lundi 21 octobre 2013

Quand les extraterrestres débarquèrent à Chéreng, en France



Il y a environ 60 ans, une affaire mêlant OVNI et extraterrestre a défrayé la chronique dans la petite ville de Chéreng, située dans le Nord-Pas-de-Calais. A cette époque-là, Jean-Luc Bésengez, ainsi que son instituteur et deux de ses camarades de classe, ont découvert des traces de pas dans un champ, provenant vraisemblablement d’un autre monde …

En ces temps reculés, Jean-Luc Bésengez avait 11 ans et était scolarisé dans l’école publique de la ville. Le dimanche 3 octobre 1954, une cinquantaine d’habitants avaient affirmé avoir observé, de leurs propres yeux, une véritable soucoupe volante pendant la ducasse de l’Autour. Les élèves de l’école discutèrent longuement de cette affaire incongrue et aux allures de science-fiction, en classe, le lendemain,  avec leur instituteur.

J-L Bésengez se rappelle :

« Nous en avons parlé en classe car notre instituteur avait lui aussi été témoin de ce phénomène. C’est là que Jean-Claude Delmotte a évoqué « son » apparition ».

Jean-Claude, un autre élève alors âgé de 10 ans, a livré, lui-aussi un étonnant récit. Etudiant brillant et, connu pour son honnêteté, il raconta avoir lui-aussi vu une sphère non identifiée de 3 mètres de diamètre, le 30 septembre 1954, alors qu’il faisait un tour en vélo aux abords d’un champ jouxtant le château. L’OVNI était de couleur marron, puis orange, et brillait. Il était posé sur le sol. Après avoir décollé, le jeune garçon découvrit des traces de pas formant un cercle !

« À l’heure du déjeuner, Marcel Lison, Jean-Claude Delmotte et moi sommes allés voir les traces, toujours visibles. Et sommes allés rechercher le directeur d’école [Monsieur Fiolet] ».


Les quatre personnes se sont alors rendues sur place pour constater ces traces d’une étrangeté évidente. Ils constatèrent qu’elles mesuraient 16 centimètres de longueur et étaient disposés en rond :

« Nous avons d’abord pensé à des animaux, mais l’orientation nous a fait douter. Je regrette que l’instituteur n’ait pas pensé à faire des moulages ou à préserver les traces. »

En rentrant en classe, Jean-Luc dessina l’unes des empreintes de pieds palmés de pas sur le tableau noir.

Cette découverte époustoufla la population locale. Dans le feu de l’action, les habitants oublièrent de compter et d’enquêter plus amplement sur ces traces. La mise à jour de ces preuves matérielles attira l’attention de la presse qui fit de nombreuses unes sur ce cas. Hélas, en se rendant sur place, les journalistes effacèrent malencontreusement les empreintes reléguant cette histoire au rang de mythe.

L’affaire pris de l’ampleur. Les gendarmes (de la brigade de Forest-sur-Marque) ainsi qu’un groupe de passionnés de phénomènes inexpliqués, dont un ingénieur, menèrent une minutieuse enquête. Malgré cette effervescence, Jean-Luc Bésengez avait tout de même l’impression que peu de personnes accordaient du crédit à son témoignage ainsi qu’à ceux de ses petits camarades.

Aujourd’hui, Bésengez est un septuagénaire retraité. Toute sa vie a été bercée de ce qui s’était passée cette année-là. Il n’a rien d’un illuminé, rêvant d’une éphémère célébrité. Il a d’ailleurs mené une carrière honorable de photograveur et a ainsi participé à la réalisation de divers films d’animation pour la télévision.

Il est maintenant le seul et unique survivant à avoir découvert ces traces de pied palmé, dont l’origine extraterrestre ne fait aucun doute dans une grand part de la communauté ufologique …

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