vendredi 28 août 2015

Les gendarmes observent un OVNI triangulaires en 1994


Le vendredi 24 juin 1994, une patrouille de police de la Ferté-sous-Jouarre (ville de Seine-et-Marne, au nord-est de Paris) a observé un objet volant non identifié de forme triangulaire. Cette affaire, si étonnante soit elle, n’a encore jamais été élucidée ...

Aux alentours de 2 heures 40 du matin, cette patrouille de gendarmerie circulait dans un Renault Trafic quand l’attention de ses passagers fut attirée par un phénomène aérien qu’ils ne pouvaient expliquer. A leur retour, les agents rédigèrent un rapport très précis témoignant de la véracité des faits :

« Le gendarme C…, conducteur du Trafic, attire l’attention des gendarmes R… et EC… sur une source de lumière très importante au-dessus du pont de l’autoroute. La patrouille se dirige alors vers la source de lumière à vitesse réduite. Nous nous sommes déplacés sur le D… vers le pont de l’autoroute. Plus nous avancions vers celle-ci plus elle se précisait. Cette source était composée de 3 points luminescents de couleur jaune blanc, formant un triangle. En observant de plus près ces lumières, nous nous sommes aperçus qu’elles provenaient d’un objet volant non identifié. »

Le rapport précise :

« Son altitude n’a pu être définie ni sa dimension. Le dessous de l’objet était de forme triangulaire avec un centre pyramidal, la pointe dirigée vers le sol. Celui-ci était stationnaire, jusqu’à l’arrêt de notre véhicule. Il s’est lentement dirigé vers nous, en gardant la même altitude, puis s’est arrêté au-dessus de notre unité. Le gendarme C… a passé la première et nous sommes partis vers……* Le gendarme CE… et moi-même avons suivi des yeux l’objet. Celui-ci s’est dirigé vers l’Ouest sitôt que nous avons bougé. Il partit à une vitesse vertigineuse, en une seconde seul subsistait un faible point dans l’horizon. »

« Il faisait très chaud, les vitres de notre véhicule étaient ouvertes. Il n’a fait pendant notre observation ni bruit, ni fumée. Nous n’avons senti aucune odeur. »

Le GEIPAN (le « Groupe d’études et d’information sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés ») enquêta sur ce cas et indiqua que les gendarmes avaient constaté « l’arrêt de leurs équipements de communication à bord du véhicule. » Pour conclure, cet organisme officiel et à but scientifique certifia que rien ne peut expliquer ce qui s’était passé cette nuit-là.

Cette affaire a finalement été classée par le GEIPAN dans la rubrique « phénomènes aérospatiaux non identifiés de type D », c'est-à-dire que « malgré la qualité et la consistance des données et des témoignages », il n’a pas été possible d’avancer une explication rationnelle.

De quoi s’agit-il ?

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