samedi 19 novembre 2011

Un OVNI aurait rendu visite à Augusto Pinochet



L’écrivain et enquêteur espagnol, Juan José Benitez, assure qu’un Objet Volant Non Identifié aurait rendu visite au dictateur Chilien, Augusto Pinochet, lorsqu’il était au pouvoir (de 1974 à 1990), une journée avant qu’un groupuscule militaire ne tenta de l’assassiner en septembre de l’année 1986.

L’auteur de la saga « Caballo de Troya » (« Cheval de Troie », en français), qui visitait la capitale Santiago de Chile pour participer au 31ème Salon International du Livre de Santiago, reconnu que « c’est un cas remarquable » quand on connait « la nature du personnage. »

Il affirme que « une journée avant l’attentat perpétré conte le général Pinochet (le 7 septembre 1986), un vaisseau spatial s’est posé sur la propriété du général et il a vu tous les policiers, tous les gardes et les carabiniers qui se trouvaient à l’extérieur rentrés à l’intérieur », probablement par la crainte qu’entraînait l’apparition de cet objet si peu banal.

« Ils sortirent alors leurs armes et s’apprêtaient à faire feu », déclara cet expert en affaire OVNI. Hélas pour notre curiosité, nous ne savons pas qu’elle a été le résultat de ces coups de feu.

Le lendemain, un commando du Front patriotique Manuel Rodriguez  (FPMR) prenait en embuscade le convoi dans lequel se trouvait le dictateur.

A la vue de cette histoire, posons-nous la question suivante : y-a-t-il un lien plus ou moins direct entre ces deux évènements ? Si oui, l’OVNI qui apparut dans son jardin avait-il pour mission d’avertir le dictateur ? Mais alors, pourquoi les extraterrestres tenaient tant à protéger cet homme ?

Nous ne le serons très probablement jamais. Sauf si, un jour, on découvre un document écrit attestant de cet évènement. Car, en effet, si cela a bien eu lieu, il existe, à n’en pas douter, une preuve manuscrite. D’après l’auteur espagnol, il existerait bel et bien un tel document, mais ce dernier, comme beaucoup, ne serait pas déclassifié par les autorités chiliennes et ne le serait probablement jamais.

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