Il y a environ
60 ans, une affaire mêlant OVNI et extraterrestre a défrayé la chronique dans
la petite ville de Chéreng, située dans le Nord-Pas-de-Calais. A cette
époque-là, Jean-Luc Bésengez, ainsi
que son instituteur et deux de ses camarades de classe, ont découvert des
traces de pas dans un champ, provenant vraisemblablement d’un autre monde …
En ces temps
reculés, Jean-Luc Bésengez avait 11 ans et était scolarisé dans l’école
publique de la ville. Le dimanche 3 octobre 1954, une cinquantaine d’habitants avaient
affirmé avoir observé, de leurs propres yeux, une véritable soucoupe volante
pendant la ducasse de l’Autour. Les élèves de l’école discutèrent longuement de
cette affaire incongrue et aux allures de science-fiction, en classe, le
lendemain, avec leur instituteur.
J-L Bésengez
se rappelle :
« Nous en avons parlé en classe car notre instituteur
avait lui aussi été témoin de ce phénomène. C’est là que Jean-Claude Delmotte a
évoqué « son » apparition ».
Jean-Claude,
un autre élève alors âgé de 10 ans, a livré, lui-aussi un étonnant récit.
Etudiant brillant et, connu pour son honnêteté, il raconta avoir lui-aussi vu
une sphère non identifiée de 3 mètres de diamètre, le 30 septembre 1954, alors
qu’il faisait un tour en vélo aux abords d’un champ jouxtant le château. L’OVNI
était de couleur marron, puis orange, et brillait. Il était posé sur le sol.
Après avoir décollé, le jeune garçon découvrit des traces de pas formant un
cercle !
« À l’heure du déjeuner, Marcel Lison,
Jean-Claude Delmotte et moi sommes allés voir les traces, toujours visibles. Et
sommes allés rechercher le directeur d’école [Monsieur Fiolet] ».
Les quatre
personnes se sont alors rendues sur place pour constater ces traces d’une
étrangeté évidente. Ils constatèrent qu’elles mesuraient 16 centimètres de
longueur et étaient disposés en rond :
« Nous avons d’abord pensé à des animaux, mais
l’orientation nous a fait douter. Je regrette que l’instituteur n’ait pas pensé
à faire des moulages ou à préserver les traces. »
En rentrant en
classe, Jean-Luc dessina l’unes des empreintes de pieds palmés de pas sur le
tableau noir.
Cette
découverte époustoufla la population locale. Dans le feu de l’action, les
habitants oublièrent de compter et d’enquêter plus amplement sur ces traces. La
mise à jour de ces preuves matérielles attira l’attention de la presse qui fit
de nombreuses unes sur ce cas. Hélas, en se rendant sur place, les journalistes
effacèrent malencontreusement les empreintes reléguant cette histoire au rang
de mythe.
L’affaire pris
de l’ampleur. Les gendarmes (de la brigade de Forest-sur-Marque) ainsi qu’un
groupe de passionnés de phénomènes inexpliqués, dont un ingénieur, menèrent une
minutieuse enquête. Malgré cette effervescence, Jean-Luc Bésengez avait tout de
même l’impression que peu de personnes accordaient du crédit à son témoignage
ainsi qu’à ceux de ses petits camarades.
Aujourd’hui,
Bésengez est un septuagénaire retraité. Toute sa vie a été bercée de ce qui s’était
passée cette année-là. Il n’a rien d’un illuminé, rêvant d’une éphémère
célébrité. Il a d’ailleurs mené une carrière honorable de photograveur et a
ainsi participé à la réalisation de divers films d’animation pour la
télévision.
Il est
maintenant le seul et unique survivant à avoir découvert ces traces de pied
palmé, dont l’origine extraterrestre ne fait aucun doute dans une grand part de
la communauté ufologique …
Source
http://www.lavoixdunord.fr/region/ovni-ces-traces-mysterieuses-que-j-ai-observees-a-ia28b50425n1632630,
21 octobre 2013
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