samedi 1 octobre 2011

Le gros intestin : indicateur de la Foi ?



Les caractéristiques physiologiques de nos organes ont-ils une quelconque influence sur notre propre existence ? Peuvent-ils par leurs tailles, leurs poids ou autres, modifier radicalement notre façon d’être, et notre perception même que nous avons de la vie, de l’existence ?

En effet, il n’est pas rare de trouver dans la littérature ou dans le cinéma des personnes qui, après avoir reçues une greffe, se mettent à agir, inconsciemment, comme leur donneur. Par exemple, ils se mettent à apprécier les mêmes aliments. Certains croient que l’âme et / ou l’esprit se retrouveraient dans les moindre de nos molécules et ainsi un don d’organe entraînerait, en quelque sorte, une « mini » migration dans l’autre corps.

Scientifiquement parlant, ces faits ne sont guère viables et ne semblent, en rien, être rationnels.

Pourtant, Robert Charroux, l’un des plus géniaux écrivains ufologues français et même mondial, paraît avoir apporté la preuve incroyable de cette thèse sur l’influence de nos organes. Il décrit dans l’un de ces plus fameux ouvrages, l’étrange sélection des futurs ingénieurs de l’Ecole Navale de France. Au vue de ses missions extrêmement sensibles, cette dernière imposerait un protocole de recrutement très drastique. Dans un premier temps, les candidats endureraient des tests psychotechniques poussés qui s’apparente à un véritable lavage de cerveau. Ensuite, ils subiraient de sévères tests physiologiques : tous ceux dont le côlon a une taille supérieure à 1,11 mètre sont éliminés d’office. Cette procédure provient des travaux d’un certain Pierre Duval, chirurgien émérite et membre de l’Académie de Médecine. Il a, dans ses travaux, démontré que les hommes d’action, à caractère solide, possédaient un gros intestin plus court que la moyenne (1,11 m., pour une personne pesant 62 kg).

Ainsi, il remarqua que les mystiques avaient, quant à eux, un intestin beaucoup plus long. En 1938, le professeur Duval opéra, à l’hôpital Vaugirard dans le 15ème arrondissement de Paris, une haute personnalité religieuse. Celui-ci avait un côlon anormalement long (près de 2 mètres) et devait subir une colectomie. L’opération se déroula à merveille.

Toutefois 3 ans plus tard, en 1941, l’ecclésiastique revint voir son bienfaiteur pour le remercier. Il était accompagné de femme et de ses deux enfants ! L’ancien homme d’église avait complètement perdu la foi et quitté les ordres.

D’autres cas semblables ont été apportés de par le monde sur des personnes plus ou moins religieuses et de n’importe quelles confessions et spiritualités.

D’après l’auteur l’explication la plus plausible serait que les toxines absorbées, tout au long de la vie d’un individu, conditionneraient son caractère.

Source
Histoire Inconnue des Hommes depuis cent mille ans, Robert CHARROUX, 1969, édition J’ai Lu

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