Durant le mois
d’août de l’année 1960, la paisible commune des Eyzies-de-Tayac (832 habitants
en 2010), située dans le département de Dordogne, a été survolée par une
soucoupe volante lumineuse. Quelques années plus tard, une association
française spécialisée dans les OVNI, a recueilli un témoignage …
Le 19 mai
1970, Madame Paule Véron avait
décidé de raconter ce qu’elle avait vécu, quelques années plus tôt, dans la
campagne française, en écrivant son témoignage au G.E.P.A (Groupe d’Etude des
Phénomènes Aériens). A cette époque, cette organisation constituait la plus grande
association française spécialisée dans la recherche scientifique sur le
phénomène OVNI.
Guy Judas, membre du
GEPA, apporta quelques précisions sur cette affaire, dans le bulletin « Phénomènes Spatiaux ».
Ainsi, on apprend que le disque volant était de couleur rouge et qu’il mesurait
entre 6 et 7 mètres de diamètre. La témoin fut si choquée de cette rencontre,
qu’elle décida de quitter définitivement son domicile dès le lendemain
après-midi.
Outre ce seul
et unique témoignage, des traces du passage de cette soucoupe volante ont été
retrouvées. Ainsi, des paysans, propriétaires de la chênaie vers laquelle se
situait l’OVNI, ont trouvé, 2 ou 3 jours plus tard, que les feuilles de
certains arbres avaient inexplicablement été abîmées.
Témoignage :
« Au cœur du pays de la préhistoire, dans
cette vallée de la Vézère si riche en souvenirs millénaires, j’ai été le témoin
d’une manifestation hors série.
Je me trouvais dans la propriété de mon frère, au
lieu dit « La Combe », aux Eyzies de Tayac. C’est une maison très
isolée, la ferme la plus proche se trouvant à près d’un kilomètre.
J’étais, exceptionnellement, seule en vacances au
début d’août 1960. Comme unique compagnon, un berger belge, un Tervueren de
bonne garde.
Je me couchai de bonne heure, fenêtre ouverte. Vers
deux du matin, la fraîcheur de la nuit, peut-être, me réveilla.
Je me levai alors pour fermer la fenêtre et
contempler un instant la merveilleuse nuit.
C’est alors que j’aperçus, dans la colline de
chênes, qui se trouve face à la maison à une distance de 700 à 800 mètres, un
objet comme en suspens au faîte des arbres, une sorte d’anneau de Saturne
lumineux ressemblant un peu à un tube au néon.
Rien ne bougeait à bord de cet engin. J’avais la
forte impression d’être observée.
Alors, prise d’une peur panique, j’ai refermé la
fenêtre et le chien, qui dormait au pied du lit est venu se blottir dans mes
jambes sans aboyer.
Je restai en surveillance, malgré ma peur, dans l’obscurité.
Cette espèce de suspense avait bien duré deux
heures, lorsque, tout à coup, la lumière du rond m’a semblé plus intense. J’ai
vu l’engin s’élever et disparaître, par paliers, à une vitesse vertigineuse.
C’était presque le lever du jour.
Incapable de me recoucher, toujours très
impressionnée, j’ai attendu anxieusement le premier passage du laitier et du
livreur de butane, sentant le besoin d’un contact humain.
Je leur parlai de la chose, mais leur incrédulité
était flagrante.
C’est d’ailleurs pourquoi je me suis tue si
longtemps. Aucune des personnes à qui je contai cette histoire n’y a jamais
attaché la moindre importance, et l’on m’a souvent accusée, surtout côté
famille, d’avoir une imagination débordante.
Il a fallu le bavardage d’un jeune collègue de
bureau, pour accrocher l’intérêt d’un autre jeune collègue à qui je dédie ce
récit. »
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