Un habitant de la ville de Darlington,
en Australie, affirme avoir observé et photographié plus d’une centaine d’objets
non identifié au-dessus de la ville de Perth (située dans l’Etat d’Australie-Occidentale,
au Sud-Ouest du pays). Certaines de ces « bizarreries numériques » ne
sont-elles que des fraudes numériques ?
Rob
Hartland
est un biochimiste qui s’est reconverti en professeur d’école. Il a commencé à
se passionner pour la photographie lorsqu’il acheta, un jour, un appareil
numérique pour la coquette somme de 600 $. C’est depuis sa véranda de son
domicile de Darlington (dans le Perth Hills) qu’il a pris ses premiers clichés.
Au cours des 6 premiers mois, il a obtenu plus de 20 000 photos du ciel de
jour. Il les a toutes analysés sur son ordinateur.
Mais petit à petit, il remarqua l’apparition
de quelques « bavures » ou des sortes de tâches. Une fois qu’il a
zoomé sur ces anomalies, il vit ce qui pourrait être des structures solides, d’origines
inconnues, volant ou planant au-dessus de nous.
Et selon notre ufologue amateur, il
serait aisé et même courant de photographié ces « vaisseaux
extraterrestres » :
« Je
prends environ 30 photos à la fois. En 10-15 minutes, je vais prendre 300 à 400
images. Puis-je connecte l'appareil photo à l'ordinateur. Je fais un zoom avant
et j’améliore la moindre petite chose que je constate sur les images : ces
étranges engins apparaissent dans 2 à 20 pour cent des cas. »
Il poursuit :
« Certains d'entre eux semblent avoir des verrières transparentes et sur
certains plans on dirait qu'il pourrait bien y avoir occupants à l'intérieur. »
Rob Hartland avoue, tout de même, que
certains de ces OVNI pourraient être d’origine humaine, mais, pour lui, il est
vraisemblablement impossible qu’ils le soient tous :
« C'est possible que certains soient fabriqués par l'homme, mais je ne pense
pas qu'ils le sont tous. Il n'y a aucun moyen de savoir s’il s’agit d’un
oiseau, d’un insecte ou d’un avion, même s’ils n’y ressemblent pas du tout et
que ces vaisseaux se déplacent beaucoup trop rapidement. »
L’homme, qui possède un doctorat en
biochimie, affirme ne pas être un énième charlatan. Pour prouver sa bonne foi, il
a déclaré ne pas avoir d’antécédents de maladie mentale ou de consommation de
drogues et de n’avoir jamais trafiqué les clichés qu’ils prenaient. Jackson
Flindell, chef du service photographique du Sunday Times, a déclaré que les
images n’avaient, a priori, pas été altérées mais que des poussières sur l’objectif
pourraient causer ce genre d’anomalies sur des images numériques.
Cette explication vous satisfait-elle ?
Si tel n’est pas le cas, je vous invite solennellement à visiter le site Internet
(http://wispyclouds.net/) de ce
photographe-ufologue ; il y expose quelques-unes de ces plus beaux et
troublants clichés …
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