Voilà une
nouvelle étonnante qui ne manquera pas de nous faire sourire. Selon des chiffres
publiés par le Parlement britannique, il y aurait eu, en son sein, pas moins de
300 000 tentatives de connexion à « des sites internet répertoriés comme pornographiques » …
L’ensemble de
ses visites ont eu lieu entre mai 2012 et juillet 2013. D’après ces données
officielles, publiées suite à une demande formulée par le Huffington Post, on apprend que c’est au mois de novembre qu’a été
enregistré le plus grand nombre de connexions : 114 844. En plus de
cela, le Parlement a recensé environ 52 000 visites sur des sites de
rencontres extra-conjugales !
A la vue de
ces chiffres, doit-on considérer que nos hommes politiques aiment à se
distraire en visitant ce genre de sites pendant leurs horaires de travail ?
Non si l’on en croit le Parlement, comme l’affirme une porte-parole de la
Chambre des Communes :
« Nous ne considérons pas que ces chiffres
fournissent une représentation correcte du nombre de tentatives délibérées du
fait de la variété de façons dont les sites fonctionnent, réagissent et
interagissent. »
Elle renchérit :
« Un utilisateur peut accéder à un site
contenant des liens optionnels ou automatiques vers d'autres sites (sans les
ouvrir), ce qui est malgré tout enregistré comme une requête. »
Même avec ces
explications, on n’est quand même en droit de se demander si les politiciens
britanniques et leurs personnels travaillent réellement à leur bureau ou s’ils
ne préfèrent s’adonner à de petits plaisirs solitaires …
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