Des experts et
scientifiques de la NASA affirment avoir intercepté un appel de détresse « intergalactique ». Ce message extraterrestre, vieux de plusieurs
millénaires, aurait été traduit. Détient-on enfin une preuve qu’une
civilisation venue d’ailleurs a tenté de communiquer avec notre espèce ?
Ce signal
alien a été détecté au mois de janvier de l’année 1998 par la célèbre agence
spatiale américaine. Il aurait été envoyé il y a environ 80 000 ans, une
époque où l’humanité n’en était qu’à ses balbutiements. Mais aujourd’hui, avec
l’avancée de la recherche scientifique, des linguistes et des radioastronomes sont
parvenus à trouver la clé de cette étrange langue, grâce à des techniques
mathématiques complexes. Ils sont parvenus à la conclusion qu’il s’agissait d’un
« appel à l’aide frénétique. »
La presse du
monde entier s’est montrée étrangement silencieuse sur ce surprenant fait. , Et
pourtant deux rapports ont été publiés dans de sérieuses et réputées revues
professionnelles, « Radio
Astronomy » et
« Universe ».
Selon une
source haut placée de la NASA à Houston, au Texas, le Docteur russe Viktor Kulakov dirige une équipe de
recherche, pour le compte des Nations Unies, au sein d'un observatoire situé à
environ 80 kilomètres au Nord-Ouest de Moscou.
Le Dr. Kulakov
a précisé, au magazine Universe, que ce signal émanait d’un point situé au-delà
de la galaxie Andromède, la plus proche de la nôtre, la Voie Lactée. Il ajoute,
en outre, qu’il a été envoyé par des êtres qui étaient parvenus à un niveau de civilisation
plus ou moins proche du nôtre, ici sur Terre.
« Le simple fait que nous avons reçu et décodé
ce message prouve, sans aucun doute, que leurs connaissances et leurs technologies
étaient été, au mieux, à notre portée. »
Il ajoute :
« Et tandis que nous avons encore des années de
recherches devant nous, je peux dire avec certitude que l’extinction de leur
civilisation ne fut pas le résultat d'une catastrophe cosmique. Il est le
résultat d’une civilisation s’étant retournée contre elle-même, et ayant peut
être utilisé des armes nucléaires dévastatrices. »
Le Dr Kulakov
a catégoriquement refusé de fournir, à l'un des magazines, la transcription du
message, mais il a précisé que le message commençait par ces mots : « Aidez-nous ». Il a, de plus, fourni
des données permettant de localiser très précisément cette planète condamnée. Ce
message évoquait « la dévastation
apocalyptique, les explosions infernales, et les nombreux décès provoqués par
des maladies incurables » de cette civilisation.
Le
scientifique précise :
« Une pluie de météorites? Peut-être.
Mais ce qui me choque, et c’est juste une sensation, c’est cette acceptation
sous-jacente de culpabilité. C’est comme si ceux qui avaient envoyé ce message
reconnaissaient que c’était de leur faute ce qu’il s’était passé. Peu
importe de quoi il s’agissait, ils n’avaient apparemment aucun moyen d’évacuer
leur propre population. Les voyages interplanétaires leur étaient possibles,
mais seulement à un niveau très limité. Le message dit très clairement qu’ils
étaient piégés sur leur propre monde. »
Ce fait
scientifique paraît bien irréfutable puisqu’il émane de sources hautement
reconnues. Mais ce qui est intéressant, c’est le parallèle que l’on peut faire entre
cette planète détruite par les mains de l’Homme et ce qui se passe aujourd’hui,
chez nous …
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