Un agent de la CIA aurait reconnu, sur son lit de mort, avoir assassiné Bob Marley. Cette révélation relance les vérités sur le décès du plus célèbre des artistes jamaïcains.
La légende du reggae, Bob Marley, est mort tragiquement à l'âge de 36 ans. La vie et la carrière de l’icône jamaïcaine ont été interrompues à l’issue d’une bataille de quatre ans contre le cancer.
Cependant, un ex-officier de la CIA a admis le meurtre alors qu’il était sur le point de mourir.
Bill Oxley, âgé de 79 ans, aurait revendiqué le meurtre de Bob Marley parmi 17 autres assassinats qu’il aurait perpétré pour le gouvernement américain entre 1974 et 1985. Il affirmait que la CIA « était une loi en soi ».
Oxley, qui aurait travaillé pendant 29 ans comme agent de la CIA, aurait déclaré qu’il était souvent utilisé comme un tueur à gages sur des cibles considérées comme « représentant une menace pour les intérêts des États-Unis ».
Dans une interview partagée largement sur Internet, il a admis n'avoir eu aucun problème à procéder à l'assassinat de Bob Marley parce que « j'étais patriote, je croyais en la CIA et je ne remettais pas en cause les motivations de l'agence - j'ai toujours compris que parfois des sacrifices devaient être faits pour le plus grand bien. »
Selon la théorie du complot, Oxley a utilisé de faux titres de presse pour avoir accès à Bob Marley lors de sa retraite à Blue Mountain. se présentant comme un photographe célèbre travaillant pour le New York Times, et a donné un cadeau à Bob Marley.
« Je lui ai donné une paire de Converse All Stars. Taille 10. Quand il a essayé la bonne chaussure, il a crié ‘OUUUCH’ ».
« C'était ça. Sa vie touchait à sa fin à cet instant-là. Le clou dans la chaussure était imprégné d’un virus et de bactéries cancéreuses. Si ça lui transperçait la peau, ce qui a été le cas, c'était la fin pour lui. »
« À la fin des années soixante et au début des années soixante-dix, une série d'assassinats de personnalités de la contre-culture ont eu lieu aux États-Unis. Lorsque le temps de Bob Marley est venu, nous avons pensé que la subtilité était à l'ordre du jour. Plus de balles et de cerveaux éclaboussés. »
M. Oxley dit qu'il a gardé un contact étroit avec Marley pendant les dernières années de sa vie, assurant que les conseils médicaux reçus à Paris, à Londres et aux États-Unis « accéléreraient son décès plutôt que de le guérir ».
« La dernière fois que j'ai vu Bob avant sa mort, il avait enlevé les dreadlocks et il perdaitdu poids à vue d’œil. »
« Il était très reclus, et paraissait incroyablement petit. Le cancer avait fait son boulot. »
Beaucoup considèrent cette histoire comme étant une fiction. Toutefois, ce récit concorde avec les conclusions des scientifiques britanniques en 2014, qui ont découvert que le mystérieux mélanome acral - un type rare de cancer de la peau.
Dans un entretien de 2013 sur le décès de Bob Marley, Ziggy a déjà laissé entendre que son père avait été tué : « Je ne sais pas quoi croire ... il y a beaucoup de théories ».
À la fin des années 1970, la Jamaïque était inondée d’armes à feu bon marché, d’héroïne, de cocaïne, de propagande d'extrême droite et, comme le décrivait Maurice Bishop, trois ans plus tard, la CIA « tentait de détruire l'économie ».
« Déstabilisation », avait déclaré M. Bishop à la naissance du New Jewel Party, « c’est la méthode la plus récente de contrôle et d’exploitation de la vie et des ressources d’un pays et de son peuple par le harcèlement, l’intimidation et la violence. »
En réponse aux machinations fascistes de la CIA, Marley transformait ses paroles en un crucifix révolutionnaire pour repousser les « vampires » qui venaient sur l’île.
La CIA, qui a nié toute implication dans la mort de Marley, a été sollicitée mais n’a pas répondu à ces accusations.
Sourcehttps://www.dailystar.co.uk/news/weird-news/725614/bob-marley-assassination-cia-deathbed-confession-reggae-star-bill-oxley
, 28 août 2018
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