samedi 19 juin 2010

L'Incident de Varginha



L’Incident de Varginha est une observation d’extraterrestre dans cette ville du Brésil. Cet incident a été très médiatisé, principalement par la télévision. Cette observation eut lieu en 1996. D’étranges créatures ainsi que des Ovnis auraient été aperçues et identifiés comme telles. Les autorités brésiliennes auraient capturés ces êtres venus d’ailleurs.

L'affaire a bénéficié d’une importante couverture médiatique en Amérique centrale et du Sud, et a même été mentionné dans le Wall Street Journal.

Le gouvernement brésilien a officiellement nié que quelque chose d'inhabituel s'est produit, mais certains théoriciens ont accusé qu'il cachait quelque chose. Les sceptiques citent l'absence de sources fiables ainsi que des éléments de preuve.

L’enquêteur et ufologue Kevin D. Randle écrit que "ce cas est plus compliqué que toute autre dans le domaine Ovni". Randle note qu'il existe un manque d'éléments probants justifiant le cas, et ajoute: «En fait, nous n'avons pas été en mesure de vérifier quelque chose."


Présentation

Selon certains médias, la créature a été repéré par trois femmes de 14 à 21 ans : Liliane et sa sœur Valquíria Fátima Silva, et leur ami Kátia Andrade Xavier. Ils auraient vu la créature dans l'après-midi du 20 Janvier 1996 : un bipède d'environ 1,6 mètres (5 pieds), avec une grosse tête et un corps très mince, des pieds en forme de V, la peau brune, et les grands yeux rouges. Il semblait bancal ou instable, et les filles ont assuré qu’il était blessé ou malade. La créature avait une forte odeur désagréable. Certains ont noté des similitudes physiques entre cette prétendue créature et le chupacabra, une créature bien connue dans le monde de la cryptozoologie qui vivrait à Puerto Rico ainsi qu’en Amérique centrale.

Les sœurs Silva ont dit qu'ils ont fui, alors que leur mère a affirmé que c’était en fait le diable que ses filles auraient vu. Elle ne les croyaient cependant pas jusqu’au moment où elle est allée elle-même dans la zone d’apparition et vu de ses propres vus la fameuse créature dégageant une forte odeur d'ammoniaque. Après concernant l’histoire de la famille et des amis, des rumeurs ont commencé à se répandre dans la ville : des OVNIS ont été aperçus, et les étrangers ont été capturés. Deux jours plus tard, une autre créature aurait été trouvé couché le long d'une route. Trois camions militaires ont été envoyés pour le récupérer. Il a été capturé par des fonctionnaires du S2 (renseignement militaire au Brésil), et a été envoyé à un hôpital pour être examiné.

Vitorio Pacaccini, un brésilien passionné des Ovnis, est devenu une figure centrale dans l'affaire de Varginha. Il est apparu à la télévision, a offert un témoignage. Les sources, cependant, étaient anonymes, dit Pacaccini, et craint les représailles. Randle note que Pacaccini insiste sur le fait que la première rencontre de l'étrange créature n'était pas les filles, mais plutôt un groupe de travailleurs du service d'incendie. Dans la matinée du 20 Janvier, selon Pacaccini, quatre pompiers ont été alertés d'un étrange animal qui avait été d'abord repéré par un groupe de garçons, qui ont commencé à jeter des pierres sur lui. Ils ont capturé la créature, et emporté à l'écart.

Moffett, écrit qu'il y a eu plus d'un demi-douzaine d'apparitions de créatures, mais "il est difficile de savoir comment tous ces êtres ont pu s’adapter dans les petits vaisseaux spatial qui ont été repéré ici en Janvier". Il y avait un désaccord quant à savoir si une créature a été aperçue plusieurs fois, ou si plusieurs créatures ont été observées individuellement.

Les fonctionnaires de Varginha ont toujours nier que quelque chose d'inhabituel s'est produit, mais a tout de même érigé un parc dédiés aux créatures.

D'autre part, cet incident a rendu la ville très célèbre, ce qui apporté l’afflux de nombreux touristes. Maintenant, le tourisme est devenu une importante activité commerciale de Varginha. Beaucoup de poupées, notamment des poupées de "Gris", et les célèbres uniformes de son équipe de football sont en vente dans les rues principales.

Sources

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