Benjamín
Solari Parravicini est plus qu’un artiste de talent argentin. Cet homme, né le
8 août 1898 dans la capitale du pays, Buenos Aires (mort en 1974), est
considéré, à juste titre semble-t-il, comme étant un grand prophète. Ses
prédictions sont si surprenantes de justesses qu’il a gagné le surnom flatteur
de « Nostradamus Argentin ».
Durant sa
carrière, il a été un artiste de renommée internationale, directeur du Musée
des Beaux-Arts. Il n’était donc pas un médium professionnel. Chacune de ses
prophéties, il les dessinait ou les esquissait. Il ne restait plus qu’à les
interpréter pour y découvrir l’avenir de l’humanité.
Ainsi ses
dessins prédirent le premier être vivant dans l’espace, l’attaque du 11
septembre 2001, l’arrivée massive de la télévision, la chute du régime Nazi, le
développement de la communication par satellite, …
Certaines
esquisses sont plutôt floues d’autres sont beaucoup troublantes. Par exemple,
en 1939, il dessina les Tours du World Trade Center et leurs destructions,
alors que la construction de celles-ci n’a débuté que 1966.
Mais revenons
à cette année Apocalyptique de 2012. Comme tous bons prophètes, il a prédit
quelque chose de catastrophique pour 2012. Mais contrairement à ses
« confrères », le drame qu’il annonce se déroulera le dimanche 20 mai
2012. Ainsi en 1938, il écrivit ceci :
« Rome
dans le malheur, une catastrophe (...) Désorientation au Vatican. L'église fera
naufrage, le Pape s'en ira. Les réformes font peur aux catholiques. Les jeunes
prêtres font face au pouvoir transitoire. Nouvelle Église. De nouvelles formes.
Réunions dans le combat. Demain, ce sera le retour aux catacombes. »
C’est la Cité
du Vatican qui est clairement visée. On retrouve un élément qui sera facile à
vérifier : le départ du Pape. Or on sait que pour qu’un chef de l’Eglise
Catholique parte, il faut qu’il meure. Si c’est bien le cas et que l’Eglise
sombre définitivement alors le « Notradamus Argentin » rejoindra,
très justement, les prophéties de Saint Malachie.
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