Le 13 décembre 1972 à 17h04, la ville de
Dias D’Avila (située dans l’Etat de Bahia, à l’Est du Brésil) a connu une
authentique rencontre du troisième type. Le principal témoin de cette affaire
s’appelle Fritz Abbehusen. Ce dernier, âgé de 65 ans, était un homme d’affaires
retraité des industries du cigare, notaire public, et agent fédéral des impôts.
Au moment des faits, ce dernier
regardait tranquillement sa télévision quand il constata que son écran était
inexplicablement perturbé par des interférences inhabituelles. Ne sachant que faire, il sortit sur le porche de
sa demeure. Et c’est là qu’il observa un objet rond et lumineux d’une
« taille énorme » volant dans le ciel. L’OVNI descendait vers une
colline qui se situait à une distance approximative de cinq kilomètres de chez
lui.
Etonné par cette vision, et curieux de
ce qui se passait devant lui, il alla chercher ses jumelles et pu remarquer que
cette boule lumineuse planait à seulement quelques mètres de la terre ferme. La
partie supérieure de l’objet était constituée d’une série de hublots émettant
des lumières variant entre l’orange et le rouge.
Le témoin médusé appela son épouse
Margarida Almeida et leur domestique Valdeta Da Lima pour qu’eux aussi puissent
admirer cette étrange scène. Soudain, trois lumières clignotantes sortirent de
l’engin. L’une d’entre elles se dirigea lentement, mais surement, vers la
maison des Abbehusen. Après avoir attendu quinze longues et interminables
minutes, la lumière arriva à moins de cinquante mètres derrière la demeure
familiale. Les deux femmes, qui étaient justement à l’arrière de la maison
(alors l’homme était à l’avant), furent littéralement choquées par cette vision
surnaturelle.
Elles virent deux êtres humanoïdes, au
corps très mince et d’une taille équivalente à des enfants de 13 ou 14 ans,
émerger de la lumière. Ils portaient une sorte de costume, composé d’une seule
pièce, d’une couleur blanche ou grise clair. Mr Abbehausen rejoignit alors
précipitamment les deux femmes. Il décrivit, plus tard, ce qu’il observa :
« Ces êtres gardaient leurs coudes
près de leurs corps en marchant ; ils marchaient apparemment sur la pointe des
pieds, levant exagérément leurs genoux à chacun de leurs pas. »
Hélas, aucun des témoins n’est parvenu à
distinguer le visage de ces visiteurs. Ce qui laisse penser qu’ils portaient
probablement des casques, comme le feraient des astronautes provenant d’une
autre planète.
Les deux femmes, prises de panique, se
précipitèrent dans la maison. Les étranges visiteurs partirent à leur tour sans
même avoir essayé de communiquer avec l’espèce humaine. La boule lumineuse, qui
s’était posée sur la colline, resta
stationnée jusqu’à environ minuit. Avant de décoller, elle émit un rayon
lumineux qui enflamma les broussailles environnantes.
Comme beaucoup de rencontre du troisième
type, les médias s’intéressèrent fortement à cette histoire. Personne ne
doutait de la véracité de ce qui s’était passé. En effet, outre l’honnêteté
évidente des témoins, il y avait des preuves physiques du passage de cette
OVNI. Les enquêteurs retrouvèrent bien des traces de brûlure dans la végétation
à l’endroit supposé au-dessus de laquelle la boule lumineux avait plané. De
même, des marques étranges s’étaient dessinées dans le jardin, là où la petite
lumière s’était posée. Ces preuves montrèrent bien qu’il s’était bien passé
quelque chose en cette après-midi de décembre.
Conclusion
Les rencontres du troisième type
tiennent une place à part dans les témoignages d’OVNI. Ils sont plus rares,
généralement plus impressionnants, et forcément plus traumatisants. Ce récit,
par de nombreux aspects, parait tout à fait véridique. Les sceptiques ne
manqueront pas de noter qu’il n’y a, hélas, aucune photo, ni vidéo qui n’a été
prise. En même temps, quand l’on se trouve en face d’une telle situation, notre
esprit est bien trop préoccupé par le spectacle surnaturel qui s’y produit.
Source
Egalement publié sur :
0 commentaires: