Le vendredi 24
juin 1994, une patrouille de police de la Ferté-sous-Jouarre (ville de
Seine-et-Marne, au nord-est de Paris) a observé un objet volant non identifié de forme triangulaire. Cette affaire, si
étonnante soit elle, n’a encore jamais été élucidée ...
Aux alentours
de 2 heures 40 du matin, cette patrouille de gendarmerie circulait dans un
Renault Trafic quand l’attention de ses passagers fut attirée par un phénomène aérien
qu’ils ne pouvaient expliquer. A leur retour, les agents rédigèrent un rapport très
précis témoignant de la véracité des faits :
« Le gendarme C…, conducteur du Trafic, attire
l’attention des gendarmes R… et EC… sur une source de lumière très importante
au-dessus du pont de l’autoroute. La patrouille se dirige alors vers la source
de lumière à vitesse réduite. Nous nous sommes déplacés sur le D… vers le pont
de l’autoroute. Plus nous avancions vers celle-ci plus elle se précisait. Cette
source était composée de 3 points luminescents de couleur jaune blanc, formant
un triangle. En observant de plus près ces lumières, nous nous sommes aperçus
qu’elles provenaient d’un objet volant non identifié. »
Le rapport
précise :
« Son altitude n’a pu être définie ni sa
dimension. Le dessous de l’objet était de forme triangulaire avec un centre
pyramidal, la pointe dirigée vers le sol. Celui-ci était stationnaire, jusqu’à
l’arrêt de notre véhicule. Il s’est lentement dirigé vers nous, en gardant la
même altitude, puis s’est arrêté au-dessus de notre unité. Le gendarme C… a
passé la première et nous sommes partis vers……* Le gendarme CE… et moi-même
avons suivi des yeux l’objet. Celui-ci s’est dirigé vers l’Ouest sitôt que nous
avons bougé. Il partit à une vitesse vertigineuse, en une seconde seul
subsistait un faible point dans l’horizon. »
« Il faisait très chaud, les vitres de notre
véhicule étaient ouvertes. Il n’a fait pendant notre observation ni bruit, ni
fumée. Nous n’avons senti aucune odeur. »
Le GEIPAN
(le « Groupe d’études et
d’information sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés »)
enquêta sur ce cas et indiqua que les gendarmes avaient constaté « l’arrêt de leurs équipements de
communication à bord du véhicule. » Pour conclure, cet organisme
officiel et à but scientifique certifia que rien ne peut expliquer ce qui s’était
passé cette nuit-là.
Cette affaire
a finalement été classée par le GEIPAN dans la rubrique « phénomènes aérospatiaux non identifiés de
type D », c'est-à-dire que « malgré
la qualité et la consistance des données et des témoignages », il n’a
pas été possible d’avancer une explication rationnelle.
De quoi s’agit-il ?
Source
0 commentaires: