurs interrogèrent la base de données ADN du pays. Un résultat surprenant en sorti.

C’est ainsi que l’on découvrit que la meurtrière identifiée avait elle-même été assassinée trois semaines avant de commettre son prétendu méfait !

Malgré une enquête approfondie, aucun lien ne put être trouvé entre les deux femmes. Il n’y avait en effet aucune preuve qu’elles se soient déjà rencontrées avant ce double drame.

La seule explication que le docteur ait pu trouver est que des échantillons avaient été malencontreusement mélangés. Mais l’homme de science vérifia minutieusement si une telle erreur avait pu être commise par le laboratoire chargée de l’analyse. Et ses conclusions furent sans appel, aucun échantillon n’avait été échangé.

La victime avait peint ses ongles avec un motif en peau de léopard. De ce fait, il y a toutes les chances que ces ongles étaient les bons et qu’ils n’avaient pas été intervertis avec une autre affaire.

Sachant cela, le mystère sur la vraie identité de la meurtrière demeure total sauf, bien entendu, si l’on accepte l’idée qu’elle voyageait dans le temps …

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