lundi 2 juillet 2012

Le cas d’Inacio de Souza : l’homme irradié par un OVNI



A.S.M. était un riche fermier brésilien. Il connut la célébrité dans son pays après avoir gardé secrète la mort de l’un de ses employés, Inacio de Souza, pendant un an. Mais c’est la manière dont ce dernier est décédé qui intrigue : il a succombé exactement 60 jours après avoir reçu la visite surprise de créatures venues de l’espace …

Voici donc le témoignage de ce patron qui a préféré, et on le comprend, garder l’anonymat.

« Les faits se sont produits le 13 août 1967. Je suis arrivé à la ferme trois jours après les évènements et je ne savais rien.

A la descente de mon avion particulier, mon employé Inacio de Souza m’attendait et il me dit qu’il était souffrant. Comme c’était un homme fort et qu’il ne s’était jamais alité, je me suis rendu le lendemain à son appartement et, en le voyant couché, je lui ai dit avec énergie :

-Qu’avez-vous mon garçon ?
Alors, il me répondit :
-Patron, j’ai tué un homme !
Je suis resté pantois et je lui ai demandé :
-Mais comment as-tu pu faire cela ?

Pressé de questions, Inacio finit par raconter à son patron sa terrible aventure. Le 13 août 1967, Inacio et sa femme revenaient chez eux, dans la ferme de Santa Maria, entre Crixas et Pilar de Goias, dans l’Etat de Goias.

En arrivant près de la maison, rapporte Inacio, nous vîmes un étrange objet ayant la forme d’une cuvette dont l’ouverture serait tournée vers le bas. L’objet avait 35 mètres de diamètre (…) Entre l’appareil et la maison, se trouvaient trois inconnus.

J’ai pensé que c’étaient des gens qui venaient nous rendre visite, mais j’étais un peu effrayé du genre d’avion qu’ils avaient. C’étaient des personnes de même apparence que nous, sauf qu’ils paraissaient chauves. Ils étaient en train de jouer, de folâtrer comme des enfants, mais en silence. Quand ils nous aperçurent, ils me désignèrent du doigt et se mirent à courir dans notre direction. J’ai crié à ma femme de rentrer en courant à la maison. Comme j’avais avec moi une carabine, j’ai tiré sur celui qui était le plus proche. A ce moment est sortie de sous l’avion, comme d’une lanterne, une lumière verte qui m’atteint à la poitrine du côté gauche. Je suis tombé à terre. Ma femme a couru vers moi, en prenant l’arme, mais les hommes étaient déjà rentrés dans l’avion qui s’est élevé en vol vertical, à grande vitesse, et en faisant un bruit semblable à celui des abeilles.

Le lendemain, le fermier se décide à examiner les lieux dans l’espoir de trouver d’éventuelles taches de sang laissées par l’homme que la balle tirée par Inacio a pu atteindre.

Aucune trace n’apparaît.

Pourtant, Inacio a précisé :

-J’ai bien visé la tête du joueur.

Et A.S.M. sait que son employé n’a jamais manqué un tir à 60 mètres de distance : Inacio, cela est connu, est un excellent tireur.

Les premier et second jours, Inacio a souffert de nausées, de fourmillements et d’un engourdissement de tout le corps, et ces jours-là ses mains tremblaient. Je me suis décidé à l’emmener à Goiania (à 180 kilomètres de la capitale du Brésil, Brasilia) pour lui faire subir un examen complet et je lui ai recommandé de garder le silence sur l’évènement.

A Goiana, le médecin, sans savoir ce qu’il avait, constata l’existence d’une brûlure circulaire de 15 centimètres de diamètre environ sur la partie gauche du tronc, presque à l’épaule. Pour soigner la brûlure, il décida d’appliquer le remède appelé Unguento picrato de Butesin. En ce qui concernait les autres symptômes, il diagnostiqua comme origine une cause végétale, il pensa qu’Inacio avait pu manger quelque mauvaise herbe.

Je me suis décidé à relater au médecin ce qui était arrivé. Surpris, il demande à Inacio : ‘Quelqu’un d’autre a-t-il vu ces hommes ? ‘ Inacio répondit : ‘Ma femme’. Alors le médecin me prit à part et me demanda si j’avais jamais parlé à Inacio des O.A.N.I (Objet Aériens Non Identifiés). Je lui dis que non. Il se décida alors de demander à Inacio s’il n’avait jamais vu en quelque autre occasion ce type d’avion ou si quelqu’un lui en avait déjà parlé. Le médecin prescrivit alors à Inacio qu’il se fasse admettre en clinique et demande à subir un examen complet des matières fécales, de l’urine et du sang.

Quatre jours après avoir été mis en observation, poursuit A.S.M., Inacio fut renvoyé chez lui. Surpris qu’on ne l’eût pas gardé en traitement plus longtemps, j’allai voir le médecin. Celui-ci me dit alors que le cas d’Inacio était fatal, que les examens avaient montré qu’il était atteint de leucémie, le cancer du sang, et qu’il ne lui restait que 60 jours de vie, au maximum. Il me dit encore : ‘Et le monsieur (le malade) m’a suggéré d’oublier tout ce qui lui était arrivé … il sera entendu qu’il n’a rien vu. Il a un nom à préserver et tout cela ne ferait que créer une panique. Quant à moi, je n’ai rien entendu et je ne sais rien. J’ai une réputation et, pour moi, son cas est un cas de leucémie. »

Après son aventure, le pauvre Inacio vécut des jours et des jours de souffrance. Selon son épouse, il présentait sous tout le corps des taches de couleur jaune blanchâtre. Il maigrissait à vue d’œil. Dans ses dernières déclarations, il recommanda à sa femme, de brûler le lit, le matelas et toute la literie après son décès.

Il mourut le 11 octobre 1967.

La question qu’on peut légitimement se poser est la suivante : sa leucémie (et donc sa mort) a-t-elle été provoqué par cette lumière verte ? Selon le professeur Felipe Machado Carrion, cela ne fait aucun doute qu’il a succombé à une leucémie radioactive ! De plus dans son rapport, il nota qu’Inacio présentait tous les signes typiques d’une réelle et forte exposition radioactive.

L’affaire Inacio de Souza est l’un des rares cas de l’ufologie où les visiteurs se sont directement attaqués aux humains. La radioactivité à laquelle a été exposé notre homme montre que son récit est très probablement véridique. En effet, il est tout à fait incohérent qu’un fermier ait reçu une telle dose simplement en travaillant. Quoi qu’il soit, ici nous possédons une véritable preuve de la présence, de l’existence et de la puissance de ces visiteurs très spéciaux …

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