Au
mois de juin 1975, Jacques Weber a vécu l'expérience la plus
incroyable de toute son existence. Aujourd'hui, âgé de 80 ans, il
souhaiterait retrouver « l'enfant à vélo » qui
aurait été, le même jour que lui « scanné »
par un OVNI.
L'homme,
d'origine suisse, a toujours vécu dans la commune de
Lay-Saint-Christophe, dans l'Est de la France. Ce forain travaille
toujours et promène ses attractions de village en village. Il
raconte son histoire :
«
C’était en juin 1975. On avait monté les autos tamponneuses à
Sornéville. 2.500 francs de recette. Pas grand-chose pour un
commerce qui carburait ! »
«
J’allais vers Pierrevillers dans le nord avec le camion. J’ai
commencé à voir dans le rétro, 20 m derrière, une plaque
rectangulaire, toute brillante, grande comme un journal, qui tenait
en l’air toute seule ».
«
Ça montait, ça descendait, comme si ça analysait la remorque.
C’est remonté vers l’avant, ça s’est glissé dans le V
[N.D.L.R. : l’attelage]. Puis c’est arrivé à ma hauteur. Ça
faisait un son indescriptible, que je n’ai jamais plus entendu. Ça
vibrait, ça semblait m’examiner ».
Après
s'est remis de ses émotions, le témoin a « pensé
l’attraper ».
«
C’était pas humain, pas terrestre. En 75, il n’y avait pas de
technologies comme ça ! ».
Son
camion, de marque Berliet, « qui chauffait tout le temps »,
roulait au ralenti. Il poursuit :
«
J’étais à la sortie de Maxéville, vers Champigneulles. Un gamin
à vélo est arrivé. Il devait avoir dix ans, il avait les cheveux
châtains. L’engin a foncé vers lui, comme pour l’examiner. Il a
lâché son vélo pour se protéger. Puis la plaque est partie à
toute vitesse. Avec le camion et la remorque, je ne pouvais pas
m’arrêter ».
Jacques
a précisé qu'il avait voulu raconter son histoire aux gendarmes de
Frouard. Il rit :
«
Ils m’ont répondu que des comme ça, ils en avaient tous les
jours ! »
Cela
fait maintenant plusieurs dizaines d'années que cet événement
s'est produit. Malgré tout, il n'a jamais pu oublier ce qui s'est
passé :
«
Ça fait plus de 40 ans que je me casse la tête pour tenter de
trouver une explication à ce que j’ai vu. Et je repense tout le
temps à ce moujingue : je le revois, lâchant son vélo qu’il
tenait à la main et croisant les bras pour se protéger. Il a dû
avoir une peur… ».
«
On me connaît. Alors on ne m’a jamais pris pour un fou ! »
Le
témoin a, plus tard, découvert qu'une « soucoupe volante »
avait été observée au cours de la même période « au-dessus
d'une station-service de Pont-à-Mousson ».
Thierry
Levaudel, enquêteur spécialisé dans les phénomènes paranormaux,
a accepté, à la demande du témoin, de passer son camion au
compteur Geiger et au détecteur de rayonnement électromagnétiques.
Hélas, il n'a rien trouvé.
Jacques
se confie :
« Cette
observation a marqué ma vie. Je me dis que l’univers, ce sont des
milliards de planètes, qu’on n’est pas les seuls, qu’il existe
certainement des vies différentes ».
«
Je partirai dans la tombe sans avoir les réponses. Mais
j’aimerais vraiment retrouver ce gamin. Il doit avoir dans les 50
ans ».
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