A la fin du
mois de septembre 1954, une année où les observations d’OVNI furent
particulièrement importantes, un homme a affirmé avoir observé un étrange disque métallique au-dessus de
la commune de Jouy-sur-Morin, située près de Paris, en France.
Le jour des faits,
Eugène Farnier, un homme âgé de 75
ans et ancien aviateur, a vu de ses propres un phénomène aérien surnaturel qu’il
n’a jamais parvenu pas à expliquer. A l’époque, il contacta le directeur du Pays
Briard, dans le but de raconter son histoire :
« Vers 5h20, le soir [du 30 septembre 1954,
NDLR], étant sur ma propriété dit “Les Gailles”, à Jouy-sur-Morin, j’ai eu mon
attention attirée par un sifflement rappelant un peu l’arrivée d’un avion à
réaction. Et quelques secondes plus tard, exactement au-dessus de moi,
j’aperçus un gros disque de 8 à 10 mètres de diamètre tournant sur place en
laissant échapper des lueurs rouge-violet. Il était à environ 400 mètres de
hauteur pas plus, et cet engin plana plus de 20 minutes au-dessus de moi. J’ai
donc eu le loisir de bien l’examiner ; puis après il disparut dans la direction
de Coulommiers. J’ai su depuis qu’il avait été aperçu une demi-heure plus tard
vers Melun (relaté par “L’Aurore”). Je n’ai rien dit. A quoi bon convaincre les
incrédules. »
L’homme se
considère comme étant un témoin fiable et assure qu’il ne s’agissait, en aucun
cas, d’hallucinations :
« Ancien commissaire auprès de l’Aéro-club de
France, ayant servi dans l’aviation, je n’ai pas été victime d’une
hallucination, et ce n’était pas un ballon-sonde, mais exactement une aile
épaisse circulaire planant sur place et ensuite se déplaçant à très grande
vitesse en prenant progressivement de la hauteur. Mon gendre, polytechnicien,
m’a relaté avoir, avec des amis, vu dans la région de Grenoble, un appareil
identique Cette sorte d’engin existe donc réellement quoiqu’en disent ceux qui
ne les ont pas vus. »
Le témoin,
dans sa lettre à la presse, fustigeait cette dernière de se moquer des
histoires d’OVNI :
« Soyez assuré qu’après la campagne de presse
mettant en doute la réalité des soucoupes volantes, les témoins s’abstiendront
de peur de se couvrir de ridicule. »
Quelques temps
plus tard, E. Farnier raconta son expérience à Radio Luxembourg et fut
interrogé par René Leduc, un
ingénieur et concepteur d’un avion fusée. Pendant cette rencontre, il apporta
davantage de précisions sur cet engin. Il précisa ainsi que l’OVNI était « gris brillant comme s’il était construit en
aluminium » et qu’il était probablement habité :
« Il m’a semblé voir l’intérieur de l’engin
éclairé, mais je ne peux rien affirmer à cause de sa rotation constante. »
M. Farnier
évoqua l’hypothèse d’une « arme
nouvelle » et donc méconnue, théorie rapidement rejetée par M. Leduc :
« Dans l’état actuel de la technique, un engin
tel que celui que vous me décrivez est impossible à réaliser. »
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