jeudi 31 octobre 2013

Une soucoupe volante en Dordogne en août 1960



Durant le mois d’août de l’année 1960, la paisible commune des Eyzies-de-Tayac (832 habitants en 2010), située dans le département de Dordogne, a été survolée par une soucoupe volante lumineuse. Quelques années plus tard, une association française spécialisée dans les OVNI, a recueilli un témoignage …

Le 19 mai 1970, Madame Paule Véron avait décidé de raconter ce qu’elle avait vécu, quelques années plus tôt, dans la campagne française, en écrivant son témoignage au G.E.P.A (Groupe d’Etude des Phénomènes Aériens). A cette époque, cette organisation constituait la plus grande association française spécialisée dans la recherche scientifique sur le phénomène OVNI.

Guy Judas, membre du GEPA, apporta quelques précisions sur cette affaire, dans le bulletin « Phénomènes Spatiaux ». Ainsi, on apprend que le disque volant était de couleur rouge et qu’il mesurait entre 6 et 7 mètres de diamètre. La témoin fut si choquée de cette rencontre, qu’elle décida de quitter définitivement son domicile dès le lendemain après-midi.

Outre ce seul et unique témoignage, des traces du passage de cette soucoupe volante ont été retrouvées. Ainsi, des paysans, propriétaires de la chênaie vers laquelle se situait l’OVNI, ont trouvé, 2 ou 3 jours plus tard, que les feuilles de certains arbres avaient inexplicablement été abîmées.

Témoignage :

« Au cœur du pays de la préhistoire, dans cette vallée de la Vézère si riche en souvenirs millénaires, j’ai été le témoin d’une manifestation hors série.

Je me trouvais dans la propriété de mon frère, au lieu dit « La Combe », aux Eyzies de Tayac. C’est une maison très isolée, la ferme la plus proche se trouvant à près d’un kilomètre.

J’étais, exceptionnellement, seule en vacances au début d’août 1960. Comme unique compagnon, un berger belge, un Tervueren de bonne garde.

Je me couchai de bonne heure, fenêtre ouverte. Vers deux du matin, la fraîcheur de la nuit, peut-être, me réveilla.

Je me levai alors pour fermer la fenêtre et contempler un instant la merveilleuse nuit.

C’est alors que j’aperçus, dans la colline de chênes, qui se trouve face à la maison à une distance de 700 à 800 mètres, un objet comme en suspens au faîte des arbres, une sorte d’anneau de Saturne lumineux ressemblant un peu à un tube au néon.

Rien ne bougeait à bord de cet engin. J’avais la forte impression d’être observée.

Alors, prise d’une peur panique, j’ai refermé la fenêtre et le chien, qui dormait au pied du lit est venu se blottir dans mes jambes sans aboyer.

Je restai en surveillance, malgré ma peur, dans l’obscurité.

Cette espèce de suspense avait bien duré deux heures, lorsque, tout à coup, la lumière du rond m’a semblé plus intense. J’ai vu l’engin s’élever et disparaître, par paliers, à une vitesse vertigineuse.

C’était presque le lever du jour.

Incapable de me recoucher, toujours très impressionnée, j’ai attendu anxieusement le premier passage du laitier et du livreur de butane, sentant le besoin d’un contact humain.

Je leur parlai de la chose, mais leur incrédulité était flagrante.

C’est d’ailleurs pourquoi je me suis tue si longtemps. Aucune des personnes à qui je contai cette histoire n’y a jamais attaché la moindre importance, et l’on m’a souvent accusée, surtout côté famille, d’avoir une imagination débordante.

Il a fallu le bavardage d’un jeune collègue de bureau, pour accrocher l’intérêt d’un autre jeune collègue à qui je dédie ce récit. »

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