samedi 5 novembre 2011

OVNI : Un général turc témoigne



Les OVNI représentent la plus grande énigme du 20ème et 21ème sur notre planète. Chaque jour, des témoins rapportent des vidéos, des photographies, ou simplement des récits plus ou moins fiables d’engins mystérieux volant dans le ciel. Dans des cas beaucoup plus rares, certaines personnes ont une rencontre physique avec leurs conducteurs extraterrestres. Les témoignages sont si nombreux que ce phénomène ne peut, aujourd’hui, plus être nié. Les ufosceptiques, comme ils sont régulièrement appelés, tentent, sans véritables preuves, de démonter les faits rapportés. Il y a, bien entendu, des témoignages qui ne valent rien mais, que penser quand ce sont des scientifiques, des astronomes, des hommes politiques de renom international qui les rapportent ? Jimmy Carter (président des Etats-Unis de 1977 à 1981), Jacques Vallée (astronome et ufologue français), Jacques Bergier (ingénieur chimiste de génie), … se sont tous intéressé et souvent été des observateurs privilégiés du phénomène.

Toutefois, petit à petit les langues se délient. En effet, certains militaires ont souvent eu, au cours de leurs carrières, des contacts privilégiés avec les êtres venus d’ailleurs. Certains ont vu des corps extraterrestres à la suite d’un crash, d’autres des OVNI alors qu’ils effectuaient des vols, d’autres encore ont eu accès à des documents très confidentiels relatant des faits dépassant tout entendement.

En octobre 2010, c’est un général turc à la retraite, nommé Erdoğan Karakuş, témoigna, à la télévision publique, que lui et ses hommes virent plusieurs OVNI planant à leurs côtés. D’après lui cet évènement extraordinaire est arrivé de nombreuses fois au cours de sa carrière. Ce pilote entraîné avait notamment servi lors des différents conflits qui avaient opposé son pays, la Turquie, à la Grèce.

L’observation qu’il a décidé de rendre publique s’est produite au mois de mai de l’année 1983 alors que lui et ses hommes survolait la province de Balıkesir à l’extrême Ouest du pays. Au total, ils étaient 8 et volaient à bord de quatre avions de type jet. Lorsqu’ils se trouvèrent au-dessus de la ville d’Adana, les pilotes virent des OVNI utilisant une technique de lévitation totalement inconnue.

La conversation s’engagea alors entre les pilotes : « Je vois certains objets, que dois-je faire ? », dit un pilote, notre homme lui répondit : « Il leurs faut peut-être un plan de signalisation pour les aider, je me connecte à la fréquence de Balıkesir ». Karakuş appela alors la tour de contrôle la plus proche. Il n’y avait aucun vol militaire de prévu dans la zone. Il pensa, tout naturellement, que ce ne pouvait être que de simples appareils touristiques.

Pourtant, les objets accompagnèrent les pilotes pendant environ 15 minutes alors qu’ils rejoignaient la ville de Denizli, située au sud-est de Balıkesir. Leurs comportements étranges et surréalistes firent douter ce militaire. Il tenta, tout de même, d’avertir les objets de ne pas voler à leur côté mais il remarqua que ceux-ci ne ressemblaient en rien à des avions classiques ! En voyant, les objets continués inlassablement à les suivre, les pilotes inquiets prirent des dispositions :

« Un de mes amis a, en attendant, éteint les feux de son avion. A ce moment-là, les OVNI se sont rapprochés du troisième avion. Ils se sont ensuite déplacé vers le deuxième lorsque le troisième a aussi éteint ses feux », déclara Karakuş, rajoutant que lorsqu'il a regardé à sa gauche à cet instant, « il ne pouvait voir rien d'autre qu'un faisceau de lumière jaune. »

Il poursuit :
« Ils se sont déplacés sur ma gauche au moment où, moi aussi, j'ai éteint mes feux ; peu après, 4 ou 5 lumières, ressemblant à des feux d'avions, sont apparues. Puis elles ont disparu dans une manœuvre soudaine. »

Plus tard, Karakus déclara qu’il avait contacté les tours de contrôle des aéroports d’Ankara (capital du pays), Istanbul et de Konya. Tous avaient détecté l’OVNI sans pour autant savoir de quoi il s’agissait vraiment. Un rapport détaillé fut, semble-t-il, envoyé à la NASA sans qu’on en ait eu les conclusions.

Un récit intéressant puisqu’il émane d’un homme habitué aux phénomènes aériens et météorologiques. Il n’a pas donc pu confondre un engin dirigé par une puissance intelligente d’un simple appareil plus « classique ». Les pilotes effectuant des vols réguliers sont plus enclins à observer ce genre d’engin. D’autant que leurs témoignages précis, comme l’exige la rigueur militaire, et la vaillance à laquelle les OVNI s’adonnent devant les avions, permettent aux ufologues de recueillir de précieuses informations sur ces êtres venus d’ailleurs.
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