En 1976, la
petite ville de Meylan, située à l’Est de Grenoble dans l’Isère, a connu ce
qu’il est convenu d’appeler une rencontre du troisième type. Bien qu’il n’y ait
eu qu’un seul et unique témoin, le récit rapporté contient une multitude de
détails croustillants qui ne manqueront pas d’intéresser les passionnés d’OVNI
…
Nous sommes le
12 septembre 1976 lorsqu’à 6h00 du matin, Julien Hermann prend son service de
gardien à l’usine Merlin-Gerin (ancien groupe industriel spécialisé en matériel
électrique). Son lieu de travail se
trouvait alors dans un endroit relativement isolé de la campagne grenobloise.
Comme à son habitude, il s’installa tranquillement à son bureau. Seulement, quelques
instants plus tard, sa routine quotidienne fut totalement chamboulée lorsqu’il
vit, au loin, une entité humanoïde visiblement d’origine extraterrestre. Selon
ses dires, le prétendu alien avait l’aspect d’un astronaute puisqu’il portait
un casque. En outre, il avait deux bras, deux jambes, mais la ressemblance avec
les terriens s’arrêtait là.
On notera que
le témoin n’eut pas eu de contact physique avec cet extraterrestre. Il n’a donc
subi aucun des effets désagréables qui sont souvent observés lors de ce type de
rencontre.
Sans plus
tarder, je vous propose de lire, en intégralité, le témoignage qu’a livré
Julien Hermann deux ans plus tard, en 1978 :
« Quelques instants plus tard, dans mon
bureau, en tournant la tête vers
la gauche, j'aperçus parfaitement à travers la baie vitrée une forme humaine
d'une taille de 1,65m à 1,75m et d'une couleur fluorescente verte, entourée
d'une multitude de petites lumières scintillantes vertes sur son profil. Cette
forme se trouvait à une vingtaine de mètres. J'ai nettement distingué ses
jambes et ses bras qu'il tenait le long du corps. Par contre, je ne pus voir le
visage, ni même la tête et les épaules, mais il me sembla apercevoir dans la
nuit comme un casque de motocycliste ou d'astronaute qui formait une auréole
vers la tête. Cette forme humaine se tenait immobile au centre d'un cercle
lumineux visible sur le sol, d'une teinte jaune orangé, d'un diamètre de deux
mètres environ. Je ne saurai dire si les pieds de cette forme humaine étaient
en contact avec le sol ou non, de même qu'il m'a semblé impossible de me rendre
compte s'il me faisait face ou se présentait de dos. Je sentis une sueur froide
et mon poste de radio qui fonctionnait se mit à crépiter et à craquer. Je me
suis alors précipité dehors en contournant l'angle du bâtiment. J'aperçus de
nouveau la forme toujours immobile au même endroit. Soudain, elle s'évanouit
sur place. »
Au total, la
scène aurait duré entre 5 à 7 minutes. Hélas, il semblerait qu’il n’y ait
aucune preuve physique concernant cette observation. Toutefois, le chef du
Service d’Inspection de la Sécurité Industrielle Rhône-Alpes s’est porté garant
du sérieux et de l’honnêteté du témoin.
Conclusion
Cette
rencontre du troisième type est somme toute assez classique parmi les très
nombreux récits recueillis depuis plus de 60 ans par les ufologues du monde
entier. Nonobstant, un point diffère remarquablement par rapport à ces derniers :
d’habitude ces extraterrestres visitant la Terre repartent toujours à bord de
leur engin alors que celui-là s’est contenté de disparaitre soudainement, comme
s’il s’était téléporté !
Il est
intéressant de noter que quelques jours plus tard eut lieu le fameux
« incident de Téhéran ». Dans la nuit du 18 au 19 septembre, la base
aérienne de la capitale iranienne aperçu une étrange lumière qui n’apparaissait
pas sur le radar. Il envoya alors deux pilotes de chasse à sa rencontre. L’un
d’eux, se sentant agressé, tenta de l’attaquer mais, exactement à ce moment-là,
ses commandes d’armement refusèrent de fonctionner !
Ces deux
affaires sont-elles liées d’une quelconque manière ? C’est possible puisque ce n’est pas la
première fois qu’une rencontre du 3ème type est accompagnée, à plus
ou moins court terme, d’une ou de plusieurs observations d’OVNI.
Sources
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