Marie-Madeleine
est très probablement la figure biblique qui a suscité le plus grand nombre de
fantasmes, notamment de la part de certains écrivains adeptes des écrits
apocryphes. Et une découverte, faite en 2009, risque de donner de l’eau au
moulin des plus audacieuses théories.
Comme chacun
sait, Marie-Madeleine est l’un des personnages les plus importants de la Bible.
Confidente de Jésus de son vivant, certains sont persuadés qu’elle fut son
amant. Ce couple sacré aurait, toujours selon certaines hypothèses, engendré
une descendance royale qui aurait ainsi fait naître les plus grands rois du
Royaume de France.
Ce ne sont là
que pures théories qui n’étaient, jusqu’à récemment, fondées que sur d’obscurs
récits rejetés par les plus grands spécialistes de l’Eglise Catholique.
Seulement, des chercheurs auraient retrouvé la tombe de cette mystérieuse femme,
dans le département de la Lozère dans le Sud de la France !
La sépulture
de cette femme pieuse se trouverait dans une grotte, obstruée par un énorme
rocher de plusieurs tonnes, et située en plein cœur des gorges du Tarn. Les
scientifiques seraient parvenus à y pénétrer. Ils précisent que l’entrée est
d’une hauteur tout à fait exceptionnelle « de la taille d’une cathédrale ». A l’intérieur, ils auraient
trouvé pas une mais trois tombes ! L’une d’elles comporterait
l’inscription suivante : « Ci-git
l’épouse de Jésus, depuis 1235 ».
En plus de
cette découverte monumentale, ils auraient également mise à jour d’antiques
manuscrits gnostiques, dont nous ne connaissons toujours pas leurs contenances,
ni même s’ils ont pu être traduits.
Le célèbre
auteur américain, J.M. Barrie, le créateur de Peter Pan, aurait même clairement indiqué, dans son ouvrage
le plus célèbre, l’emplacement précis où se trouverait la tombe de Marie
Madeleine.
Jacques de
Voragine, dans son livre La Légende
Dorée, raconte qu’à la suite de la crucifixion de Jésus-Christ, Marie
Madeleine se serait réfugiée en France, dans la ville de
Saintes-Maries-de-la-Mer. D’après cette légende, elle serait enterrée à
Saint-Maximin-la-Sainte-Baume et sa sépulture est toujours gardée par les
Dominicains.
Ainsi, les
preuves indiquant que cette Sainte de l’Eglise ait vécu dans l’Hexagone ne
manquent définitivement pas.
Quoi qu’il en
soit, cette trouvaille, si elle avérée, remettrait sur le tapis des théories
qui sont si souvent écartées, voire moquées, par les théologiens du monde
entier. Mais plus grave encore, s’il s’avérait que Jésus ait bien eu une
descendance, si glorieuse soit-elle, cela remettrait en cause une part importante
des dogmes du christianisme.
Source
évident
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