Jacques
Bergier est célèbre dans le monde entier pour ses travaux. Ingénieur,
alchimiste, écrivain et véritable génie, il publia un ouvrage, « L’Homme
éternel », dans lequel il nous fit part d’une découverte époustouflante :
des sculptures datant de plus de cent mille ans …
Selon l’histoire
officielle et reconnue, les premières sculptures archaïques datent, au maximum
de 30 000 ans avant J-C. Le coauteur du best-seller « Le Matin des
Magiciens » (avec Louis Pauwels) et pionnier de vulgarisation
scientifique, J. Bergier, nous apprenait qu’en novembre 1957, à Hambourg, des
travaux de reconstruction de la ville mirent à jour des trouvailles
extraordinaires.
Selon le très
sérieux journal russe « Technique et Jeunesse » (en 1965), c’est à la
suite d’un percement effectué par un excavateur géant, en plein centre-ville, que
les ouvriers tombèrent sur l’invraisemblable :
« En 1957, l'ingénieur Hans Elieschlager a
extrait du sol des pierres géantes apparemment sculptées et ressemblant à des
têtes humaines. Ces éléments étaient enfouis dans une couche d'argile très
profonde qui fut atteinte par l'excavateur. Les travaux sont actuellement
suspendus. Le service d'archéologie de la ville est convoqué dans le cadre de
fouilles préliminaires à toute nouvelle construction. »
C’est le
professeur et archéologue Walther Matthes, de l’Université d’Hambourg, qui eut
l’honneur d’étudier scientifiquement ces éléments d’un autre temps. Ses
conclusions furent claires et sans équivoques : il s’agissait d’objets
sculptés par des êtres humains à l’époque pré glaciaire. Il parvint à
déterminer leur âge : au minimum 100 000 ans !
Mais ce n’est
pas tout. Matthes découvrit que certaines de ses figures exigeaient une
maîtrise technique avancée : lorsqu’on les tournait à un angle de 125°, le
visage d’apparence masculin se transformait en femme.
V. Kristly,
archéologue lui-aussi, aurait affirmé, selon l’article russe, avoir découvert
des pierres aux caractéristiques analogues en Russie :
« Le cliché classique représentant des figures hirsutes recouvertes de peaux de bêtes, au visage de singe et frottant bêtement deux silex l'un contre l'autre est un cauchemar d'archéologue classique ne correspondant absolument pas à la réalité. Ce qui s'est passé avant les glaces, il faudra bien un jour que les archéologues et les préhistoriens reconnaissent qu'au fond ils n'en savent rien. »
Cette
découverte est d’une importance considérable puisqu’elle remet en cause les
fondements même de l’histoire de l’humanité …
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